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Pearl Buck

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Avis sur cet auteur (20)

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    Couverture du livre « Pivoine » de Pearl Buck aux éditions Le Livre De Poche

    Sophie Songe sur Pivoine de Pearl Buck

    Pivoine est une jeune esclave chinoise au service d'une famille juive. Ayant seulement un an d'écart avec son jeune maître, elle s'attache à lui au fil des jeux d'enfants qu'ils partagent. Mais en grandissant, éprise de lui, Pivoine prend conscience de son rôle. Elle oscille alors entre la...
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    Pivoine est une jeune esclave chinoise au service d'une famille juive. Ayant seulement un an d'écart avec son jeune maître, elle s'attache à lui au fil des jeux d'enfants qu'ils partagent. Mais en grandissant, éprise de lui, Pivoine prend conscience de son rôle. Elle oscille alors entre la nécessité de se détacher de lui et la confusion de ses sentiments. Pourtant, leurs liens et leurs destinées resteront inextricablement liés, malgré tout.

    J'ai été emportée par l'écriture de Pearl Buck, qui exhale à merveille les sens et les traditions. Elle décrit Pivoine avec une finesse remarquable, mêlant force, discrétion et discernement.

    On suit son parcours religieux et romanesque avec un ravissement certain. David, tout comme elle, est partagé entre le devoir et l'attirance des cœurs.

    L'intimité des personnages se dévoile progressivement : on espère avec eux, on fomente des plans, on vibre au gré des événements. Les débats sur le poids des racines s'animent sous nos yeux, tandis que les drames se dessinent et que les passions éclatent.

    J'ai été profondément touchée par les choix des personnages, qui, souvent contradictoires, finissent par s'imposer. Et je n'avais surtout pas anticipé cette fin, surprenante et poignante.

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    Couverture du livre « Vie n'attend pas (la) » de Pearl Buck aux éditions J'ai Lu

    sylvie adam sur Vie n'attend pas (la) de Pearl Buck

    Joan a fini ses études et rejoint sa famille, apparemment sans histoire. le père est pasteur et sa femme lui est toute assujettie. La jeune soeur ressemble à son père et seul Dieu compte dans son coeur. le jeune frère a l'air un peu rebelle mais rien de méchant tant que la mère surveille.
    Joan...
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    Joan a fini ses études et rejoint sa famille, apparemment sans histoire. le père est pasteur et sa femme lui est toute assujettie. La jeune soeur ressemble à son père et seul Dieu compte dans son coeur. le jeune frère a l'air un peu rebelle mais rien de méchant tant que la mère surveille.
    Joan croit au bonheur et la vie est douce jusqu'au jour où elle perd sa mère. Elle va devoir la remplacer auprès de son père et beaucoup de questions trouvent leurs réponses : elle comprend que sa mère n'a pas obtenu tout le bonheur désiré en vivant auprès de son père qui a donné sa vie à Dieu. La jeune soeur en fait autant et se marie mais le jeune couple part pour la Chine comme missionnaires. le jeune frère part à l'aventure : il valait mieux pour lui car Joan se rend compte qu'il a une relation inadmissible dans le village, avec une jeune noire de mauvaise réputation. Joan se retrouve seule avec son père mais celui-ci décède peut de temps après et Joan n'a plus de toit : le nouveau pasteur va arriver. Il faut qu'elle parte et elle se décide à prendre pour époux un fermier qui la courtise. Ils n'ont pourtant rien en commun et Joan prend son mal en patience en aidant le plus possible sa nouvelle famille. Son frère revient à sa rencontre mais pour lui aussi, c'est la désillusion : les bonnes paroles de son père et les prières n'ont servi à rien. Il a rencontré beaucoup de difficultés et son rêve de voler n'a pas abouti. Quant à Joan, elle croit que son bonheur commence quand elle accouche d'un petit garçon. Elle va pouvoir donner tout son amour. Mais nouvelle désillusion encore, celui-ci est handicapé. Joan ne baissera pourtant pas les bras et on a beaucoup d'admiration pour cette femme qui lutte et est toujours présente pour ceux qui ont besoin d'elle.
    On va donc certes de désillusion en désillusion, mais tout cela avec beaucoup d'amour et d'émotion. On a tout de suite pitié pour les membres de cette famille pour qui Dieu n'a semble-t-il rien fait malgré leurs prières...

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    Couverture du livre « La terre chinoise » de Pearl Buck aux éditions Le Livre De Poche

    sylvie adam sur La terre chinoise de Pearl Buck

    Yuan a toujours craint son père, seigneur de guerre. Il est lui-même envoyé à l'école de guerre mais il n'a pas l'âme du guerrier. Quand il rentre chez lui, il s'oppose à son père qui selon les traditions, veut le marier contre son gré. Il part un moment dans la maison de son grand-père où il...
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    Yuan a toujours craint son père, seigneur de guerre. Il est lui-même envoyé à l'école de guerre mais il n'a pas l'âme du guerrier. Quand il rentre chez lui, il s'oppose à son père qui selon les traditions, veut le marier contre son gré. Il part un moment dans la maison de son grand-père où il découvre la beauté de son pays. Mal accueilli par les paysans, oppressés de taxes par sa famille, il s'enfuit à la ville où la seconde femme de son père s'est réfugiée. Il reprend les études et découvre un nouveau monde, influencé par les étrangers. Il côtoie les milieux révolutionnaires. Yuan est partagé. Il est pour l'abolition des anciennes coutumes mais ne se voit pas combattre son propre père. Finalement emprisonné, il réussit à sortir mais doit passer quelques années en Amérique. Là aussi, il découvre un autre monde que le sien. Quand il revient en Chine, le pays est en train d'évoluer mais il ouvre enfin les yeux sur la pauvreté existante qui le choque. Il se demande quelle est l'utilité de la révolution. de plus, il tombe amoureux mais la jeune fille ne veut pas se prononcer avant d'avoir fini ses études. Il en veut alors aux révolutionnaires et aux étrangers qui ont mis des nouvelles idées en tête aux femmes, alors qu'il veut lui-même une femme instruite ! Il est ainsi plein de contradictions, pris entre l'ancien et le nouveau monde.

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    Couverture du livre « La terre chinoise » de Pearl Buck aux éditions Le Livre De Poche

    Good Books Good Friends sur La terre chinoise de Pearl Buck

    Avec La terre chinoise, j'ai renoué avec mes souvenirs d'adolescente, lorsque je dévorais les Pearl Buck de la bibliothèque de mes parents, dans leurs belles éditions de poche kitsch et colorées (mais Pavillon de femmes quoi). Et je crois bien que mes premières connaissances relatives à la...
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    Avec La terre chinoise, j'ai renoué avec mes souvenirs d'adolescente, lorsque je dévorais les Pearl Buck de la bibliothèque de mes parents, dans leurs belles éditions de poche kitsch et colorées (mais Pavillon de femmes quoi). Et je crois bien que mes premières connaissances relatives à la culture chinoise viennent de cette autrice (ça n'écoute rien en histoire-géo mais ça lit des bouquins).
    Toutefois celui-ci avait échappé à mon appétit de jeune lectrice.

    L'histoire débute au moment où Wang Lung, un paysan, vient chercher son épouse, O-Len, une ancienne esclave qu'il a achetée.
    Suivent des années d'une vie de labeur, parfois récompensé et d'autres fois beaucoup moins. La sécheresse, les inondations, la guerre, sont autant d'obstacles à une vie qui se déroule tel un long fleuve tranquille.

    J'ai retrouvé mes sensations de lectrice adolescente, totalement immergée dans l'histoire de cette famille paysanne, j'ai ressenti cet attachement viscéral à la terre. La terre : seul bien qui ne fera jamais défaut, seul objectif ; la richesse, l'apparat, l'amour, tout cela importe peu si on a de la terre.

    Si la tournure est parfois un peu lourde (peut-être en raison de la traduction datée -mais couronnée par l'Académie Française, mesdames, Messieurs-), j'ai tout de même pris grand plaisir à ma lecture.
    Et elle m'a donné envie d'exhumer de ma PAL d'autres romans de Pearl Buck.

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