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Jean-Baptiste Andreae

Jean-Baptiste Andreae

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Avis sur cet auteur (10)

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    Couverture du livre « La cuisine des ogres : Trois-fois-morte » de Fabien Vehlmann et Jean-Baptiste Andreae aux éditions Rue De Sevres

    Lilo0606160616 sur La cuisine des ogres : Trois-fois-morte de Fabien Vehlmann - Jean-Baptiste Andreae

    Oye Oye enfants des rues et autres chérubins chéris par leurs parents, attention ! Le croque mitaine rode, prêt à vous enlever en vue d’un fabuleux festin préparé par les aussi voraces que talentueux ogres cuisiniers (enfin talentueux... sur l’échelle de la cuisine des ogres, personnellement je...
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    Oye Oye enfants des rues et autres chérubins chéris par leurs parents, attention ! Le croque mitaine rode, prêt à vous enlever en vue d’un fabuleux festin préparé par les aussi voraces que talentueux ogres cuisiniers (enfin talentueux... sur l’échelle de la cuisine des ogres, personnellement je préfère éviter leurs ragoûts douteux).

    "La cuisine des ogres" nous plonge au cœur d’un endroit aux saveurs horriblement délicieuses, à la Dent du Chat là même où un hôte un peu particulier emploie des ogres qui ne dérogent pas à leur réputation de dévoreurs d’enfants.

    Bien qu’au départ un peu sur la défensive (je ne m’attendais pas à des planches aussi immersives concernant les pratiques ogresses !), j’ai petit à petit était séduite par le fil d’Ariane tenu par le scénariste.

    Au travers de son héroïne Trois-fois-morte (drôle de nom n’est-ce pas ? Lisez vous comprendrez), il véhicule des valeurs fortes comme la puissance de l’amitié, la persévérance ou encore la confiance en soi, mais évoque également des sujets graves comme la maltraitante ou l’inceste. Le côté sombre de ses personnages est bien travaillé, tout en leur apportant une note de lumière qui les rend malgré tout un peu humain.

    J’ai apprécié les illustrations aux couleurs tantôt froides tantôt chaudes, qui ont réussi à me faire voyager au sein de cet univers à la Promised Neverland (manga). Le trait est précis et expressif à souhait !

    Des mythes et légendes obscurs se mêle ici et là apportant une dose d’originalité à un fond d’histoire pas méconnu, et offre surtout des figures fortes et proches de l’enfance et de ses traumatismes.

    En bref, grâce à nombre de métaphores et d’allégorie narratives et illustratives, les artistes de cet album nous livrent un ouvrage qui donne la parole et l’écoute nécessaire aux enfants, tout en divertissant les adultes alentours et en enveloppant l’ensemble d’un univers fantastique réussi.

    J’ai hâte de découvrir le T2 qui mettra sur le devant de la scène un autre personnage clé

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    Couverture du livre « La cuisine des ogres : Trois-fois-morte » de Fabien Vehlmann et Jean-Baptiste Andreae aux éditions Rue De Sevres

    Linstantbd sur La cuisine des ogres : Trois-fois-morte de Fabien Vehlmann - Jean-Baptiste Andreae

    Wahou quelle lecture, il m'aura fallu un petit temps de réflexion avant de savoir par quoi débuter ma chronique tant il y a à dire !

    Je commencerai évidemment par préciser que le conte horrifique que nous propose Vehlmann n'est absolument pas à mettre entre les mains des jeunes lecteurs. De...
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    Wahou quelle lecture, il m'aura fallu un petit temps de réflexion avant de savoir par quoi débuter ma chronique tant il y a à dire !

    Je commencerai évidemment par préciser que le conte horrifique que nous propose Vehlmann n'est absolument pas à mettre entre les mains des jeunes lecteurs. De cet album fantastique se dégage une cruauté rendant la lecture tantôt éprouvante, tantôt glaçante, mais tout de même extrêmement captivante.

    Puis, comment ne pas louer l'esprit inventif de l'auteur. Si quelques idées semblent puiser!!!!!!! de certains contes connus de tous, le récit, dans son ensemble, est d'une originalité folle. À chaque étape du périple, comme notre héroïne, nous allons de surprise en découverte. Le tout sans aucune fausse note, happant ainsi le lecteur jusqu'à la conclusion.

    Graphiquement, l'œuvre d'Andrea, dans son ensemble, est tout bonnement grandiose. J'ai pris un plaisir fou à contempler, lors de ma lecture, les moindres détails de chaque planche idéalement mis en valeur par de sublimes teintes.
    Bon nombre de scènes sont crues et gores, donnant magistralement vie à ce récit d'horreur que Vehlmann nous fait vivre. Si vous aviez encore un doute, les enfants, passez votre chemin !

    En bref, bravo, bravo et bravo à Fabien et Jean-Baptiste pour cette lecture qui m'aura fait passer par toutes les émotions. C'est exactement pour ce genre de moment que j'adore la BD et ce qu'elle peut nous procurer. Vous l'aurez compris, cet album est un coup de cœur total, j'ai déjà envie d'avoir la suite entre les mains !

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    Couverture du livre « La cuisine des ogres : Trois-fois-morte » de Fabien Vehlmann et Jean-Baptiste Andreae aux éditions Rue De Sevres

    Orely sur La cuisine des ogres : Trois-fois-morte de Fabien Vehlmann - Jean-Baptiste Andreae

    Une histoire culinaire de croque-mitaine et de résilience à découvrir

    Parmi les ingrédients : des monstres et des enfants apeurés évidemment mais aussi une petite orpheline qui a décidé de défier le destin grâce à son caractère et à son ingéniosité. Blanchette, de son prénom, tirera de sa...
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    Une histoire culinaire de croque-mitaine et de résilience à découvrir

    Parmi les ingrédients : des monstres et des enfants apeurés évidemment mais aussi une petite orpheline qui a décidé de défier le destin grâce à son caractère et à son ingéniosité. Blanchette, de son prénom, tirera de sa quête initiatique une appelation en lien avec son aventure : Trois-Fois Morte.

    Vehlmann au scénario livre ici un univers fantastique dans lequel évolue une société avec ses codes, ses excès, ses horreurs. C'est morbide mais pas forcément glauque, on a la petite dose d'humour, le petit pas décalé qui rend le récit original et bien rythmé.

    L'histoire prend une force supplémentaire sur la fin en nous donnant des éléments de compréhension autour de la vie de l'héroïne.

    Les yeux du lecteur sont happés dès les premières planches, tout à la fois sombres et lumineuses. Andreae nous emporte graphiquement dans les tréfonds des cuisines ogresques et offre de nombreux details.

    A noter : il s'agit du premier volume d'une trilogie dans leque chaque tome sera centré sur un personnage

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    Couverture du livre « La cuisine des ogres : Trois-fois-morte » de Fabien Vehlmann et Jean-Baptiste Andreae aux éditions Rue De Sevres

    s.laby sur La cuisine des ogres : Trois-fois-morte de Fabien Vehlmann - Jean-Baptiste Andreae

    Il n’est rien de plus sophistiqué que la cuisine des ogres. Terrine de serpent de mer, brandade de pendus, soufflé aux esprits de sirènes… Au cœur du massif de la Dent du Chat mijotent des mets légendaires pour de prestigieux invités, géants, fées ou rois.

    Lorsque la fille du boucher,...
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    Il n’est rien de plus sophistiqué que la cuisine des ogres. Terrine de serpent de mer, brandade de pendus, soufflé aux esprits de sirènes… Au cœur du massif de la Dent du Chat mijotent des mets légendaires pour de prestigieux invités, géants, fées ou rois.

    Lorsque la fille du boucher, surnommée Blanchette à cause de sa chevelure de fantôme, est capturée, elle échappe à la mort par trois fois - “hachée, mijotée, puis dévorée par les géants !” Elle était pourtant un ingrédient précieux. “J’avais décelé en toi une note de ténèbres veloutée et suave - couleur de réglisse - qu’on trouve rarement chez les enfants… Un bouquet subtil de tristesse et de colère contenues.”

    Petit à petit, Blanchette devenue Trois-Fois-Morte trouve sa place dans ce monde gargantuesque et grouillant, entre le lac à vaisselle aux lueurs bleutées, les arrière-cuisines rougeoyantes et le marché aux enfants aux tons orangés. À mesure que les ambiances colorées s’enchaînent, c’est tout un système que l’on devine. “Car la seule question qui vaille, pour chacun, est d’accepter ou non de prendre sa part joyeuse à l’inévitable destruction du monde…”

    Dans ce conte horrifique mais plein de bons sentiments, si l’ambiance est moyenâgeusement soignée, le propos est tout à fait moderne. Les monstres, faut-il le rappeler, ne rôdent pas que dans les cuisines…

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