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Correspondance romaine ; présentée et annotée par Cyril Bongers

Couverture du livre « Correspondance romaine ; présentée et annotée par Cyril Bongers » de Gabriel Pierne aux éditions Symetrie
  • Date de parution :
  • Editeur : Symetrie
  • EAN : 9782914373128
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

" Je ne puis absolument pas écrire sur le papier l'admiration qui m'a frappé en voyant la villa Medici. Quand je pense que pendant deux ans j'habiterai là-dedans, mais c'est un rêve réalisé. Oh, je suis trop heureux ! " Si la postérité n'a voulu retenir de Gabriel Pierné (1863-1937) que ses... Voir plus

" Je ne puis absolument pas écrire sur le papier l'admiration qui m'a frappé en voyant la villa Medici. Quand je pense que pendant deux ans j'habiterai là-dedans, mais c'est un rêve réalisé. Oh, je suis trop heureux ! " Si la postérité n'a voulu retenir de Gabriel Pierné (1863-1937) que ses importantes activités de chef d'orchestre, il n'en reste pas moins un grand compositeur, auteur d'une oeuvre de qualité encore à découvrir. Signe manifeste de la multiplicité de ses talents, c'est par le prestigieux prix de Rome qu'il acheva ses années d'études au Conservatoire. Cette récompense très convoitée lui valut le privilège de vivre quelques années dans le cadre idéal de la villa Médicis, avec pour seule obligation d'y parfaire son art. La correspondance présentée dans ces pages, totalement inédite, en représente le témoignage unique ; celui d'un jeune compositeur ambitieux partagé entre l'espoir d'un avenir glorieux et l'insouciance de la jeunesse. Dans ce véritable journal de bord où se côtoient sans distinction les noms de Grieg, Liszt, Wagner et Debussy, Gabriel Pierné relate jour après jour, dans un style des plus vivants, l'émerveillement suscité par chacune de ses découvertes.
" Cependant, dans les Meistersinger, Wagner a été bien plus musical que dans sa Tétralogie, où le chanteur n'est absolument que l'humble explicateur de ce qui se passe. À la 1ère audition c'est indigeste, mais à la 2e on est empoigné, émerveillé. Quant à faire de la musique comme celle-là, je ne le souhaite pas. Vous voyez chers parents que tout en aimant Wagner, je ne suis pas encore Wagnérien. "

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