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France, 2045… 17 ans après l’effondrement… Une communauté survit tant bien que mal, tentant de résister aux épidémies dans des conditions difficiles, ayant choisi de se réunir autour de valeurs d’unité et de rejet de la violence ou de la religion. Mais des évènements qui vont mettre à mal cette unité surviennent. Toute une famille périt dans un incendie qui n’a rien d’accidentel. Une enquête doit être menée, c’est Rachel, ex-flic du monde d’avant, qui est désignée.
Un récit original qui d’emblée fonctionne plutôt bien et emmène le lecteur dans un polar post-apocalyptique prenant. On sent que les auteurs ont bien pensé leur intrigue et les personnages sont bien trouvés. Beaucoup de thématiques actuelles sont abordées ce qui rend l’histoire assez crédible et proche de nous.
Le dessin de Damour est reconnaissable et s’accommode plutôt bien des petites cases. Un beau cahier graphique final montre l’étendue des recherches sur les nombreux personnages que l’on rencontre au cours de l’histoire.
Une bonne surprise que cet album. Ce tome 1 appelle à lire la suite et avoir le fin mot de ce polar original à l’ambiance bien travaillée.
Chronique précédemment parue sur le blog www.sambabd.net
J’ai l’impression que la promesse du titre ne va pas être vraiment tenue. En effet, derrière La Cagoule : Un fascisme à la française, j’avais l’espoir d’une série qui nous raconterait ce qu’est la Cagoule, son origine, ses ramifications, ce qu’elle a fait mais également ce qu’elle est devenue… Or, avec ce premier tome (sur trois au total) on n’est pas très avancé.
L’angle choisi, probablement dans le but que tout cela ne soit pas trop rébarbatif, est une sorte d’enquête policière à charge diligentée par le Ministre de l’Intérieur. Malheureusement, l’histoire se focalise plus sur le commissaire aux manettes que sur l’organisation secrète. Comme, en plus, l’action commence fin 1936 avec les funérailles de Salengro, on n’a aucune information sur les origines de La Cagoule. Moi qui m’attendais à une reprise du contexte historique social et politique avec, évidemment, l’avènement du Front Populaire en France mais aussi celui de différentes formes de Fascismes en Italie, Allemagne et Espagne, je suis un peu déçu…
Et si je vous disais un peu plus haut que l’on n’est pas très avancé, c’est qu’à la fin de ce premier tome, on n’a encore à peu près rien vu de La Cagoule à part qu’elle fricote avec le Milieu via des sales types comme Filliol. Quid de son agenda politique ? De ses moyens financiers et matériels ? De son organisation paramilitaire ? Je trouve cela un peu léger pour un premier tome.
Par ailleurs, le dessin, s’il nous livre de très beaux décors, ne me convainc pas plus que ça sur les personnages. Je trouve ces derniers un peu rigides dans leurs attitudes, leurs mouvements, et même au niveau de leur anatomie.
Quoiqu’il en soit, je lirai le tome suivant car je suis tout de même curieux de voir ce que ça donne.
Ah ! Si Monsieur Zola revenait parmi nous, il constaterait que, malheureusement, des Gervaise et Coupeau, il y en a partout ... Nullement désuet, ce roman ne peut que nous mettre face à une cruelle réalité, la misère sévissant encore de nos jours...
Bonjour et merci à Babelio et aux éditions Vagabondages pour m'avoir permis de découvrir cette bande dessinée.
J'ai eu un peu de mal avec l'écriture et les dessins un peu trop chargé mais dans l'ensemble j'ai découvert l'histoire de cette ville liée à Napoléon que je ne connaissais pas.
Une trentaine de pages sympathique sans plus,à réserver aux habitants de la Roche-sur-Yon et aux passionnés d'histoire.
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