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Lucie Quemener

Lucie Quemener

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Avis sur cet auteur (5)

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    Couverture du livre « Les yeux d'or » de Marie Desplechin et Lucie Quemener aux éditions Delcourt

    Laurelyn13 sur Les yeux d'or de Marie Desplechin - Lucie Quemener

    J'ai beaucoup aimé ce roman graphique rempli d'émotions, de douceur. L'histoire de Violette si seule , son père travaille et la laisse avec des baby sitter différentes , jusqu'au jour où Edmée, entre dans sa vie , une relation unique s'installe entre elles, bienveillance, amour, partage tout les...
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    J'ai beaucoup aimé ce roman graphique rempli d'émotions, de douceur. L'histoire de Violette si seule , son père travaille et la laisse avec des baby sitter différentes , jusqu'au jour où Edmée, entre dans sa vie , une relation unique s'installe entre elles, bienveillance, amour, partage tout les unies.
    Une belle histoire avec de très belles illustrations toutes en douceur.

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    Couverture du livre « Les yeux d'or » de Marie Desplechin et Lucie Quemener aux éditions Delcourt

    Perle P sur Les yeux d'or de Marie Desplechin - Lucie Quemener

    Les yeux d'or c'est beau, triste, doux, plein d'émotions.
    L'ambiance des dessins est apaisante et calme. Les couleurs sont douces, l'atmosphère qui s'en dégage est agréable et mystérieuse. Le style des illustrations et la particularité des traits rend la lecture intéressante, comme si on devait...
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    Les yeux d'or c'est beau, triste, doux, plein d'émotions.
    L'ambiance des dessins est apaisante et calme. Les couleurs sont douces, l'atmosphère qui s'en dégage est agréable et mystérieuse. Le style des illustrations et la particularité des traits rend la lecture intéressante, comme si on devait essayer de décrypter nous aussi les images comme Edmée décrypte parfois ces étoiles. Ainsi que la relation spéciale entre Edmée et Violette. Le rythme est assez contemplatif et lent, ce qui n'est pas pour nous déplaire.
    J'ai adoré la façon dont les dessins sont si expressifs qu'ils permettent de raconter l'histoire sans besoin de paroles ou de textes. Ça donne une toute autre atmosphère que mes autres lectures BD, ou de n'importe quel autre support. Les silences parlent d'eux mêmes. C'est poétique, ça dégage des sentiments spéciaux. L'ambiance est calme, posée, très mystérieuse. Le bleu est omniprésent. Et l'histoire est vraiment touchante.

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    Couverture du livre « Les yeux d'or » de Marie Desplechin et Lucie Quemener aux éditions Delcourt

    Marion Montrouge sur Les yeux d'or de Marie Desplechin - Lucie Quemener

    L'histoire singulière de deux êtres un peu perdues dans ce vaste monde.
    Deux personnes d'une grande sensibilité qui vont se rencontrer et bouleverser à jamais les vies de chacune.

    Quand Edmée et Violette se découvrent, c'est presque une évidence, une symbiose, elles se comprennent tout...
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    L'histoire singulière de deux êtres un peu perdues dans ce vaste monde.
    Deux personnes d'une grande sensibilité qui vont se rencontrer et bouleverser à jamais les vies de chacune.

    Quand Edmée et Violette se découvrent, c'est presque une évidence, une symbiose, elles se comprennent tout simplement.

    De leurs échanges et leurs temps partagés va naître une profonde amitié et même si Edmée traversera la vie de Violette aussi vite une comète, elle va lui ouvrir les portes d'un monde infini qu'elle n'oubliera jamais.

    Une belle histoire pour mettre de l'or dans les yeux de chacun et croire en soi, pour toujours.

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    Couverture du livre « Le compagnon de route » de Tristan Fillaire et Lucie Quemener aux éditions Sarbacane

    Lionel Arnould sur Le compagnon de route de Tristan Fillaire - Lucie Quemener

    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    C’est quand même difficile de pleinement apprécier une BD quand on n’accroche pas vraiment au dessin… Et ce, même si le scénario est béton… En l’occurrence, ici, je ne trouve pas spécialement que le scénario soit béton… Si le postulat...
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    Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net


    C’est quand même difficile de pleinement apprécier une BD quand on n’accroche pas vraiment au dessin… Et ce, même si le scénario est béton… En l’occurrence, ici, je ne trouve pas spécialement que le scénario soit béton… Si le postulat de départ est intéressant, le déroulé de l’histoire est un peu trop plat à mon goût. Il n’y a pas de grande tension dramatique et même si le chemin de nos deux protagonistes est semé de petites embuches, ils les règlent à peu près systématiquement de manière plus ou moins violente. J’ai été plus touché par les quelques petites séquences dénonçant certains dysfonctionnements de nos sociétés, comme la corruption dans la police, le traitement des prostituées ou encore la place des femmes.

    Et puis… il y a le dessin. En fait, ce sont surtout les visages des personnages qui me gênent. Les traits sont hyper présents et outre que ça les rend très anguleux, les expressions sont également souvent assez agressives. Résultat, on a parfois du mal à éprouver de la sympathie pour eux et, plus simplement, à s’identifier. Après, ça reste tout de même de l’aquarelle, avec toute la poésie que cela peut impliquer, et les décors sont de facture tout à fait honorable.

    Mais bon, j’ai du mal avec le scénar ET avec le dessin. On va dire que ça simplifie un peu les choses, non ?

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