Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Comme tout le monde je connais Astérix sans être une spécialiste.
Alors, quand j'en ouvre un, je n'ai aucune référence et espère seulement sourire et passer un agréable moment de lecture.
Contrat respecté pour moi ; j'ai souri, aimé le scénario, apprécié les petites pichnettes pas méchantes sur les travers de la pensée positive et été charmée par les dessins.
Obélix est toujours naïf et émouvant ; c'est mon préféré.
A la fin, le village, une fois encore, se retrouvera soudé, réconcilié autour du banquet et, sans être une spécialiste, c'est essentiel pour fermer la dernière page le sourire aux lèvres.
Quelle cruelle désillusion...
Les Astérix, c'est plus ce que c'était, depuis déjà une paye ! Comme pour Lucky-Luke ou Gaston plus récemment, les éditeurs surfent sur la nostalgie. De toute manière, les albums se vendront sans grand effort, que la qualité soit au rendez-vous ou non.
Mais avec l'arrivée de Fabcaro dont j'apprécie le non sens et les situations ubuesques, j'avais un mince espoir de renouveau.
De prime abord, je trouve la couverture assez laide, elle n'évoque pas grand chose hormis une opposition entre notre fier gaulois et un nouveau personnage, Vicévertus, qui n'a pas de charisme. Mais passons, l'intérêt sera probablement dans l'histoire et les jeux de mots.
Malheureusement, c'est assez convenu, on voit venir les gags à des kilomètres, rien de vraiment novateur, et dans tous les cas un goût de trop peu qui est relativement déceptif.
Ça n'est pas la première fois que je le dis, mais il faudra de supers échos pour que je replonge à nouveau sur un Astérix à l'avenir.
L’Iris Blanc est le nom d’une école de pensée romaine qui enseigne la pensée positive. César décide d’envoyer Vicévertus, le créateur de cette méthode, dans les camps romains qui entourent le village gaulois, et cela, dans le but de permettre aux romains de conquérir ce dernier. Vicévertus, parviendra-t-il à faire évoluer les mentalités ?
Dans cet opus d’Astérix signé par Fabcaro et Didier Conrad, les éléments caractéristiques qui ont assuré la renommée de nos amis gaulois sont repris. Il aborde aussi des thèmes contemporains tels que l’écologie, la pensée positive et la bienveillance. À travers des situations cocasses, de la naïveté, d’excellents jeux de mots, des dialogues savoureux et quelques escarmouches, l’histoire est à la fois amusante et divertissante.
Souvenir d’enfance, légèreté, joie de retrouver un nouvel album d’Astérix, c’est un tome 40 avec lequel nous avons passé un bon moment.
J'avais une certaine réticence pour acheter ce nouvel album. Pour faire simple je suis passé outre cette méfiance, en me fiant pour une fois aux avis. Je dois admettre que j'ai aimé cet album. Le dessin, bien sûr, mais surtout le scénario et l'humour qui cette fois étaient efficaces. Bravo.
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