Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Ciel de ma mémoire, est une invitation au voyage de la pensée. Mais d'une pensée qui fait l'expérience.
Le titre convoque une espérance à propos d'un passé dont on pourrait extraire une pleine conscience. Il invoque également..., un désir d'« infini », le témoin d'une « éternité », l'origine-lumière « du trou de » la « mémoire ».
Après avoir « tiré les ombres »* d'un soleil noir à coudre, la poète, ici, les étire, en quelque sorte, comme un être cousu de cette « éternité », de ce désir de traverser « la chaude lumière ». N'oubliant pas qu' « on ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve » (Héraclite).
Elle avance. Sans vraiment savoir. Le pas effréné. Le pas hésitant. Toujours un peu plus. Elle tient. Le temps du jour. À l'écart. Elle tient. Un autre temps. Dépouillé « pour se mettre à nu ». Elle ne retient. Que cette phrase-douleur. Dans la nuit qui l'a « bercée à tort ».
Extrait de la préface
Damien Paisant
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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