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Né, à Paris, de parents russes émigrés durant la révolution de 1917, Alexis Stroukoff entre à l'école de photographie en 1960, une époque où tout est possible pour un jeune photographe. Il évolue alors de rencontres en rencontres. La première est celle du photographe Lipnizky qui possède une agence de photographies spécialisées dans le théâtre et l'opéra. Il y fera ses premières armes en tant qu'assistant, puis comme photographe du studio, prenant dans son viseur Yves Montand, Juliette Greco ou encore Eugène Ionesco.
Puis il quitte cet univers pour entrer dans la cour des vedettes, chez Filipachi. Travaillant avec Jean Marie-Perrier au magazine Salut les Copains, il suit désormais Claude François en Afrique, Adamo à l'Exposition universelle, France Gall, Sheila, Nicoletta, Nino Ferrer, mais aussi Dick Rivers et Antoine.
En 1971, un nouveau défi se présente quand il rentre à Paris d'un séjour en Angleterre. Pour Vogue, il signe des photos aux côtés de Guy Bourdin et Henry Clarke, puis continue à faire des photographies de mode et beauté, ainsi que des reportages qui le mènent de Haïti en Israël. Il croise alors les maîtres que sont Beaton, Horst, Newton, Pen, et commence à mettre en pages ses propres photos, avant de devenir directeur artistique de Vogue en 1986. Il quitte le magazine en 1991, pour concevoir la revue Aura pour Art Curial avec Dorothée Lalane.
1960-1990, à quelques années près, ce sont trente ans d'un regard sur les choses et les hommes que livre Alexis Stroukoff à travers ces pages. Mais tout cela est-il vrai, ou bien est-ce plutôt le miroir d'une époque ?
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