Mon premier roman «Sous Osaka» est composé de trente récits. Quand je prends le métro municipal d'Osaka, la deuxième ville du Japon, j'enregistre des événements et des comportements humains différents. Je suis certain qu'un transport en commun dans une grande ville peut refléter notre société. D'autre part, le big data (mégadonnées) des institutions et des entreprises puissantes d'aujourd'hui essaient de nous soumettre à leur points de vue : telle est la vie moderne, telle est la personne ou telle est la valeur.
Ce qu'ils disent devient de plus en plus la norme. Au contraire, je pense que quelque chose de vrai réside dans la vie des gens peu importants et oubliés, que le pouvoir ne mettrait jamais en lumière. Considérant les utilisateurs de métro, agents et gens concernés par ce transport, je me rends compte de ma volonté d'exprimer : «Tant qu'il y a des passagers, il y a des vies diverses et précieuses».
J'espère que mon regard extérieur aidera les Français qui vivent aussi dans une situation étouffante.
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