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Anne Icart

Anne Icart
Ariégeoise de coeur, parisienne depuis toujours, Anne Icart est née en 1968. Elle exerce la profession de rédactrice juridique. Prix 2010 des Lycéens de la Fondation Prince Pierre de Monaco, Les Lits en diagonale, son premier livre, fait le récit de sa relation avec son frère handicapé et a été t... Voir plus
Ariégeoise de coeur, parisienne depuis toujours, Anne Icart est née en 1968. Elle exerce la profession de rédactrice juridique. Prix 2010 des Lycéens de la Fondation Prince Pierre de Monaco, Les Lits en diagonale, son premier livre, fait le récit de sa relation avec son frère handicapé et a été traduit dans cinq pays. Son deuxième ouvrage, Ce que je peux te dire d'elles, a obtenu le prix du Premier roman « Méo Camuzet » en 2013 et le prix du premier roman de la ville de Saint-Lys. Il est suivi de Si j'ai bonne mémoire, paru en 2015 aux éditions Robert Laffont.

Avis sur cet auteur (24)

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    Couverture du livre « Ce que je peux te dire d'elles » de Anne Icart aux éditions Pocket

    Nadine Allain sur Ce que je peux te dire d'elles de Anne Icart

    roman qui se lit vite, vie de femmes avec des hauts et des bas qui ont su se serrer les coudes dans les moments difficiles...

    roman qui se lit vite, vie de femmes avec des hauts et des bas qui ont su se serrer les coudes dans les moments difficiles...

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    Couverture du livre « Les lits en diagonale » de Anne Icart aux éditions Pocket

    Azolas sur Les lits en diagonale de Anne Icart

    Très beau roman, l'histoire d'une sœur "normale" qui raconte comment c'est de grandir avec un frère différent. Pas de pathos, beaucoup de sentiments contradictoires qui s’entremêlent face à une société insuffisamment engagée qui permettrait à tout à chacun de vivre sans jugements ni barrières.

    Très beau roman, l'histoire d'une sœur "normale" qui raconte comment c'est de grandir avec un frère différent. Pas de pathos, beaucoup de sentiments contradictoires qui s’entremêlent face à une société insuffisamment engagée qui permettrait à tout à chacun de vivre sans jugements ni barrières.

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    Couverture du livre « Ce que je peux te dire d'elles » de Anne Icart aux éditions Pocket

    Elizabeth Pianon sur Ce que je peux te dire d'elles de Anne Icart

    Deux sœurs et leur cousine, élevées par leur grand-mère vont passer leur vie à Toulouse où l'une d'elle ouvrira une maison de couture.
    Elles vivront toujours ensemble.
    Angèle aura une fille, Blanche, élevée par les trois.
    Blanche aura à son tour une fille, Violette, élevée aussi par les...
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    Deux sœurs et leur cousine, élevées par leur grand-mère vont passer leur vie à Toulouse où l'une d'elle ouvrira une maison de couture.
    Elles vivront toujours ensemble.
    Angèle aura une fille, Blanche, élevée par les trois.
    Blanche aura à son tour une fille, Violette, élevée aussi par les trois, et qui accouchera à son tour d'un petit garçon.
    Une vraie saga familiale donc.
    Un peu embrouillée parfois, répétitive souvent.
    Ça se lit bien, on a envie de savoir, d'années en années ce qui va arriver.
    Cependant j'ai trouvé tout cela bien long et j'avais hâte d'en finir.
    Même si les personnages sont bien cernés, le style manque d'envergure, d'originalité.
    L'écriture est classique, convenue, sans surprises.
    Avis mitigé donc pour ce livre qui ressemble à une série télé moyenne.

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    Couverture du livre « Lettres de Washington Square » de Anne Icart aux éditions Robert Laffont

    Un brin de Syboulette sur Lettres de Washington Square de Anne Icart

    « Lettres de Washington Square » m’a fait voyager, voyager en Ariège, à New-York, à Paris. Voyager à travers les années, des années 1920 aux années 90. J’ai lu avec plaisir et envie cette histoire familiale à travers le regard de Zélie qui la découvre aussi cette histoire. À travers Michel, le...
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    « Lettres de Washington Square » m’a fait voyager, voyager en Ariège, à New-York, à Paris. Voyager à travers les années, des années 1920 aux années 90. J’ai lu avec plaisir et envie cette histoire familiale à travers le regard de Zélie qui la découvre aussi cette histoire. À travers Michel, le papa de Zélie. Michel qui est devenu orphelin de mère à sa naissance et « abandonné » par Baptiste son papa. Michel qui a été élevé par sa grand-mère maternelle et sa tante, la soeur jumelle de sa mère. À travers les lettres de Baptiste adressées à son fils. Des lettres qui n’ont jamais reçu de réponse, des lettres emplies d’amour d’un père pour son fils. Des lettres qui racontent tout. Ce roman est une histoire familiale, une histoire d’amour d’un père pour son fils, d’un père pour sa fille et d’une fille pour son père. Ce roman, c’est la révélation de secrets, d’actions qui ont fait du mal, des non-dits, des promesses qui auraient dû ne pas être tenues. Ce roman, c’est l’histoire d’un homme qui a traversé l’Atlantique dans le seul but: offrir un avenir à son fils. Ce roman, c’est l’histoire de femmes qui ont eu le coeur brisé par la mort et qui ont pensé bien faire pour Michel. Ce roman, c’est l’amour d’une fille pour son père, une fille qui connait l’histoire et qui veut que cette histoire ait une belle fin.

    Dans « Lettres de Washington Square », il y a de l’amour, beaucoup d’amour. De l’amour maladroit. De l’amour que rien ne peut ébranler. De l’amour exprimé. De l’amour dans les silences. J’ai été fascinée par Baptiste et ses lettres, ses lettres qu’il n’a cessé d’écrire alors qu’il n’a jamais reçu de réponse. J’ai été fascinée par sa détermination, par son incroyable aventure à New-York, de son travail acharné pour pouvoir offrir à son fils un bel avenir. J’ai été fascinée par son amour indéfectible pour Michel. Anne Icart nous raconte tout cela avec tendresse, sensibilité. Ses mots sont doux, sont justes. Je me suis laissée envoûtée par l’histoire, par les personnages, par New-York. Son roman est beau, sincèrement beau. C’est une jolie histoire que j’ai aimé.