L'adaptation du roman de Jack London promet de grands moments d'émotion en famille !
Dans le Grand Nord canadien, la vie est rude, même pour des loups comme Croc-Blanc et sa mère, Kitché. Un jour, poussés par la faim, tous deux vont chercher refuge auprès de Castor-Gris, le chef d'un village indien. Aux côtés de son nouveau maître, Croc-Blanc découvre alors le monde des humains. Certains sont pleins de bonté, mais d'autres font preuve d'une grande cruauté... Comment Croc-Blanc va-t-il faire face à la violence des hommes ?
Un roman d'aventures haletant, pour revivre toute l'histoire du film « Croc-Blanc ».
L'adaptation du roman de Jack London promet de grands moments d'émotion en famille !
Un bien joli livre qui nous raconte la célèbre aventure de Croc Blanc, un chien loup en Amérique du Nord, né d’un père loup et d’une mère chienne.
L’histoire est adapté du roman Croc-Blanc de Jack London mais cette version avec quelques illustrations permet aux plus jeunes lecteurs (dès 8 ans) de se plonger dans les aventures de ce personnage canin et d'appréhender la lecture en douceur.
C'est un roman illustré qui traite de nombreux sujets tels que la nature humaine, la cupidité, la bravoure...
Ma fille a adoré ce livret bien qu'elle ait trouvé l'histoire triste.
Une énième reprise d l'histoire de Croc Blanc, un peu différente et quasiment centré sur un seul évèvement, beaucoup moins riche que le roman de Jar London mais qui a le mérite d'amener les enfants vers la lecture.
Lu avec mon fils, qui avait vu le film (il en a même corrigé certains dialogues) ce n'était donc pas une découverte mais un agréable partage qui donne envie de lire ou de relire le roman original.
Bonjour mes petits amis ! Aujourd'hui, je vais vous parler de l'adaptation cinématographique d'un roman de légende, d'une histoire intemporelle qui a su marquer toutes les générations : aujourd'hui, je vais vous parler de Croc-Blanc d'Alexandre Espigares. Mais tout d'abord, je tiens à sincèrement remercier le site lecteurs.com pour l'envoi de ce très beau blu-ray ainsi que pour ce très sympathique livret d'activités élaboré par les éditions Gallimard Jeunesse qui l'accompagnait. Je me suis grandement amusée à faire les petits jeux qui y étaient proposés, à lire les informations essentielles qu'il contient sur la vallée canadienne du Yukon et sur la fameuse ruée vers l'or et surtout, j'ai adoré faire le sublime coloriage du totem indien proposé à la toute fin. J'ai eu l'impression de retourner quinze ans en arrière et cela m'a fait un bien fou ! Sans plus attendre, passons à ce sublime film d'animation devant lequel j'ai passé un excellent moment. Attention, frissons et belles et grandes émotions garantis !
Ce qui m'a tout d'abord impressionnée et ce dès les premières minutes du long-métrage, c'est le lien saisissant entre le choix même de l'animation et les personnages. Je vous explique : dans ce dessin animé, les êtres humains sont représentés avec des traits anguleux, très froids, comme s'ils étaient des marionnettes ou des poupées de chiffon inanimées. Même les figures bienveillantes aux traits du visage plus doux et lumineux comme le Marshall Weedon Scott et sa femme Maggie ou les Indiens ont un petit côté angoissant dans la façon dont ils sont dessinés. On constate cependant un contraste évident entre la façon dont les méchantes gens tels que Beauty Smith, parfait exemple de la cruauté et de la cupidité humaines avec sa petitesse physique et morale, son côté malingre et sa malveillance inscrite sur sa face difforme, sont constamment dépeints dans l'obscurité des fight clubs pour chiens, et celle où les humains qui font des erreurs et ont peur de l'inconnu mais qui essayent néanmoins de se montrer ouverts d'esprit et généreux sont représentés de manière encourageante, baignés d'un halo de lumière.
Mais surtout, ce film d'animation est une ode à la nature avant toute chose. Celle-ci est dessinée avec des couleurs chatoyantes, vives et chaudes, là où la grande ville au bord du fleuve Klondike n'est que teintes de gris, de noir et de brun délavé. Cette représentation magnifique des grands espaces nous donne juste envie de renouer avec la nature, de retrouver le contact avec cette terre brute et cette beauté sauvage qui est incarnée par chaque arbre gigantesque, par chaque montagne à gravir, par chaque brin d'herbe de cette forêt verdoyante, enchanteresse, auréolée de lumière mais aussi extrêmement dangereuse. Le monde des animaux symbolise la liberté et la paix sans condition tandis que celui des humains représente la cupidité, l'appât du gain, l'oppression, la soumission, la violence et la discrimination, la cruauté envers les créatures de Dieu et envers Mère Nature, mais aussi envers ses semblables, envers la couleur de peau, envers tout ce qui est différent. J'ai trouvé que le film nous donnait à réfléchir sur tout ce que l'être humain a de bon ou de mauvais en lui. Sans être moralisateur, par simple évocation, le film invite les jeunes enfants comme les adultes à reconnaître ce qui est ou non moralement condamnable. Il y aura certains passages du film qui vous feront hérisser le poil d'indignation et de dégoût et d'autres qui feront juste fondre votre cœur d'amour à l'état pur et de reconnaissance. À mes yeux, ce film d'animation saura vous toucher au plus profond de vous autant sur le fond que sur la forme. Les deux se marient à merveille afin de vous faire vivre une aventure extraordinaire, celle de Croc-Blanc, un animal d'exception aussi fidèle et protecteur qu'un chien, meilleur ami de l'Homme, et aussi libre comme l'air, fort et instinctif qu'un loup. Je vous mets au défi de ne pas craquer face à son adorable bouille de chiot absolument trop mignon ou face à sa trogne trop craquante de chien adulte. Cela me ramène à ce que je disais plus tôt sur le choix de l'animation : les êtres humains sont représentés comme étant des créatures inanimées, tandis les animaux comme le très attachant Croc-Blanc, sa sublime mère Kishé ou encore les loups affamés au regard de tueur sont dessinés avec des traits beaucoup plus doux, plus agréables à contempler pour les yeux, comme s'ils nous apparaissaient comme étant clairement vivants, habités par une âme véritable, vibrante et qui ne pourra que nous émouvoir. On s'identifie à leur situation, à leurs besoins, à leur incompréhension face au fait que les hommes empiètent progressivement sur leur territoire. On compatit face à leur souffrance, face à la soif d'émancipation et au besoin vital de retour à l'état sauvage de Croc-Blanc et cela nous amène à nous remettre sérieusement en question, au niveau de notre soi-disant humanité et de notre comportement concernant l'environnement qui nous entoure et la vie des autres êtres qui y habitent. Le film ne dure peut-être qu'une heure vingt mais c'est juste ce qu'il faut pour nous faire passer des messages justes, percutants, essentiels, qui vont droit jusqu'à leur cible. C'est clair et efficace et plus d'une semaine après mon visionnage du film d'Espigares, cela continue à cogiter dans ma petite caboche. En clair, ce film est important et je ne vous encouragerai jamais assez à le regarder si vous souhaitez allier l'utile à l'agréable.
Avant de conclure, je souhaitais juste consacrer un petit paragraphe à la musique composée par Bruno Coulais et interprétée par l'orchestre philharmonique du Luxembourg. J'ai tout simplement adoré cette bande soundtrack qui rythme à merveille le récit, qui mêle avec brio le grandiose de la musique classique aux sonorités et notamment aux percussions de la musique traditionnelle indienne, et cela se marie ainsi parfaitement aux immenses paysages de nature superbe et brute que l'on nous présente, aux différents moments forts de la vie de Croc-Blanc, que ce soit en tant que bébé chien téméraire dans la grande forêt, en tant que chien de traîneau solide comme le roc et rapide comme l'éclair de la tribu d'Indiens ou en tant que chien de combat esseulé aux mains de Beauty Smith dans la sombre et grande ville. La musique se fait alors tour à tour effrénée, entraînante, angoissante, mélancolique ou encore toute douce et apaisante lors des instants joyeux et source de sérénité que Croc-Blanc va vivre avec le couple Smith ou lors des premiers instants de sa vie, seul avec sa bien-aimée mère louve. En clair, j'ai été totalement emballée par la musique du film qui nous fait passer par de grands moments d'émotion. Quant au doublage français, je n'ai rien à redire là-dessus. Nous avons là un beau casting cinq étoiles avec de grands acteurs français, Virginie Efira, Raphaël Personnaz et Dominique Pinon, qui prêtent leurs voix aux trois personnages principaux. Le reste des doubleurs ont également des voix qui correspondent tout à fait aux personnages qui leur ont été attribués, on sent que le travail a été également soigné de ce côté-là avec des acteurs triés sur le volet et de très bons choix de doublage, de quoi donner d'autant plus de crédibilité et de souffle au récit. Pour moi, Croc-Blanc est un film de qualité sur tous les plans, cela va s'en dire.
Pour conclure, je ne peux que vous encourager à visionner Croc-Blanc au moins une fois, par simple curiosité. Je peux vous garantir que vous ne serez pas déçus ! Ce film d'animation superbement maîtrisé est selon moi un joli plaidoyer pour la nature, pour le droit des animaux d'être traités comme nos égaux, pour un respect écologique et moral de notre belle planète bleue et des êtres vivants qui la peuplent, qu'importe la couleur de leur peau (merci Pocahontas et L'air du vent). J'ajouterais à cela que Croc-Blanc est avant tout une adaptation très fidèle du livre d'origine, pour les souvenirs que j'en ai. En effet, ma lecture de ce grand classique signé Jack London remonte déjà à quelques années mais j'en ai néanmoins un souvenir extrêmement vivace dans ma mémoire de lectrice. En me plongeant dans ce roman, j'avais eu véritablement l'impression de sentir la terre humide et incultivée sous mes pieds, de sentir l'air pur du Grand Nord emplir mes poumons et son froid sec et revigorant me pénétrer jusqu'aux os. J'en étais presque prête à hurler à la lune moi aussi, tant je me sentais vivre cette histoire de quête de la liberté sauvage et d'identité animale auprès de Croc-Blanc. Eh bien, ce film m'a fait le même effet, m'a fait ressentir ces même sensations libératrices, qui donnent le sentiment authentique d'être en vie, de ne faire qu'un avec sa nature profonde, de renouer avec ses origines. Et, tout comme le chef-d'oeuvre de London, je ne suis pas prête de l'oublier non plus !
Grâce à lecteurs.com et aux éditions Gallimard Jeunesse que je remercie, je me suis plongée dans Croc-Blanc : le roman du film.
La magie du texte est encore là, les enfants devraient accrocher à cette version illustrée par des images du film.
La présentation des personnages du film en deuxième de couv est une bonne idée, surtout pour les enfants qui ont du mal à lire. Mon neveu qui a 9 ans, a adoré ce livre!
Mignon et attendrissant, ce livre aborde des sujets tels que : le chantage, le traitement accordé aux peuples autochtones par les instituons, la considération des animaux par les humains et bien d’autres thématiques.
Nous y suivons les aventures de Croc-Blanc, un chien loup en Amérique du Nord, né d’un père loup et d’une mère chienne, sa vie est pleine d’aventures, de rencontres, de découvertes.
Il sera amené à rencontrer des humain et découvrir leur monde, permettant une très légère critique de notre monde moderne.
Ce héro principal est attachant, brave et courageux.
Il possède une grande curiosité et un esprit d’aventure.
Les personnages secondaires sont suffisamment développés et exploités ; Ils sont facilement identifiables pour les enfants et apportent beaucoup à la narration.
Un livre pour enfant qui n’est pas pour autant abrutissant, il est agréable peut importe l’age du lecteur grâce aux différent niveaux de lecture que peut prendre l’histoire.
Ce livre comporte 124 pages et peut se lire dès 8 ans, on y retrouve une belle illustration en noir et blanc avant chacun des 11 chapitres permettant de visualiser une des scène du chapitre.
Un rappel des personnages est illustré en couleur sur les deuxième et troisième de couvertures permettant de mieux se représenter les différents acteurs du roman, que ça soit les personnages principaux et quelques personnages secondaires.
L’histoire est adapté du roman Croc-Blanc de Jack London, est m’a donné ainsi envie de découvrir cette première version et d’autres aventures écrites par Jack.
J’ai beaucoup apprécié ma lecture bien que plus une enfant, j’ai en effet passé des très bon moments en le lisant durant mes soirées d’hiver.
Un roman que j’amènerai pour mes prochaines heures de babysitting.
Un grand merci à lecteur.com et aux éditions gallimard jeunesse de m’avoir permit de le découvrir grâce au concours qu’ils ont organisé.
Je tiens à remercier lecteurs.com ainsi que les éditions Gallimard Jeunesse pour l’envoi de » Croc-Blanc : le roman du film « , un roman destiné à un public de 8 à 13 ans.
Largement inspiré de l’incontournable classique de Jack London, ce roman de Michel Leydier est adapté du film d’animation du même nom, sorti dans les salles en début d’année 2018.
Au temps de la ruée vers l’or, au cœur des grands espaces canadiens, un jeune louveteau et sa mère luttent pour survivre dans des conditions de vie plutôt inhospitalières.
p. 11 : » Kiché estima que le moment était venu de ne plus considérer son fils comme un nouveau-né. Elle décida qu’il était assez grand pour l’accompagner dans ses sorties. «
C’est une lutte quotidienne pour la vie : manger ou être mangé. Et le jeune Croc-Blanc fait cet apprentissage aux côtés de sa mère. Mais pour le jeune loup, tout n’est encore qu’un immense terrain de jeu.
p. 12 : » Tout l’émerveillait. Il se sentait libre. «
Mais cette liberté a un prix. Kiché se retrouve gravement blessée suite à un combat acharné avec un lynx. Désormais incapables de chasser pour se nourrir, ils n’ont d’autre alternative que de se rapprocher des humains.
p. 24 : » – Weedon ! s’écria-t-il. Combien on a de chiens ?
-Depuis que les loups ont eu Bunk et Jimmy, il nous en reste six ! répondit son collègue.
-Eh bien… maintenant on en a sept. «
Si Kiché a déjà vécu dans un village indien auprès de Castor-Gris, Croc-blanc va, quant à lui, faire l’amer découverte des hommes blancs qui ont pris possession de leurs terres.
p. 40 : » Avec cette ruée vers l’or, les autorités ont l’intention de vendre la terre que vous occupez. «
Les Indiens, habitants de ses terres depuis toujours, et vivant en communion avec la faune et la flore locales, se retrouvent expulsés des terres sur lesquelles ils ont construit toute leur vie. Castor-Gris et sa famille se retrouvent alors dans l’obligation de trouver d’autres moyens de survivre.
p. 53 : » – C’était différent avant que les hommes blancs ne viennent chercher de l’or, dit-il. On va vendre nos moufles et on repartira aussitôt après. «
La folie de la ruée vers l’or conduit les hommes à se conduire sans pitié et fait ressortir le plus mauvais chez eux. La cohabitation entre les Indiens et les blancs est compliquée. Les uns l’ont choisie, alors que les autres la subisse. Croc-Blanc va devenir un objet de convoitise pour ses hommes prêts à tout pour s’enrichir un peu plus…
p. 69 : » Croc-Blanc se sentait abandonné, trahi. Les hommes étaient-ils donc ainsi ? Il les détestait et ne souhaitait qu’une seule chose : fuir leur monde et regagner la montagne froide et sauvage où il avait grandi. «
Lui qui rêvait de liberté, va, en captivité, découvrir la sauvagerie des hommes.
p. 77 : » Les humains avaient fait de lui une bête assoiffée de sang, un animal tout juste bon à se servir de ses crocs. Il se sentait prisonnier, enchaîné, loin des terres où il était né. Il n’avait pas choisi cette vie. Valait-elle vraiment la peine d’être vécue ? «
Heureusement, le marshal Scott Weedon va progressivement le réconcilier avec l’espèce humaine. Mais à quel prix ?
Un roman habilement adapté au jeune public. Son format et son écriture permet à l’enfant un confort de lecture non négligeable. J’ai apprécié l’idée originale de présenter les personnages principaux dans la couverture intérieure. Ainsi l’enfant peut s’y référer aisément. Astucieux ! Bref, tout est mis en œuvre pour apporter un plaisir maximum à l’enfant à la lecture des aventures incroyables de Croc-Blanc ! Mon seul petit bémol est qu’il n’est qu’une réécriture d’un grand classique, dont le mérite ne peut lui revenir intégralement.
une belle histoire, un classique indémodable!
Une magnifique histoire qui vous fera passer par divers émotions, à lire et/ou à offrir absolument aux enfants !
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