Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Voici un livre qui, en france, pourra surprendre, éventuellement gêner ou même déplaire car il renvoie à l'un des épisodes les plus sombres de son histoire récente : les camps d'internement durant la deuxième guerre mondiale en afrique du nord.
écrivain espagnol d'origine française et étranger indésirable, max aub (paris 1902-mexico 1973) fut prisonnier au camp de djelfa du 28 novembre 1941 au 18 mai 1942. il y écrivit une centaine de poèmes qui disent l'exil, l'injustice, la violence, la souffrance, la mort mais aussi la solidarité, la vie et l'espérance. dans son exil au mexique, l'auteur publia d'abord, en 1944, vingt-sept de ces poèmes sous le titre journal de djelfa [diario de djelfa].
Lors de sa deuxième édition, en 1970, le recueil s'enrichit de vingt poèmes supplémentaires.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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