La photographie publiée, contemplée, connue et reconnue, émerge, unique, de la continuité des prises de vue que montrent les planches-contact, archives plus ou moins secrètes de l'oeuvre.
Lorsqu'apparaissent les appareils petit format, chargés de film en rouleau, les photographes choisissent de se livrer soit à l'impulsion du déclenchement dans le choc d'une rencontre, soit à la construction d'un cliché par essais successifs. André Kertész se situe à la conjonction de cette problématique technique et esthétique. L'oeuvre qu'il a réalisée en flânant dans le Paris des années trente est matière à un questionnement sur l'engendrement de la photographie - transaction entre l'oeil, le boîtier, l'espace et le temps de la prise de vue -, sur l'incarnation progressive ou soudaine de choix plastiques, et Sur les images mentales présentes comme en filigrane.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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