Napoléon (Henry Anglade), Maître Jacques (Jacques Anquetil), L'aigle de Tolède (Federico Bahamontes), Le ténébreux (Jean Gueguen), le Grand fusil (Raphaël Geminiani), le colonel (Albert Dubuisson), la puce du Cantal (Louis Bergaud), Glouglou (Adolphe Prat), Le Rusé (Stan Ockers), etc.
Dès la création du Tour de France, les coureurs ont été affublés de sobriquets censés relater leur spécificité, leur spécialité, leur qualité ou leur défaut. Ces surnoms qui ne sont parfois que de simples diminutifs (Poupou) ou de véritables trouvailles (La locomotive de Forli pour Ercole Baldini) participent au folklore du Tour de France et reflètent la gloire durable de ses participants, les coureurs cyclistes. Dans ce troisième ouvrage, Michel Guerin, directeur adjoint de la DCRI et passionné de vélo, raconte enfin l'origine de ces petits noms. Petits noms qu'il a listés et renseignés de façon méthodique, comme on lui a appris dans le milieu du renseignement, pour mieux connaître encore les grands du peloton (et de la piste) !
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