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L'Agabbadora était un personnage très connu en Sardaigne. A Luras, petit village de la Gallura, c'est Marie qui faisait ce métier. Elle était la "Femina agabbadora", la femme qui donnait "la mort douce", celle qui "soulageait" les malades en fin de vie. Marie avait appris ce métier de sa mère qui elle-même l'avait hérité de sa mère et ainsi de suite... Il avait perduré de génération en génération et, ce marteau qui mettait fin à la vie des malades, était passé lui aussi de main en main afin d'apporter dans les maisons son destin de mort.
Un soir, Marie fut appelée dans une maison pour effectuer sa besogne. En entrant dans la chambre, elle vit quelque chose qu'elle n'avait jamais vu auparavant : étendue sur le lit, il y avait une enfant de quelques années à peine, c'était Gavinuccia. Pour la première fois de sa vie, elle pensa que le mot "soulager" ne convenait pas à la situation ni à ce qu'elle était en train de faire, mais c'était son devoir et elle devait l'accomplir.
Cet événement survint juste après que le gouvernement italien ait pris la décision de rendre illégale l'euthanasie. Marie se retrouva alors mise en accusation et poursuivie pour ces pratiques qui faisaient d'elle une femme tellement sollicitée par le passé. Elle connut ensuite l'exil, l'amour pour Antonio, le retour au village et le procès, pour connaître à la fin quel serait le destin de la dernière "Agabbadora".
Je trouve que ce livre est incroyable. Belle histoire
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