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Inspiré de faits réels. « L'énigme dans toute sa splendeur. Peut-on renoncer à un casse-tête chinois quand on sait que la solution existe ? Non. Et pourtant j'ai dû m'y résoudre, et je pensais mourir sans avoir pu trouver la clé du mystère. Contre toute attente, cette clé m'a été fournie, moins de deux mois avant mon départ en retraite, le mardi 02 novembre 1971, soit trente-quatre ans et cinq mois après le meurtre, par l'assassin lui-même. Et c'est à l'ombre de mes pins, que j'ai décidé de vous relater l'incroyable histoire du crime du métro de 18 h 37. » En 1937, une jeune femme est assassinée dans le métro parisien. Après une longue et vaine enquête, l'affaire est classée et le crime réputé « parfait ». Près de trente-cinq ans après, Edgar Fillot, directeur du 36, quai des orfèvres, et qui avait lui-même participé aux recherches en 1937, reçoit par courrier la confession anonyme de l'assassin. Les détails qui figurent sur la lettre ne laissent pas de place au doute, son rédacteur est bien la personne qui a tué Dolores. Malgré la large prescription du crime, Fillot décide tout de même, sans cadre légal et à quelques jours à peine de son départ en retraite, de mettre tout en oeuvre pour identifier le meurtrier. Aidé par son secrétaire, le phénoménal Harald Dumarais, le directeur de la P.J. reprend l'enquête, en marge de la loi.
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