Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
1000 pages pour commencer l'année.
1000 pages pour retrouver l'inspecteur Lynley qui revient doucement à la vie après le meurtre d'Helen.
1000 pages pour suivre, le relooking et les insubordinations de Barbara, le calme de Nkata, la douceur des Saint James et l'arrivée de la nouvelle et exaspérante commissaire par intérim Isabelle Ardery.
Il faut bien cela pour ce crime et cette enquête qui nous emmène dans la campagne anglaise.
Et puis, plus surprenant, des chapitres complétement décorrélés de l'intrigue et qui décrivent un fait divers atroce.
Un polar qui prend son temps, sans temps mort et qui permet de débuter 2025 avec les personnages attachants d'Elizabeth George
Un long polar que distille avec maintes chausse-trappes : « Elizabeth George », sur une trame policière composée de multiples événements familiaux, où les personnages, se dévoilent au fur et à mesure, ce qui complexifie l’intrigue et semble laisser le lecteur dans une sombre impasse. Elle utilise donc, avec dextérité les non-dits, les secrets de famille alliés à l’absolue nécessité de respecter les convenances, face au désarroi des victimes.
Une enquête sur le pouvoir psychologique de certains sur la faiblesse des autres, le transfert d’une carrière réussie au détriment de l’évolution normale d’un enfant, le paroxysme qui en découle pour maintenir, et aboutir au succès, quel qu’en soit le coût ! Ainsi est mis en exergue le rôle primordial de l’éducation qui doit permettre le plein épanouissement de l’enfant : et ainsi éviter les différents troubles psychologiques, qui peuvent avoir des séquelles lors du passage à l’âge mûr.
Or donc, une nouvelle enquête du duo des policiers anglais : composé, la constable Barbara Havers, qui ne s'embarrasse ni de coquetterie ni de diplomatie et de l'inspecteur Thomas Lynley, éminent membre de Scotland Yard et pur produit de l'aristocratie britannique.
Ils vont avoir à apporter des réponses lorsque qu’une femme sexagénaire se fait renversée puis écrasée à plusieurs reprises : Mrs Eugenie Davies ! Membre d’une famille qui tourne autour d’un fils violoniste virtuose, qui ne vit que pour et par le violon (un Guarneri) ; une femme psychologue qui tente d’agir ; une petite fille assassinée par sa nourrice ; bref les intervenants s’avèrent aussi nombreux que les pistes possibles pour les enquêteurs.
« Mémoire infidèle », un remarquable thriller addictif dont j’ai apprécié l’absence de temps morts ; les myriades d’incertitudes permanentes sur la culpabilité sur le ou les coupables, consubstantiellement à l’apport d’une plume acérée de l’autrice qui aborde avec tact les conflits des uns et des autres. Sans doute le plus ardu pour certains lecteurs, sera d’accepter une lecture longue (plus de 1100 pages) mais qui se lit avec voracité et sans lassitude, tout en savourant les circonvolutions les plus tortueuses de l’intrigue.
Barbara Havers s'est incrustée dans un enquête pour meurtre.
L'inspecteur Lynley n'est pas là mais le mystérieux voisin de Barb, Taymullah Azhar et sa fille si attachante vont être impliqués dans l'histoire.
Et comme ces trois là sont mes préférés...
Nous sommes dans une station balnéaire, il faut chaud, très chaud et la communauté pakistanaise peine à se faire accepter.
La tension est explosive entre les populations.
Au delà des rebondissements et des fausse pistes, ce polar est un réquisitoire contre la xénophobie et comment les préjugés rendent aveugles et nuisent à la vérité.
888 pages dans une fournaise pour installer la psychologie des personnages, distiller le doute, décrire les a priori, exposer le racisme et perdre le lecteur dans les méandres des théories.
Un bon polar.
Écrit en 1997, on ne peut qu'espérer que les choses ont évolué depuis - pas sûre.
Quel plaisir de retrouver la gouaille de Harvers, le charme de Nkata et l'élégance de Deborah.
Il y a aussi les atermoiement sentimentaux finalement redondants de Lynley.
Bien sûr, il y a un meurtre, une enquête et des suspects qui s'empilent. L'auteure dénonce ici l'excision et les mutilations faites aux petites-filles.
Les dialogues sont caustiques, les personnages toujours aussi attachants et l'intrigue bien ficelée.
Il y a du rythme, du suspense et des rebondissements.
Un Elizabeth George quoi !
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