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Il est des hommes ainsi faits qu'ils mènent l'élan poétique vers des horizons qui s'ouvrent bien au-delà des rails, là où s'entremêlent les crinières folles de l'Histoire, la déraison des sentiments, la gouaille magique d'un Dylan et la transe ferraillée d'un Cendrars.
Ces hommes en voyage s'exposent à de telles forces. Ils le savent. Comme ils savent reconnaître le cri des mots, et le chant de l'âme quand il surgit. Alors ils l'écoutent, lui obéissent.
C'est ce que fit Raphaël Sarlin-Joly un jour de mai quand il partit pour Vladivostok, et quand il en revint, avec agrippé au coeur les vibrations scéniques d'un chant, une épopée.
Canto Transsibérien est le blues en neuf temps d'un Far-East obscur et ténébreux ; il se lit, se chante, se scande sur scène ou dans la rue, rugueux comme un Vissotsky, incarné comme un Maïakovski, universel comme un Neruda.
Canto Transsibérien est un surgissement.
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