Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Gentilhomme d'amour, Nez-deCuir règne sur une cour innombrable. Et l'on ne connaît guère, en Normandie, de femme qui ait longtemps résisté à son charme. Sa prestance, son regard de feu, son audace resplendissent sur un fond de triste légende. Le jeune homme porte un masque pour cacher l'horrible blessure reçue pendant les guerres de l'Empire et il séduit pour se rassurer, être aimé malgré sa laideur cachée. Puis le jeu de la séduction l'enchaîne: «J'ai perdu mon âme, avoue Nez-de-Cuir, je ne suis qu'un corps et, en perdant mon âme, j'ai perdu celle des autres.» Depuis la parution du roman, en 1936, les lecteurs de jean de La Varende sont envoûtés par ce chant de la terre normande, cette célébration de la femme et cette flambée des sens. Nez-de-Cuir a réellement existé et fut immortalisé à l'écran par jean Marais. Ce don juan, qui s'est châtié lui-même pour retrouver Dieu, est bien, comme le dit l'auteur, « un homme qui crève toutes les littératures et court effervescent, en riant, en aimant, en pleurant, en saignant ».
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !