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Véritable concentré d’humour, de bonne humeur et de bienveillance, ce roman, porté par une plume aussi fluide qu’agréable, est un remède miracle face au blues de l’hiver. J’avais beaucoup aimé la série Netflix aussi n’ai pas du tout été surprise d’adorer le livre.
Même si le scénario semble vu et revu au premier abord, les pages se tournent toutes seules, sans aucun temps mort, jusqu’à une fin qui elle, contre toute attente, ne manque pas d’originalité. L’intrigue est pétillante grâce à des personnages, principaux comme secondaires, attachants et déjantés. La rencontre improbable entre Margot et David donne naissance à une romance slow burn pétillante et caliente, où l’humour et la tendresse masquent des réflexions profondes sur l’amour, l’identité, les liens familiaux, la pression sociale mais aussi la recherche d’épanouissement de soi.
Pour conclure, entre tendresse, quête de soi, humour, sentiments naissants, passion et bienveillance, Un conte parfait est une lecture idéale pour s’évader et passer un bon moment.
Margot, une femme d’affaires issue d’un milieu aisé, semble avoir tout pour être heureuse, mais une rupture brutale remet en question son équilibre. David, à l’opposé, vit au jour le jour et peine à joindre les deux bouts. Quand leurs chemins se croisent, une complicité inattendue naît, les poussant à redéfinir leurs rêves et leurs attentes en amour. Entre humour, émotions et remises en question, ce roman explore la quête du bonheur loin des conventions.
Un conte parfait d'Elisabet Benavent est une romance moderne qui bouscule les clichés du conte de fées.
"Un conte parfait" est le nouveau roman de l'autrice Elisabet Benavent, connue pour sa saga "Valeria" que j'ai lue il y a deux ans et que j'avais adoré. Je n'ai donc pas hésité à me plonger dans cette nouvelle histoire contemporaine.
On y suit Margot, une trentenaire, héritière d'un empire hôtelier, qui s'enfuit le jour de son mariage avec son prince charmant Fillipo et David qui cumule trois jobs mal payés, qui dort sur un canapé chez un couple d’amis et ne possède rien à part une collection de T-shirts troués. Celui-ci est follement amoureux d'Idoia, son idéal féminin. Nos deux protagonistes, qui ne sont pas destinés à se rencontrer, décident pourtant de s'entraider afin de reconquérir l'amour de leur vie.
Ce roman nous offre une romance addictive, originale et surprenante. Au fil des pages, je me suis attachée à Margot et David. J'ai aimé les voir évoluer et progressivement croire en leur histoire d'amour, malgré les obstacles qui se dressent devant eux.
Ce qui rend ce roman intéressant, c'est la fin ouverte que l'autrice nous propose. Elle nous laisse le choix de décider si ce conte sera parfait ou non. Cette proposition est originale et j'ai aimé pouvoir imaginer moi-même la suite de l'histoire. Elisabet Benavent nous pousse ainsi à réfléchir sur les histoires d'amour et les contes de fées, et ça fonctionne à merveille.
La plume de l'autrice est fluide et nous entraîne avec aisance dans cette histoire captivante. J'ai passé les pages sans m'en rendre compte.
"Un conte parfait" est une romance contemporaine addictive, avec des personnages attachants et une fin originale et surprenante. Si vous aimez les romances, je vous recommande vivement ce roman.
Je remercie les éditions de l'Archipel et NetGalleyFrance pour la lecture de ce roman en avant-première.
Un roman rafraîchissant qui dépeint les tribulations amoureuses d'une bande de trentenaire. J'ai pris beaucoup de plaisir et la plume de l'auteure est légère et fluide! Une jolie découverte !
On retrouve dans cet opus les quatre copines : Valeria, Lola, Carmen et Nerea toujours prêtes à faire la fête, la fiesta ou la java seraient des termes mieux adaptés à la situation) en parlant de leurs problèmes de cœur.
Valeria a fui un mariage qui prenait l’eau, et file le parfait amour avec son Dieu du sexe Victor dont elle a tellement vanté les performances dans son roman (la publication de journal intime T1) que son pas encore ex-mari, ne prend pas très bien, c’est le moins qu’on puisse dire…
Les copines se sont bien-sûr reconnues dans les pages du livre, avec plus ou moins d’humour.
Lola, toujours aussi vamp, qui en pince toujours pour son Sergio, plus ou moins toxique, Carmen, qui découvre les parents, notamment la mère possessive, hyper-toxique de son Barto, et Nerea, la toujours sage, marquée par son éducation, attend le mariage raisonnable, avec un homme adéquat pour faire un mari convenable et des enfants convenables.
Valeria est touchante car elle ne sait pas ce qu’elle veut, hésite à divorcer, a toujours peur que Victor demeure l’homme à femmes qu’il a toujours été….
Un bon moment de fous- rires, avec des scènes érotiques très explicites : hot, very hot, caliente… toutes les positions du Kâma-Sûtra y sont bien détaillées, entrecoupées de douches froides et de coups de blues !
Elles sont attachantes, parfois tellement extravagantes qu’on a du mal à les suivre, mais leurs réflexions sur la vie, la féminité, le couple sont intéressantes; alors je vais continuer l’aventure, c’est un moment détente, au milieu de lectures sérieuses… et soyons honnêtes, j’en pince pour Victor évidemment!
On peut lire et entendre partout que Noël est une période de régression pour tout un chacun, alors la Chick-Lit s’imposait…
Un grand merci à NetGalley et aux éditions de l’Archipel qui m’ont permis de suivre une nouvelle fois les quatre copines.
#DansLeMiroirDeValeria #NetGalleyFrance
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