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Claudia Comte

Couverture du livre « Claudia Comte » de Claudia Comte aux éditions Jrp / Ringier
Résumé:

Une vue d'ensemble du travail de l'artiste suisse Claudia Comte, qui concilie rigueur Néo-Géo et irrévérence ludique dans une pratique entre peinture, sculpture et installation, directement influencée par la culture populaire (des cartoons américains à l'artisanat vernaculaire), les éléments... Voir plus

Une vue d'ensemble du travail de l'artiste suisse Claudia Comte, qui concilie rigueur Néo-Géo et irrévérence ludique dans une pratique entre peinture, sculpture et installation, directement influencée par la culture populaire (des cartoons américains à l'artisanat vernaculaire), les éléments naturels, l'héraldique et les mouvements artistiques historiques comme l'Op art, le Pop art, l'expressionnisme abstrait et l'art concret.

« Elle réussit l'alliance entre la peinture géométrique et la sculpture abstraite, entre les compositions murales héritées de l'art concret et une statuaire qui tirerait du côté de Henry Moore, mais en version cartoon. Depuis plusieurs années, Claudia Comte et son oeuvre colorée et drôle gravissent gentiment les marches du milieu de l'art. Avec Pamela Rosenkranz en Suisse alémanique, la Vaudoise appartient à ce tout petit cercle d'artistes femmes qui imposent leur place sur la scène helvétique et internationale.
Aussi habile à manier la tronçonneuse que le scotch, Claudia Comte assume ce petit côté « nature » capable de débiter des stères de bois tout en traçant avec délicatesse des sillons op art sur une toile.
Née en 1983, élevée à Grancy au pied du Jura, formée à l'ECAL mais désormais résidente berlinoise, la Vaudoise est l'auteure d'une oeuvre qui détourne les poncifs artistiques de la modernité. Chez elle, une variation autour du cercle et du carré devient une tête de personnage de dessins animés, une sculpture dans le style de Max Bill, un lapin hystérique posé sur un socle. Un petit air vintage qui rappelle le travail de Bertrand Lavier qui reproduisait en grand certaines sculptures molles apparues dans les cases du Journal de Mickey. » Emmanuel Grandjean, Le Temps.

Publié suite à l'exposition de Claudia Comte « 10 Rooms, 40 Walls, 1059 m2 » au Kunstmuseum Luzern, du 4 mars au 18 juin 2017.

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