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Raphael Zamochnikoff

Raphael Zamochnikoff
Raphaël Zamochnikoff est né en 1977. Il a grandi au milieu des forêts profondes du Jura. À 17 ans, alors que l'école l'ennuie, il se met à écrire d'épais romans d'aventure qui feront pendant de longues années son apprentissage. Il nourrit son amour du cinéma et des histoires en dévelop... Voir plus
Raphaël Zamochnikoff est né en 1977. Il a grandi au milieu des forêts profondes du Jura. À 17 ans, alors que l'école l'ennuie, il se met à écrire d'épais romans d'aventure qui feront pendant de longues années son apprentissage. Il nourrit son amour du cinéma et des histoires en développant des scénarios et en tournant des courts métrages. Il vit aujourd'hui à Nice. La maison vénéneuse est son premier roman.

Articles en lien avec Raphael Zamochnikoff (1)

Avis sur cet auteur (10)

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    Couverture du livre « La maison vénéneuse » de Raphael Zamochnikoff aux éditions Belfond

    Spitfire89 sur La maison vénéneuse de Raphael Zamochnikoff

    Le premier roman de Raphaël Zamochnikoff, premier livre que j'avais entamé lors de la rentrée littéraire 2023, récit d'horreur et drame familial dont je n'avais pas accroché malgré le personnage d'Arty qui est attachant et touchant. Un thème attractif mais le récit est complexe, confus, beaucoup...
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    Le premier roman de Raphaël Zamochnikoff, premier livre que j'avais entamé lors de la rentrée littéraire 2023, récit d'horreur et drame familial dont je n'avais pas accroché malgré le personnage d'Arty qui est attachant et touchant. Un thème attractif mais le récit est complexe, confus, beaucoup de mal a s'y immerger, roman contemporain avec une atmosphère séduisante mais hélas je n'ai pas adhéré.

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    Couverture du livre « La maison vénéneuse » de Raphael Zamochnikoff aux éditions Belfond

    Isa Pouteau sur La maison vénéneuse de Raphael Zamochnikoff

    En partant des terreurs qu’ont souvent les enfants, Raphael Zamochnikoff raconte l’histoire d’un garçon d’une douzaine d’années qui vit dans la peur permanente de ce que cache sa maison.

    Issu d’une famille ordinaire, il est très influencé par son grand frère qui lui fait regarder des films...
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    En partant des terreurs qu’ont souvent les enfants, Raphael Zamochnikoff raconte l’histoire d’un garçon d’une douzaine d’années qui vit dans la peur permanente de ce que cache sa maison.

    Issu d’une famille ordinaire, il est très influencé par son grand frère qui lui fait regarder des films terrifiants et entretient ses peurs. Mais dans l’ensemble, la vie de cet adolescent, avec ses copains, son amie, ses parents est tout ce qu’il y a de plus classique

    Si des phénomènes inexpliqués viennent parsemer le fil de l’histoire, j'ai plus ressenti cette Maison vénéneuse comme les élucubrations d’un jeune garçon entrant dans l’adolescence, que comme un récit mystérieux sur des phénomènes paranormaux.

    Hésitant en permanence entre un récit psychologique et un conte fantastique , j’ai trouvé ce roman d’une longueur infinie et j'ai longtemps espérer y voir arriver un événement marquant qui n'est jamais venu.

    Je m’interroge encore sur l’intention de l’auteur qui, s’il voulait nous surprendre, est pour ma part bien passé à côté. J’espère au moins que ce roman aura servi à régler ses traumatismes d’enfant. Personnellement, je n'y ai rien trouvé d’intéressant.

    Un coup d’épée dans l’eau.

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    Couverture du livre « La maison vénéneuse » de Raphael Zamochnikoff aux éditions Belfond

    Géraldine C sur La maison vénéneuse de Raphael Zamochnikoff

    J'ai eu la chance de remporter ce roman de la rentrée littéraire grâce à lecteurs-com, un des titres qui m'intriguait et que je n'avais pas encore eu le temps de lire. C'est le premier roman de Raphaël Zamochnikoff, l'un des trois titres de la rentrée des Editions Belfond. Il y a des romans dont...
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    J'ai eu la chance de remporter ce roman de la rentrée littéraire grâce à lecteurs-com, un des titres qui m'intriguait et que je n'avais pas encore eu le temps de lire. C'est le premier roman de Raphaël Zamochnikoff, l'un des trois titres de la rentrée des Editions Belfond. Il y a des romans dont le titre vous parle d'instinct, et celui-ci est illustré par une couverture, qu'on aime ou pas, mais qui complète ses quelques mots liminaires, avec un résumé qui prend soin de ne pas trop en dévoiler. D'ailleurs, question de préserver les secrets, l'auteur sait y faire puisque jusqu'à la toute fin du livre, je n'ai pas cesser de me poser des questions sur la nature même du mystère au centre de cette fameuse maison.

    Retour dans les années 80, dans un petit village de Franche-Comté : Arty grandit avec son frère Franck entre leurs parents, Paul et Catherine Kena. Ils mènent la vie de jeunes adolescents un peu casse-cou qui écoutent des k7 dans leur walkman, vont se promener à vélo dans les forêts jurassiennes. Petit à petit, une sensation de malaise grandit chez Arty, dérangé par le silence de leur maison, qui a été conçu par leur père architecte et dans laquelle ils ont toujours vécu. En allant fouiner par ci et par là, Artu va déterrer des secrets, que chacun avait tenté d'oublier. Et pendant ce temps, les incidents inexplicables s'enchaînent dans et autour de cette maison.

    Le récit se révèle de plus en plus prenant, on suit avec plaisir les déambulations du jeune adolescent qu'est Arty, ses premiers émois, sa maturation aussi à travers une décennie qui fait partie d'un siècle déjà révolu depuis vingt ans, et des paysages escarpés forestiers. Il distille le mystère peu à peu, à travers l'imagination et les yeux d'un garçon qui a encore du mal à se rendre compte de la réalité qui l'entoure, de ses parents, de Claudie la meilleure amie de sa mère. L'acuité de cet esprit qui s'émancipe de l'enfance, le regard plus affûté, le jeune homme va commencer à relevés les indices parsemés ici et là, dans cette fameuse maison. La maison tient sa place, une place qui va ne faire que s'accroître, maligne, insidieuse et dérangeante, il n'en fait pas une entité machiavélique totalement indépendante, c'est plus pondéré, c'est bien plus informel que cela et ça en est la force du récit. Le suspens qui entoure cette maison est vraiment préservée jusqu'au bout du bout : ne pas s'attendre à des révélations fracassantes, ce qui était un peu mon cas, Raphaël Zamochnikoff n'a pas choisit la voix du fantastique claire et franche pour mener l'intrigue de son roman.

    Le cœur du sujet, ce sont les traumatismes que cette maison détient en son cœur, entre ses murs, consciencieusement étouffés, et pourtant qui sont visibles pour peu que la personne sache où regarder. La maison vénéneuse, c'est l'imagination débordante d'un garçon qui se cherche et se découvre, à travers le dessin qui exorcise ses fantômes, mais ce sera une autre paire de manches pour exorciser les fantômes de la maison. Le roman ne serait pas réussi sans la langue de l'auteur qui donne un peu de magie au récit de ce jeune Arthur et de cette famille aussi normale et classique qu'une grande partie des foyers français : maison, enfants, vie quotidienne émaillée de fêtes d'anniversaire et autres, lotissements, mais également ses disputes et ses drames. Je m'attendais à ce que l'auteur prenne une direction plus franche niveau tension psychologique et rebondissements, finalement, j'ai apprécié la voix de la subtilité et de la finesse que la simple intrusion d'un élément fantastique.

    J'ai trouvé la façon dont est menée l'intrigue, par rapport au sujet de fond et aux traumatismes que portent silencieusement la famille et que je vous laisse découvrir, finalement très intelligente : l'auteur a choisi une voix qu'il mène avec adresse jusqu'au bout, et même si il y a quelques épisodes un peu longuets, que je ne pense pas essentiel au fond et à la forme de l'histoire - notamment ces épisodes de la vie d'adolescent d'Arty - c'est un roman qui charme par sa simplicité, laquelle dissimule une fausse complexité, et un style qui vous happe du début à la fin.

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    Couverture du livre « La maison vénéneuse » de Raphael Zamochnikoff aux éditions Belfond

    Regine Zephirine sur La maison vénéneuse de Raphael Zamochnikoff

    Une maison aux comportements hostiles, voire meurtriers, envers ses habitants, voilà de quoi exciter la curiosité du lecteur.
    Dès le premier chapitre, on fait connaissance avec Arty, 11 ans, le héros de ce roman au scénario de film d’épouvante qui vit une drôle d’expérience :
    « Il chercha à...
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    Une maison aux comportements hostiles, voire meurtriers, envers ses habitants, voilà de quoi exciter la curiosité du lecteur.
    Dès le premier chapitre, on fait connaissance avec Arty, 11 ans, le héros de ce roman au scénario de film d’épouvante qui vit une drôle d’expérience :
    « Il chercha à bouger sa main droite, paralysée. Une pression sur son poignet, irrésistible, lui envoya cette information que quelqu’un était là. Quelqu’un le tenait. »

    L’auteur nous fait entrer de plain-pied dans cette famille et dans sa maison construite par le père architecte. Des deux garçons, c’est Arty, le plus jeune, que l’on va suivre avec sa bande de copains. Il découvre ses premiers émois amoureux, s’interroge sur le comportement des adultes et vit sa vie de pré ado. Mais voilà que les évènements étranges qui se passent dans cette maison qui a pourtant toutes les apparences de la maison du bonheur, l’inquiètent. Et si la maison était hantée, si elle leur voulait du mal ? Sa découverte d’un secret de famille bien gardé va corroborer ses doutes et une amie de la famille lui révèlera des pans de l’histoire familiale si bien dissimulée. D’autres faits inexpliqués viennent épaissir le mystère de la maison vénéneuse, comme sa mère piquée par une bête invisible. Il y a aussi l’histoire sanglante liée au lieu : autrefois un massacre aurait été perpétré dans une abbaye de femmes.

    Le personnage d’Arty est touchant dans sa sincérité et sa recherche de la vérité. Sa vie d’ado est bien racontée mais traine parfois en longueur
    L’auteur se complait à nous perdre sur de nombreux chemins, mélangeant réalité et fantastique. L’idée est louable, mais je me suis vite égarée entre ces fantômes d’une autre époque, ces piqures d’une bête introuvable, ces ombres inquiétantes et ces tentatives d’étranglement. Rajoutez à cela les rites de sorcelerie de la mère et le roman devient confus.
    Avec des développements excessifs, le style manque d’envergure et casse le rythme alors qu’on aimerait être tenu en haleine.
    Dommage ! Mais, comme tout premier roman, il faut rester indulgent… et attendre le suivant.
    Je remercie les éditions Belfond et Lecteur.com pour cette lecture.

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