Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Alain Guy Clément ; les chemins qui ne mènent nulle part

Couverture du livre « Alain Guy Clément ; les chemins qui ne mènent nulle part » de Sylvio Brianti et Giorgio Seveso aux éditions Edicite
Résumé:

En cinquante ans de peinture Alain Guy Clément n'a jamais cessé dans son oeuvre d'explorer le fil du temps métaphysique de l'Homme, lequel confronté à des situations tragiques, ne peut prendre que des chemins qui ne mènent nulle part.
Né à Cannes à 1938, il a étudie à l'École des Beaux-Arts de... Voir plus

En cinquante ans de peinture Alain Guy Clément n'a jamais cessé dans son oeuvre d'explorer le fil du temps métaphysique de l'Homme, lequel confronté à des situations tragiques, ne peut prendre que des chemins qui ne mènent nulle part.
Né à Cannes à 1938, il a étudie à l'École des Beaux-Arts de Paris de 1956 à 1959. Il quitte la capitale pour devenir italien dans l'après Mai 68. Il vit et travaille en Italie de 1969 à 1989 (Milan, Florence, Modène, Monza). Là, il va mettre en place son univers et participer à l'effervescence artistique en Italie en proximité d'artistes tels que Fabrizio Merisi, Tino Vaglieri, Luigi Achilli, Lino Marzulli, Attilio Forgioli, Vitale Petrus, Luigi Volpi et bien d'autres...
Dans les années 1980, en accentuant la métaphysique cultivée de ses oeuvres, il rejoint naturellement le mouvement de la Transavanguardia. Il a exposé dans les galeries les plus actives de Milan, Modène, Crémone, à l'Institut Français de Florence (sous la direction de Daniel Arasse). Alain Guy Clément retourne en France en 1989, à Paris, puis s'installe à Montauban en 2000. Il garde un pied en Italie : résidant partiellement à Imperia, il continue de montrer son travail à Milan (galerie Spazioarte en 2009).
Il est suivi depuis de nombreuses années par le critique d'art milanais Giorgio Seveso .

Donner votre avis