Marco Biancarelli est né en 1968 et enseigne la langue corse dans un lycée du sud de la Corse.
Poète, nouvelliste et romancier, il est l'auteur de nombreux ouvrages, tous écrits en corse, aux éditions Albiana, Ajaccio, (à l'exception de son premier livre Viagju in Vivaldi, Le Signet, 1999) : Pri...
Voir plus
Marco Biancarelli est né en 1968 et enseigne la langue corse dans un lycée du sud de la Corse.
Poète, nouvelliste et romancier, il est l'auteur de nombreux ouvrages, tous écrits en corse, aux éditions Albiana, Ajaccio, (à l'exception de son premier livre Viagju in Vivaldi, Le Signet, 1999) : Prighjuneri/Prisonnier (édition bilingue, 2000), Parichji dimonia (poèmes, 2001), San Ghjuvanni in Patmos/Saint Jean à Patmos (édition bilingue, 2001), 51 Pegasi astru virtuali (2003) / 51 Pegasi astre virtuel (2004), Stremu meridianu (2006) / Extrême méridien (2008), Murtoriu (2009).
Bien qu'écrivant exclusivement en langue corse, il a, en 2010, fait paraître un essai en langue française, Vae Victis, chez Materia Scritta. En 2011, il a également publié, chez Colonna Edition, un recueil de chroniques littéraires Cusmugrafia (dans une version française d'Olivier Jehasse).
Marco Biancarelli a en outre écrit pour le théâtre, et deux de ses pièces ont été jouées en Corse : Bella Sterpa (jouée par la troupe du Svegliu Calvese à partir de 2004) et Cuntruversa di Valdu Nieddu (jouée par les Stroncheghjetta de 2007 à 2008). L'adaptation du roman 51 Pegasi astre virtuel (en français), par Jean-Pierre Lanfranchi, continue à être jouée par Christian Ruspini tant en Corse que sur le Continent.
De 2009 à 2011, Marco Biancarelli a également tenu une chronique littéraire hebdomadaire en corse dans le quotidien Corse-Matin.