"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Le roman commence avec quelques paragraphes d’un personnage qu’on retrouvera plus loin dans l’histoire. En commençant le roman, on s’interroge sur le lien que peut bien avoir cette personne avec les personnages que l’on va découvrir par la suite.
Delphine est une jeune étudiante dans une université à Lyon : elle s’émancipe loin de ses parents qui l’ont trop couvé, lui ont trop mis de pression tout au long de son enfance. Loin d’eux, elle va beaucoup sortir, trop peut-être. En parallèle, on découvre Maelys qui est également une étudiante dans la même université. Elle, au contraire semble plus raisonnable, mais va très vite entrer dans un schéma assez malsain avec Delphine. Elles vont se retrouver enfermée dans une maison, prisonnière d’un homme en noir. L’une d’elle ne va pas survivre à cet emprisonnement. La survivante va avoir du mal à se souvenir de ce qu’il s’est passé dans cette maison.
Chaque chapitre est raconté du point de vue des personnages : victime 1, victime 2, … On fait le lien petit à petit sans véritablement comprendre ce qui se passe. L’autrice est résolument mystérieuse sur certains aspects pour nous laisser le champ libre à imaginer la suite de l’intrigue.
C’est très prenant, les chapitres sont relativement courts, tout s’emboîte et à un moment, l’autrice nous laisse pantois avec une enquête qui semble piétiner. J’ai eu un passage où j’ai eu peur de la fin. Mais ce fut une fin des plus surprenantes dont je me souviendrais longtemps. C’est très bien trouvé.
Un énorme coup de cœur pour ma part !
Avec Délivre-nous du mal, Chrystel Duchamp nous offre un thriller bien ficelé, haletant et addictif. L'intrigue commence avec la disparition mystérieuse d'Esther. Pour sa sœur, Esther a été enlevée. Elle fait donc appel à Thomas, un commandant de police très attachant, pour mener l'enquête. Rapidement, l'enquête s'enlise, d'autres femmes disparaissent et le mystère s'épaissit.
Christel Duchamp a l'art de créer des histoires machiavéliques et de manipuler ses lecteurs jusqu'à la dernière page. J'ai adoré me laisser surprendre par les nombreux rebondissements inattendus et par un dénouement aussi original que surprenant. L’écriture est fluide et efficace, avec des chapitres courts qui font monter le suspense et rendent le livre difficile à lâcher. J'ai lu plusieurs fois beaucoup plus longtemps que prévu.
Au-delà de l'enquête, ce thriller abordent plusieurs thèmes sociétaux, avec, pour commencer celui des violences faites aux femmes et du silence qui les entoure. Les sujet du féminisme et de ses dérives, ainsi que des difficultés des policiers, surchargés de travail, qui peinent à faire leur travail sur le terrain, complètent cette histoire très réussie.
J'ai beaucoup aimé !
L'île des souvenirs est le premier ouvrage de Chrystel Duchamp que je lis, après avoir lu de multiples très bonnes critiques sur cette auteure et vu des stories autour des "Louves du polar". C'est un très bon thriller psychologique. Delphine, jeune étudiante qui assume mal son orientation sexuelle, perçoit, une nuit, une présence derrière elle puis c'est le trou noir jusqu'à ce qu'elle se réveille dans une pièce inconnue, enchaînée à un radiateur...
L'intrigue est divisée en plusieurs parties consacrées à des personnages différents. Chacun de ces personnages apporte son point de vue sur l'enquête ou le meurtre et permet de faire avancer l'intrigue... ou de mieux manipuler le lecteur ? L'écriture est fluide et efficace, avec des chapitres courts qui font monter le suspense et rendent le livre difficile à lâcher. L'ensemble m'a tenue en haleine et a été lu en une seule journée.
J'ai cru, pendant une grande partie de l'histoire, avoir trouvé le tueur et était même un peu déçue. C'était sans compter l'épilogue et le rebondissement final que j'ai adoré. La dernière phrase était tout simplement géniale. ça a été un véritable plaisir de me faire manipuler par Chrystel Duchamp. J'ai hâte de lire ses autres thrillers.
L’intrigue commence par 3 faits indépendants . Anaïs inquiète de la disparition de sa sœur demande l’aide de son ami policier, Thomas Missot. Quelques mois plus tard, un photographe urbex découvre dans une usine abandonnée, une femme pendue, le crâne rasé et la langue coupée.
Nous voilà embarqués dans un récit haletant et très inquiétant.
Le suspense est bien entretenu et l’autrice aborde des thèmes bien contemporains et forts.
Le final est dérangeant au possible. Je vous invite à succomber à cette lecture.
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