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"C'est tellement improbable, inexplicable, absolument pas en phase avec tout ce qu'on connaît des lois de la nature, de la science et de toutes nos croyances."
Un hôpital, un accident, retenir son souffle, de la détresse, un vent de panique, de la stupéfaction, les lumières de la pièce, des réponses vagues, un paradoxe ambulant, une fuite de gaz, un miracle, un studio de télévision, des événements incroyables, un champ de blé, une attention toute particulière, les forces de l'ordre, un flou abyssal, un sujet glacial, une priorité mondiale, une meute de loup, un autre monde, des yeux injectés de sang, un manteau triste, un silence assourdissant, des extrémistes, des rêves prémonitoires, de la fascination, la communauté scientifique, de l'émotion, des exceptions, le livre sur les cuisses, les effets secondaires, le charisme d'un prêtre, les réseaux sociaux, une cabane au fond du jardin, de l'anxiété, une sensation d'impuissance, de la provocation, de l'intimité, un arbre centenaire, un jugement des trieurs, des photos de famille, une certaine empathie, une eau poisseuse, le centre des addictions, une force intérieure, un message...
Un thriller fantastique original, intense, efficace, prenant, rythmé.
Une très bonne mise en scène et mise en relief d' un phénomène mystérieux et des personnages principaux.
Cet auteur, aux nombreux talents et projets est à découvrir !
En immersion
Je suis fascinée par les sous-marins, sans doute depuis qu’adolescente j’ai lu 20000 lieues sous les mers… Cette fascination a été renforcée plus tard par l’excellentissime Octobre Rouge (je suis devenue par cette lecture une aficionado (aficionada ?) des thrillers technologiques et géopolitiques) et par le récit de Robert Merle Le jour ne se lève pas pour nous. C’est tout naturellement que je me suis tournée vers ce bouquin et je remercie chaleureusement NetGalley et les éditions Librinova pour m’avoir permis de découvrir ce thriller à très haute tension.
L’auteur nous embarque à bord du Diamant (S 607), un sous-marin qui n’existe pas officiellement, hybride entre la classe Rubis et la classe Suffren dont il peut parfaitement imiter la signature, ce qui lui a permis de rester indétectable pendant les dix premières années de sa mise en service. Une nouvelle mission est confiée à l’équipage bleu, dont seul le Pacha et sa Seconde sont informés : acheminer un agent libyen détenu depuis longtemps en France vers son pays d’origine. Amar Baas a travaillé indifféremment, alternativement ou simultanément pour la Libye, la Russie, les Etats-Unis et peut-être même la France…. Escorté par trois agents du Service Action de la DGSE il est extrêmement dangereux…
Tout l’intérêt du roman est de nous faire vivre ces quelques jours avec l’équipage (qui comporte 63 personnes), au quotidien, à travers cinq personnages principaux : le Pacha Fabrice Duprat, sa Seconde Anne Lecourt, l’oreille d’or Nicolas Hans, le médecin Nour Yerna et Armand Girot qui convoitait le poste de Second. Leurs points de vue s’enchaînent et s’entrecroisent chapitre après chapitre, avec quelques retours en arrière pour mieux appréhender leur psychologie.
C’est très bien construit, la psychologie des personnages bien fouillée grâce aux flashbacks (intéressant de voir la place des femmes dans la Marine : elles sont six dans l’équipage…), le suspens est présent jusqu’à la dernière page (tiens, parlons-en : la fin aurait mérité quelques pages supplémentaires… à moins que l’auteur se réserve pour une suite ?).
Cette balade en immersion à -350 mètres sous la Méditerranée m’a bien plu.
#LeDiamantS607 #NetGalleyFrance
J'étais très enthousiaste pour lire ce livre mais ce fut une grosse déception. Trop compliqué à suivre pour vraiment apprécier la lecture.
Histoire : sujet intéressant, des sous-marins, de l'espionnage mais très compliqué à suivre quand on ne connaît pas le monde militaire et notamment les sous-marins. Pour moi, ça ne me parle pas d'avoir tel ou tel type de sous-marin.
Je regrette également les flash-back qui n'apportent rien à l'histoire. Cela m'a plus dérangé qu'autre chose.
Le concept de base est intéressant, mais j'aurais aimé plus de "tension" dans le sens que l'on ressente le côté très fermé du sous-marin. Je déteste les lieux clos et étroits, être dans un sous-marin est impensable pour moi et je n'ai pas ressenti cette oppression durant la lecture.
Personnages : trop de personnages. Chaque personnage est important vu qu'ils ont chacun un chapitre et l'utilisation du "jeu". Sauf que cela fait trop et on n'arrive pas à s'identifier à un personnage, à ressentir de la compassion ou autre. Il n'y a pas d'équilibre entre tous ces personnages.
Plume : Il y a une belle plume, mais je trouve (et ce n'est que mon avis) que tous les personnages et l'histoire compliquée, ne rendent pas une lecture fluide et c'est dommage. De plus, le résumé utilisé (je l'ai coupé volontairement) trompe sur ce qu'il y a réellement dans l'histoire. Dommage.
Bref, je ne vous conseille pas spécialement cette lecture. C'est dommage car le sujet de base est intéressant.
A Thiers-Sur-Mer, près de Caen, est découvert le cadavre d'une chercheuse du laboratoire de BioPharma, implanté sur la commune. La capitaine de police, Marie Joint, se voit adjoindre un membre de la DGSI (Direction Générale de la Sécurité Intérieure) avec ordre de ne communiquer aucune information à l'extérieur. Pourquoi la victime avait-elle en sa possession les dossiers détaillés de trois hommes et une femme, en relation directe avec des chercheurs du centre? Pourquoi le mari d'une chercheuse découvre-t-il une caméra chez lui? Ce ne sont que deux des nombreuses questions auxquelles font face les enquêteurs; comme eux, nous sommes perdus, nous ne comprenons pas ce qui se passe même si on se doute que le laboratoire est une pièce maîtresse.
La tension et le suspense croissent inexorablement jusqu'au final tout à fait inattendu; on ne s'ennuie à aucun moment grâce à un rythme soutenu, des dialogues vivants et des éléments habilement distillés.
Je déplore, cependant, que ce roman, même auto-édité, compte au moins 122 fautes (grammaire, orthographe, mots employés à mauvais escient...) sur 191 pages; c'est un manque de respect pour les lecteurs/trices qui manifestent leur intérêt et consacrent du temps à ce roman; la correction de la langue est, pour moi, tout aussi essentielle que l'intrigue, les personnages...
Un très bon polar une fois que les indispensables corrections auront été apportées.
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