Un manoir, une famille puissante, un après-guerre difficile...
Augsbourg, 1920.
La guerre est finie et, après les difficultés et les privations, le bonheur a refait son apparition à la villa aux étoffes. Rentré de captivité, Paul Melzer a repris la tête de l'usine familiale. Avec l'aide de son associé Ernst von Klippstein, il la remet à flot et l'engage sur la voie de la modernité. Marie, de son côté, peut enfin se consacrer à sa véritable vocation et ouvrir un petit atelier de haute couture. Il ne faut pas longtemps pour que ses merveilleuses créations connaissent un grand succès. Mais alors que son activité se développe, son mariage avec Paul commence à battre de l'aile. Après une ultime dispute, Marie quitte la villa avec leurs deux enfants. Le destin est en marche...
Entre secrets de famille et non-dits, une saga captivante où petite et grande histoire se mêlent, digne de Downton Abbey.
" Une formidable saga familiale. "
Elle
Traduit de l'allemand par Corina Gepler
Petit budget, petit format… mais grandes émotions littéraires pour les vacances !
Nous retrouvons nos protagoniste dans ce troisième tomes, la guerre est terminé, chacun tente de reprendre sa place mais des tensions sont hélas présente sur le plan familiale, économique et personnelle. Les personnages poursuivent leurs évolutions. Nouvelle romance, secret, trahison, émancipation féminine, séparation, difficulté.
Une plume captivante, prenante, Paul et Marie sauveront t'ils leur couple ? L'usine des Melzer arrivera t'elle a prendre un nouveau tournant ?
L'autrice montre les difficulté de l'après guerre, l'évolution des mentalités, de la société, la recherche de nouveauté. La psychologie des personnages est plus profonde, on découvre différents points de vues.
Je recommande vraiment cette saga, j'adore la plume de cette autrice qui est addictive.
Le troisième tome de la saga qui ne m'a pas passionnée...
Nous retrouvons les habitants et le personnel de la Villa, après la guerre. Malgré les restrictions, on y vit toujours assez bien, sans trop d'excès. Une nouvelle arrivante dans le personnel va mettre à mal les relations entre les membres de cette famille.
Alors, il ne se passait pas grand chose dans le premier tome mais ça posait les bases donc c'était OK. Le deuxième tome était chouette avec le contexte historique de la Ière Guerre Mondiale du côté des Allemands, mais alors celui-là... Je l'ai trouvé très très long et ennuyant. Presque 600 pages où concrètement, il ne se passe vraiment pas grand-chose...
Deux personnages passent leur temps à se disputer sans jamais prendre le temps de se parler une bonne fois pour toutes, ç'en est usant et ça prend BEAUCOUP de place...
Je retiens les scènes dans la cuisine avec les dialogues entre membres du personnel qui sont assez savoureux et l'évolution intéressante de Dodo et Leo, les enfants de Marie.
Je vous avoue que je continue cette saga uniquement parce que les prochains tomes sont déjà dans ma PAL mais c'est sans enthousiasme. J'ai bon espoir qu'avec l'arrivée imminente de la IIde Guerre Mondiale, le récit s'intensifie. Mais on me dit dans l'oreillette que c'est seulement dans le 6ème tome pas encore sorti que l'on arrive en 1939... Dites-moi qu'il y a plus d'action dans les suivants svp...
Troisième volet de la saga, on retrouve toute la famille Melzer dans L'héritage de la villa aux étoffes. J'ai été un petit peu moins emballée par ce tome que j'ai trouvé un peu long, surtout concernant les histoires de couple de Paul et Marie qui finalement n'avait pas besoin de tant de tralalas.
Par contre j'ai de plus en plus de sympathie pour Lisa qui m'insupportait pourtant au premier tome, un peu comme pour Edith dans Downton Abbey. J'ai aimé suivre les enfants qui commencent à grandir et ont déjà des domaines de prédilection (mais pas les bons selon leur cher père).
Même si j'ai trouvé à ce tome des longueurs, j'ai beaucoup aimé retrouver l'ambiance et les personnages de la villa et je suis curieuse de savoir ce que nous réserve la suite.
Pour ce troisième opus, nous retrouvons le clan des Melzer en septembre 1923. Paul a repris l’entreprise familiale depuis son retour de la guerre, avec son associé Ernst Von Klippstein (« Klippi »), associé pour qui sa soeur (veuve) Kitty semble avoir un certain béguin …
Marie de son côté va avoir le bonheur d’ouvrir un atelier de mode et de laisser libre cours à son esprit créatif. Les jumeaux (Léopold (« Léo ») et Dorothea (« Dodo ») ont sept ans et vivent à la Villa aux Étoffes avec leur grand-mère Alicia, leurs parents (Marie et Paul) et Hennilein (« Henni ») la fille de leur tante Kitty. Léo, en tant qu’héritier mâle, prend très au sérieux son rôle de protecteur auprès des deux fillettes …
Elisabeth (soeur de Paul et de Kitty) vit – quant à elle – en Poméranie, dans la famille de son époux. Elle est secrètement amoureuse de Sebastian Winkler, le maître d’école, qui avoue être également tourmenté par sa passion pour cette femme mariée …
Les domestiques sont encore tous là, à l’exception de Gustav (le jardinier) qui a épousé Augusta et s’est installé à son compte, à la demande de cette dernière. Hannah va bientôt quitter la cuisine pour apprendre la couture dans l’atelier de Marie. Elle sera remplacée par Gertie, une nouvelle venue …
Peu à peu, des dissensions vont apparaître (notamment sur l’éducation des enfants) mettant le couple de Marie et Paul en danger …
Un troisième volet toujours aussi agréable à lire, pour les amateurs de saga familiale, dans le pur style « maîtres et valets » … Un bon moment de détente que ce roman allemand.
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