Devant la gare du Nord, un homme voit son avenir et son passé. Tout se mélange. Il se trompe, se perd, se retrouve... la retrouve, comme au premier jour de leur rencontre. est-ce la folie qui le prend ou le temps s'est-il ouvert comme une brèche dans la quatrième dimension ?
Philippe, l'homme, joue des paradoxes. Il triche, va chercher son avenir dans le Temps, mais... soudain, la Mort... et c'est la plongée dans les épaisseurs du temps. Le Temps s'émiette, l'esprit du Temps intervient. Tout s'affole. Voyage-t-il vraiment dans la quatrième dimension ? Que sont ces épaisseurs du Temps ?
Ce court roman se joue des paradoxes et des illusions.
Intrigué par son résumé j’ai lu ce texte - moins un roman qu’une nouvelle* - dont j’attendais qu’il introduise un jeu original avec le temps. Las, ce jeu est réduit aux habituelles ficelles des machines à le remonter et le précéder, appliqué en l’occurrence aux relations amoureuses d’un couple que les contraintes professionnelles n’unit que l’instant du week-end. Hermétique à la science-fiction, il ne me restait plus qu’à en parcourir les pages pour constater que rien jusqu’à la fin n’apparaissait d’autres que les incongruités du bon vieux déphasage « spatiotemporel ». Je passe !
* La quadrature complète le livre en racontant la fusion de deux pans géométriques d’une maquette d’architecte… Une courte nouvelle plus spatiale que temporelle !
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