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La Seconde Guerre mondiale a eu un impact considérable sur l'art. Dès avant 1939, les régimes totalitaires, en Allemagne, en Italie, en Espagne, proposent un art officiel. Si certains artistes s'enrôlent alors de bonne grâce, d'autres choisissent de résister par leurs oeuvres. Après le déclenchement du conflit, cette situation se généralise dans toute l'Europe. De nombreux artistes vont opter pour l'exil, afin de sauver leur vie, ou tout simplement leur liberté. Outre-Atlantique, ils apporteront un sang nouveau. Aux heures les plus sombres des années 1940, d'autres témoigneront des valeurs humaines jusque dans les camps. Après 1945, les artistes seront confrontés au problème fondamental de représenter « l'irreprésentable » : comment faire mémoire de l'horreur et de la barbarie ?
S'attachant à rendre compte des évolutions de tous les courants esthétiques, Lionel Richard montre que le clivage entre l'académisme et les avant-gardes ne recoupe que très partiellement les clivages politiques. La guerre vient redistribuer les cartes de manière radicale, et pour longtemps.
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