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Janry

Janry

De son vrai nom Jean-Richard Geurts, Janry est né à Jadotville (Congo belge) en 1957. Il arrive en Belgique à l’âge de 10 ans et rencontre dès l’adolescence Philippe Tome. Ensemble, ils reprennent sous la double signature Tome et Janry les aventures de Spirou et Fantasio de 1982 à 1998 et créent ...

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De son vrai nom Jean-Richard Geurts, Janry est né à Jadotville (Congo belge) en 1957. Il arrive en Belgique à l’âge de 10 ans et rencontre dès l’adolescence Philippe Tome. Ensemble, ils reprennent sous la double signature Tome et Janry les aventures de Spirou et Fantasio de 1982 à 1998 et créent le Petit Spirou en 1987.

Articles en lien avec Janry (1)

Avis sur cet auteur (25)

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    Couverture du livre « Spirou et Fantasio Tome 45 : Luna Fatale » de Tome et Janry aux éditions Dupuis

    Romain Ambrosini sur Spirou et Fantasio Tome 45 : Luna Fatale de Tome - Janry

    Dans la famille Don Cortizone, je demande la fille.
    Bien moins guignarde que son père.

    Album un peu faiblard, qui surfe sur le côté "vieux garçon" de Spirou (spécificité de pas mal de héros de BD - Tintin, Lucky Luke, Asterix, le Grand Schtroumpf :) ...)

    Dans la famille Don Cortizone, je demande la fille.
    Bien moins guignarde que son père.

    Album un peu faiblard, qui surfe sur le côté "vieux garçon" de Spirou (spécificité de pas mal de héros de BD - Tintin, Lucky Luke, Asterix, le Grand Schtroumpf :) ...)

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    Couverture du livre « Spirou et Fantasio Tome 43 : Vito la Déveine » de Tome et Janry aux éditions Dupuis

    Romain Ambrosini sur Spirou et Fantasio Tome 43 : Vito la Déveine de Tome - Janry

    Le grand retour de Vito - Don Cortizone.
    Les décors marins sont très chouettes, la déprime de Fantasio ajoute au ressort comique, mais présage peut-être aussi du sentiment de tourner en rond avec Spirou pour Tome et Janry - nb Le rayon noir où la population change de couleur de peau, Luna...
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    Le grand retour de Vito - Don Cortizone.
    Les décors marins sont très chouettes, la déprime de Fantasio ajoute au ressort comique, mais présage peut-être aussi du sentiment de tourner en rond avec Spirou pour Tome et Janry - nb Le rayon noir où la population change de couleur de peau, Luna Fatale où le caractère célibataire endurci de Spirou est mis à mal, La machine qui rêve où les héros sont rendus plus réalistes à la mode Soda.

    Pour finalement lâcher la main.

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    Couverture du livre « Spirou et Fantasio Tome 46 : la machine qui rêve » de Tome et Janry aux éditions Dupuis

    Romain Ambrosini sur Spirou et Fantasio Tome 46 : la machine qui rêve de Tome - Janry

    Plutôt décontenancé par cette interprétation de Spirou, la dernière par Tome et Janry.
    Pour se faire plaisir, ils ont innové par un graphisme plus réaliste, un ton plus sérieux inspiré des blocks busters américains avec un rythme effréné, une intrigue pleine de sous entendus (qui rendent la...
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    Plutôt décontenancé par cette interprétation de Spirou, la dernière par Tome et Janry.
    Pour se faire plaisir, ils ont innové par un graphisme plus réaliste, un ton plus sérieux inspiré des blocks busters américains avec un rythme effréné, une intrigue pleine de sous entendus (qui rendent la lecture confuse), des détails à foison sans intérêt pour l'intrigue principale.
    Je ne dis pas qu'il ne fallait pas chercher le renouveau, mais...
    En fait, si, je le dis.
    Pour moi, à oublier, et à conserver comme une petite parenthèse rêvée.

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    Couverture du livre « Spirou et Fantasio Tome 44 : le rayon noir » de Tome et Janry aux éditions Dupuis

    Romain Ambrosini sur Spirou et Fantasio Tome 44 : le rayon noir de Tome - Janry

    Perso, je trouve que c'est un album plutôt raté, maladroit sur un sujet de société relativement sensible aujourd'hui.

    Trop de clichés, de stigmatisation.
    La haine soudainement déchaînée contre la différence, la seule couleur de peau..., et le rétablissement de la situation une fois que les...
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    Perso, je trouve que c'est un album plutôt raté, maladroit sur un sujet de société relativement sensible aujourd'hui.

    Trop de clichés, de stigmatisation.
    La haine soudainement déchaînée contre la différence, la seule couleur de peau..., et le rétablissement de la situation une fois que les effets s'estompent. Bof bof.

    D'autant que le récit n'est pas palpitant et que la présence de Vito (un peu parachutée) n'apporte pas de réelle plus value.