Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
J'aurais aimé apprécier ce second roman de l'auteure dont j'avais adoré le premier Fatum.
Malheureusement, le charme n'a pas opéré cette fois-ci.
Tous les ingrédients sont bien là, au bon endroit et au moment où il le faut.
Il y a de beaux décors : Toulon et la mer, le Beaujolais et ses vignes.
Il y a des questions sans réponse au début : qui est la mystérieuse blonde ?
Il y a des personnages attachants : la mère de Laurie et son dealer.
Mais les trop nombreux adjectifs inusités ont eu raison de ma patience, et j'avais deviné le coupable.
Un RDV manqué.
’ai aimé qu’il n’y ai pas dans ce roman noir de repères spatiaux ni temporelles. Ce récit aurait pu se dérouler n’importe où en France.
J’ai aimé le parler wesh des ados, compréhensible et parfois sous-titré, en opposition avec le récit en italique de chaque débit de chapitre, au registre soutenu.
J’ai adoré les titres de romans glissés dans la narration : Feu pâle de Nabokov a été mon préféré.
J’ai aimé le leitmotiv de l’ombre dont le champ lexical est développé dans tout le roman.
J’ai aimé que les prénoms des personnages commencent tous par S, comme la première lettre du prénom de l’autrice.
Je ne vous ai pas parlé de l’histoire ? Je vous laisse la découvrir.
L’image que je retiendrai :
Une odeur plutôt, celle du patchouli dont s’asperge une des filles, mais qui vire sur sa peau.
https://alexmotamots.fr/fatum-sophie-callet/
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