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«Les Contes cruels effectuent un va-et-vient constant entre le réel qu'ils dénigrent en paraissant l'encenser et l'absolu auquel ils renvoient en semblant s'en moquer : l'un présuppose l'autre. Le malaise salutaire de l'écriture dont parlait Roland Barthes à propos de Flaubert, Villiers l'obtient par cette impossible synthèse : dans ses contes, il présente en même temps - tel est le Janus de la modernité - une face grave et une face sardonique. La dédicace de L'Ève future, Aux rêveurs, aux railleurs, aurait donc eu tout aussi bien sa place au début des Contes cruels, comme, d'ailleurs, au fronton de toute l'oeuvre d'un poète qui ironis[a] son rêve quand la vie le dégoûtait même du rêve.»Marie-Ange Voisin-Fougère.
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