Joëlle Gillet-Muzet regrette son métier de professeure de français, qu'elle affectionnait particulièrement. Pourtant, elle n'était pas dupe et observait, avec amertume, les travers de certains de ses collègues. Au fil de ses années d'enseignement, elle ne put que constater combien Mai 68, ...
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Joëlle Gillet-Muzet regrette son métier de professeure de français, qu'elle affectionnait particulièrement. Pourtant, elle n'était pas dupe et observait, avec amertume, les travers de certains de ses collègues. Au fil de ses années d'enseignement, elle ne put que constater combien Mai 68, auquel elle avait pourtant participé avec enthousiasme, avait transformé ce beau métier captivant en un métier difficile et à risque, ne laissant aux enseignants que des devoirs et aux élèves et à leurs parents que des droits.
Elle avait déjà essayé de défendre une cause qui lui tenait à cÂur dans Confinée avec un con fini puis s'était essayée au roman policier dans Cherchez la femme et s'était amusée à écrire un livre plein d'autodérision dans Pooky ou Histoire secrète d'une ailurophobe et du chat de sa petite fille.