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Intéressant. Tout d’abord un rappel de l’histoire, puis mon avis. Le rappel : Deus ex machina, dieu « créé » par l’imagination de Yukiteru décide de se trouver un successeur. Il transforme les portables de 12 personnes en chronographe ; chacune d’elles peut avoir des informations sur l’avenir. Ses informations seront différentes selon le propriétaire du chronographe dans leur durée, leur angle de vue. Ces douze personnes devront s’éliminer ; le survivant deviendra Deus ex machina. L’auteur introduit des histoires annexes pour corser le déroulement des évènements.
Mon avis : L’histoire est toujours aussi riche en rebondissements. Il faut même s’accrocher pour ne rien manquer !! L’auteur nous dévoile enfin une partie du mystère expliquant la présence de 2 Yuno. Il nous révèle aussi l’amour d’Aru pour Yukki, amour qui lui sera fatal compte tenu du caractère possessif de Yuno. Enfin, l’on découvre quels sont les plans de Yuno pour pouvoir continuer à « profiter » de Yukki tout en gagnant le jeu !!De son côté, Murmur contrôle Deus qui se désagrège comme le monde se désagrège.
Intéressant. Tout d’abord un rappel de l’histoire, puis mon avis. Le rappel : Deus ex machina, dieu « créé » par l’imagination de Yukiteru décide de se trouver un successeur. Il transforme les portables de 12 personnes en chronographe ; chacune d’elles peut avoir des informations sur l’avenir. Ses informations seront différentes selon le propriétaire du chronographe dans leur durée, leur angle de vue. Ces douze personnes devront s’éliminer ; le survivant deviendra Deus ex machina. L’auteur introduit des histoires annexes pour corser le déroulement des évènements.
Mon avis : J’adore cette histoire dont il vaut mieux ne pas manquer un épisode sous peine de perdre le fil. Les alliances évoluent car le jeu se termine et personne ne souhaite mourir maintenant. L’auteur nous dévoile encore certains éléments concernant la n°9. Décidément c’est le personnage que je préfère. Elle a vraiment une histoire, une personnalité aboutie.
Des trous noirs apparaissent sur terre , comment le monde va-t-il s’en sortir ?
Intéressant. Tout d’abord un rappel de l’histoire, puis mon avis. Le rappel : Deus ex machina, dieu « créé » par l’imagination de Yukiteru décide de se trouver un successeur. Il transforme les portables de 12 personnes en chronographe ; chacune d’elles peut avoir des informations sur l’avenir. Ses informations seront différentes selon le propriétaire du chronographe dans leur durée, leur angle de vue. Ces douze personnes devront s’éliminer ; le survivant deviendra Deus ex machina. L’auteur introduit des histoires annexes pour corser le déroulement des évènements.
Mon avis : Un grand bazar comme Sakae Esuno sait le faire. Nous voilà reparti pour réécrire l'histoire, enfin partiellement.
J'ai adoré ce livre aux multiples rebondissements, où rien n’est définitif. Mais j'ai du le lire deux fois pour réussir à démêler l'écheveau des différentes temporalités, des multiples Yuno et je ne suis pas sûre encore d'avoir tout saisi !!! J'ai retrouvé avec plaisir la n°9 à laquelle je m'étais attachée. C'est un coup de génie que de l'avoir réintroduite.
Intéressant. Tout d’abord un rappel de l’histoire, puis mon avis. Le rappel : Deus ex machina, dieu « créé » par l’imagination de Yukiteru décide de se trouver un successeur. Il transforme les portables de 12 personnes en chronographe ; chacune d’elles peut avoir des informations sur l’avenir. Ses informations seront différentes selon le propriétaire du chronographe dans leur durée, leur angle de vue. Ces douze personnes devront s’éliminer ; le survivant deviendra Deus ex machina. L’auteur introduit des histoires annexes pour corser le déroulement des évènements.
Mon avis : L’auteur reste concentré sur l’histoire principale. J’apprécie que les enjeux évoluent parallèlement dans les deux univers. Je trouve intéressant de découvrir qu’un dieu puisse être faillible et s’être fait manipulé. Jusqu’où ira –t-on dans les alliances entre les joueurs et entre les deux univers. Bien sûr, le décès de Nishijina m’a attristé … un peu de douceur et de normalité dans ce monde violence n’était pas pour me déplaire, et je m’étais prise d’affection pour la n°9.
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