Le lauréat du Prix Orange du Livre 2019 revient avec "Des humains sur fond blanc"
On prétend que des rennes contaminés par la radioactivité se dispersent dans le Grand Nord. Tatiana, une scientifique moscovite, est envoyée sur place, en Sibérie. Un pilote fantasque, retraité de l'armée soviétique, l'accompagne ainsi qu'une interprète, la jeune Neva, qui parle la langue des éleveurs nomades présents dans la région. Ce trio incertain monte à bord d'un vieil Antonov en direction du Nord et de l'hiver qui vient.
En route, rien ne se passe comme prévu. Qu'est-il d'ailleurs possible de prévoir dans cette immense Russie où la neige recouvre les traces des humains ? Lorsque la vie ne tient plus qu'à la flamme d'une bougie, les ombres portées transforment le monde : l'allure des troupeaux, les mots de Pouchkine, les tigres des rêves et les trésors gelés des profondeurs. La meilleure façon, drôle ou tragique, de passer le temps est certainement de s'enivrer en racontant des histoires, celles que l'on invente, celles que l'on confond, celles que l'on emporte dans la nuit.
Le blanc n'est-il que la couleur du froid et de l'oubli ou bien celle du désir de tout recommencer ?
Le lauréat du Prix Orange du Livre 2019 revient avec "Des humains sur fond blanc"
Après avoir lu Matador Yankee, Prix Orange 2019, premier roman de Jean-Baptiste Maudet, je n’avais qu’une hâte : découvrir le deuxième Des humains sur fond blanc !
Je dois dire que je n’ai pas été déçue, car celui-ci est bien à la hauteur du premier, si ce n’est un cran au-dessus.
L’action se situe en ex-URSS. Les derniers relevés qui viennent de Yakoutie indiquent une teneur en césium 137 très supérieure au seuil autorisé et des rennes contaminés par la radioactivité, qui viendraient de l’ancien sovkhoze 400, se dispersent dans le Grand Nord. Tatiana Vlekova, scientifique moscovite, reléguée à cause de sa résistance aux hommes et son impertinence est alors envoyée en urgence, en Sibérie, Sibérie qu’elle déteste non pas pour le froid, l’immensité, les forêts, les steppes ou les lacs, mais pour ce que l’on en a fait.
Elle s’envole donc pour Yakoutsk, d’où un certain Hannibal, un pilote un peu foutraque, retraité de l’armée soviétique doit la conduire à bord d’un vieil avion Antonov jusqu’à Nerkhoïansk, devenue une cité minière. Ils prendront alors à bord Neva, une jeune fille, brillante patineuse, qui fait partie de la minorité Younets, qui viendrait d’une famille de la toundra et qui leur servira donc d’interprète.
Avec l’hiver qui vient et des conditions de vol très difficiles, Hannibal sera contraint à un atterrissage forcé, endommageant fortement l’appareil. Leur vie ne tiendra plus, alors qu’à la flamme d’une bougie …
C’est un roman d’aventure, certes, une belle aventure sibérienne, baroque que nous conte Jean-Baptiste Maudet, mais également une quête existentielle. Le roman est bref mais a une réelle et intense force d’évocation. Si l’écrivain a délaissé le Mexique pour nous plonger en Sibérie, il a maintenu cette même puissance à nous y entraîner avec lui. Les scènes décrites sont tellement parlantes et évocatrices qu’il nous semble être aux côtés de nos trois personnages. On est presque dans un périple survivaliste.
L’atmosphère dans laquelle sont plongés nos héros est magnifiquement rendue et il est compréhensible que les voix du passé, les voix disparues reviennent les hanter.
Les trois personnages principaux sont superbement campés, aussi bien du côté physique que moral et toujours avec beaucoup d’humour mais aussi beaucoup de tendresse et de poésie. Difficile dans ce pays encore bien sous domination masculine, pour ces femmes d’exister !
L’auteur ne se contente pas de nous embarquer dans un voyage dépaysant en pleine taïga sibérienne, il nous amène, en outre, à réfléchir à des thèmes moins poétiques et moins cocasses, tels que les retombées nucléaires, les minorités ethniques et leur assimilation, avec peu à peu la disparition du nomadisme, la corruption quasi omniprésente, le machisme, le braconnage, l’alcoolisme, l’exploitation incontrôlée des mines, la quasi extermination des rennes sans oublier le réchauffement climatique.
Ne prenez pas peur car l’aventure et le dépaysement garanti ne vous laisseront pas une minute de répit, Des humains sur fond blanc est un livre qui se lit d’une traite, avec beaucoup de plaisir.
Chronique illustrée à retrouver sur : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/
Tatiana, scientifique de Moscou, est envoyée en Sibérie car des rennes contaminés par la radioactivité ont été signalés. Pour cette expédition, elle se retrouve flanquée d’Hannibal, pilote d’avion retraité et jamais à cours de blagues, et de Neva, une jeune femme qui doit lui servir d’interprète.
Ce trio improbable se retrouve embarqué dans un vieil avion, en route pour leur destination finale. Mais les éléments, la météo et l’immense Russie vont semer d’embûches leur voyage et les contraindre à vivre une expérience totalement différente de celle à laquelle ils s’étaient préparés.
Je découvre cet auteur, pourtant lauréat du Prix Orange du livre avec son premier roman Matador Yankee, et je ressors de cette lecture conquise par les personnages et l’atmosphère de ce roman de voyage et d’aventure.
Voyage aussi bien à travers les paysages frigorifiants de Russie que dans les histoires de chacun des membres de trio insolite.
De leur réunion vont naître des situations parfois cocasses, parfois émouvantes. Les trois personnages sont, chacun à leur façon, attachants. Tatiana, son intelligence et sa soif de liberté qui cache ses blessures d’enfance, et notamment l’arrestation et la disparition de son père, bien enfouies au fond d’elle. Hannibal qui dissimule sa sensibilité sous des dehors ironiques et blagueurs. Neva et sa fragilité de jeune femme à peine sortie de l’enfance et trop vite grandie.
C’est grâce à eux que l’épopée prend toute son ampleur, grâce à leur complémentarité et à la solidarité qui va naître entre eux au cours de leur voyage. Aidé aussi par une description précise de la nature, à la fois magnifique et hostile.
C’est totalement dépaysant, amusant, rempli d’humanité.
Et ça me donne furieusement envie de découvrir son précédent roman !
Jean-Baptiste Maudet est géographe. Il enseigne à l’université de Pau. L'an dernier avec Matador Yankee, il a remporté le Prix des lecteurs de la Fondation Orange. Des humains sur fond blanc est son second roman. Il est publié aux Éditions Le passage.
On prétend que des rennes contaminés par la radioactivité se dispersent dans le Grand Nord. Tatiana, une scientifique moscovite, est envoyée sur place, en Sibérie. Un pilote fantasque, retraité de l'armée soviétique, l'accompagne ainsi qu'une interprète, la jeune Neva, qui parle la langue des éleveurs nomades présents dans la région. Ce trio incertain monte à bord d'un vieil Antonov en direction du Nord et de l'hiver qui vient. En route, rien ne se passe comme prévu. Qu'est-il d'ailleurs possible de prévoir dans cette immense Russie où la neige recouvre les traces des humains ? Lorsque la vie ne tient plus qu'à la flamme d'une bougie, les ombres portées transforment le monde : l'allure des troupeaux, les mots de Pouchkine, les tigres des rêves et les trésors gelés des profondeurs. La meilleure façon, drôle ou tragique, de passer le temps est certainement de s'enivrer en racontant des histoires, celles que l'on invente, celles que l'on confond, celles que l'on emporte dans la nuit. Le blanc n'est-il que la couleur du froid et de l'oubli ou bien celle du désir de tout recommencer ?
Des humains sur fond blanc est un roman d’aventure loufoque, surréaliste et dépaysant. Mais ne vous y trompez pas, l’histoire est plus profonde qu’il n’y paraît. Il est question de jugement, d’a priori que l’on peut avoir sur les uns ou les autres et qui se révèlent totalement erronés lorsqu’il ne reste que l’essentiel, lorsque toute fioriture a disparu. Oui, ce roman questionne sur l’essence même de ce que nous sommes. Des humains, des blessures, des sentiments et non des machines. Pour en apprécier la lecture, il faut accepter le voyage. Accepter de partir à la rencontre d’un vieil homme fantasque, d’une jeune fille paumée qui cherche sa voix, d’une femme sophistiquée que l’on a tendance à prendre pour ce qu’elle n’est pas, de frères soviétiques bourrins dont un est particulièrement écervelé, de chinois qui n’hésitent pas à exploiter les Younets, une tribu de nomades venue tout droit du Grand Nord et enfin de mammouths enfouis sous la glace. Le tout devra être arrosé de bonnes rasades de vodka.
De plus, l’auteur de Des humains sur fond blanc a un réel talent. Il est de ceux qui écrivent de manière visuelle. Les images défilent au fur et à mesure que les pages se tournent. C'est simple, plus j’avançais dans ma lecture, plus j’avais l’impression de regarder un film que de lire un roman. L'auteur enchaîne les mots comme d’autres les plans séquences. Pour ma part, j’ai accepté le voyage, je suis partie en Sibérie, le froid m’a saisie, le blanc m'a éblouie. Grâce à son imaginaire, sa plume visuelle, ses dialogues, son originalité et son humour Jean-Baptiste Maudet m'a embarquée dans son univers.
Un conseil, montez à bord de cet Antonov, partez à la découverte de ce désert glacé, venez rencontrer Des humains sur fond blanc.
https://the-fab-blog.blogspot.com/2020/02/mon-avis-sur-des-humains-sur-fond-blanc.html
J’ai eu la chance de rencontrer Jean-Baptiste Maudet lors de la remise du Prix Orange du Livre 2019. En effet, je faisais partie du jury et son premier roman « Matador Yankee » venait de remporter la récompense. J’ai échangé quelques mots avec ce nouvel auteur, très sympa, qui m’a affirmé être déjà en train de mettre un point final à son second opus. Après la réussite, le plus dur est de confirmer. J’étais donc intrigué de savoir s’il avait transformé l’essai.
Le changement le plus radical entre les deux livres concerne la géographie. Alors que le précédent se déroulait dans les contrées ensablées et fortement ensoleillées du Mexique, celui-ci place son action aux antipodes, en Sibérie, où la température chute nettement et le décor se recouvre de neige. L’ambiance n’est alors pas du tout la même, mais le talent de l’auteur pour le retranscrire fait encore merveille. Il maîtrise l’art de la description des paysages et de l’atmosphère. Le lecteur est ainsi transporté sur les lieux, aux côtés des protagonistes, à subir les assauts de la rude météo.
L’aventure est une nouvelle fois au rendez-vous. Menée par un trio d’acteurs de haut vol, elle nous entraîne dans des péripéties rocambolesques. Le récit ne s’endort jamais sur ses lauriers et n’est jamais avare de surprises. Il enchaîne les scènes d’action pure avec des scènes de réflexion existentielle pour nous livrer une épopée rythmée, déjantée mais surtout divertissante.
L’auteur a trouvé son style et on se régale à la lecture de ses expéditions aux quatre coins du monde. Si vous êtes à la recherche de lectures distrayantes, avec des personnages loufoques et un scénario imprévisible, je ne peux que vous orienter vers ses histoires. Avec cette confirmation, Jean-Baptiste Maudet valide son statut d’écrivain. Après la tequila, la vodka, je salive de savoir quel sera le programme la prochaine fois !
http://leslivresdek79.com/2020/02/25/529-jean-baptiste-maudet-des-humains-sur-fond-blanc/
Tatania, une scientifique citadine, est envoyée au fin fond de la Sibérie vérifier des relevés indiquant que des troupeaux de rennes sont irradiés. Neva une jeune Younets sédentarisée dans une minuscule ville de ce grand nord est en pleine recherche d’identité. Hannibal, un pilote militaire en retraite, totalement ingérable, s’ennuie. De leur improbable rencontre Jean-Baptiste Naudet va faire un roman inventif, rocambolesque et addictif.
Il y a aussi des évadés sans foi ni loi qui désenclavent des mammouths pour envoyer leur ivoire en Chine. La vodka coule à flot, la neige est immaculée à perte de vue et le froid est … sibérien ! Tous les ingrédients d’un bon roman d’aventure sont en place et je m’en suis délectée.
L’écriture est fluide et le récit se lit d’une traite. J’ai souvent souri en imaginant des scènes décrites de manière très visuelles. Un bon moment de lecture.
https://ffloladilettante.wordpress.com/2020/02/21/des-humains-sur-fond-blanc-de-jean-baptiste-maudet/
Nousd sommes en Sibérie, sur les traces d’un trio improbable «dont la vie ne tient plus qu’à la flamme d’une bougie». Le second roman de Jean-Baptiste Maudet garantit le dépaysement.
Le jury du Prix Orange du livre 2019, dont j'ai eu l'honneur de faire partie, a couronné Matador Yankee, le premier roman de Jean-Baptiste Maudet. Durant la belle soirée qui suivi la remise du prix, l'auteur m’a révélé qu'il mettait déjà la dernière main à son second livre. Voici donc ce roman de la confirmation (que je trouve pour ma part encore meilleur que le premier). Des humains sur fond blanc nous permet de retrouver le goût de l'auteur pour les contrées exotiques, mais cette fois la Basse Californie et le Mexique sont remplacés par le froid sibérien.
Nous sommes dans la cité minière de Nerkhoïansk, où la «neige n'est jamais blanche» et où vit Neva. La jeune fille essaie de gagner son indépendance en remplissant les rayons du supermarché, même si en échange de ce boulot, elle doit accepter de «se laisser tripoter dans la remise par son employeur».
À l'image de la météo dans cette région, ses relations sont plutôt froides, y compris avec ses parents. Ils ne disent rien des ancêtres glorieux qui ont jadis peuplé la région, préférant murer leur rancœur dans le silence et s’abrutir dans un quotidien qui n’a rien d’exaltant.
À des milliers de kilomètres de là, dans un bureau moscovite, on s'interroge sur les rapports qui viennent d’arriver et semblent indiquer que des troupeaux de rennes errant dans le Grand Nord seraient porteurs de taux de radioactivité anormalement élevés. Et comme on ne semble pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe, il vaut mieux vérifier. D’autant que ce rapport est l'occasion pour un fonctionnaire frustré de s’offrir une petite vengeance. Il va envoyer Tatiana, la rouquine qui se refuse à lui, en Sibérie. Pour ce voyage, elle va devoir se coltiner Hannibal, un retraité de l'armée à la carrure impressionnante, qui va lui servir de pilote.
Arrivés à Nerkhoïansk, on ne peut pas vraiment dire qu’ils aient réussis à briser la glace, pas plus que dans le local où ils font la connaissance de Neva autour d’une vodka. Et comme cette dernière parle la langue des tribus autochtones, Tatiana l’engage comme d'interprète. Le vol vers le Grand Nord de ce trio improbable va s’achever brutalement. Hannibal parvient tout juste à se poser dans la plaine sibérienne, mais occasionne de gros dégâts à l’appareil. Dès lors, c’est le combat pour la survie qui va s’engager, avec quelques épisodes croustillants que je vous laisse découvrir.
Jean-Baptiste Maudet réussit cette fois encore à dépeindre une atmosphère avec une économie de mots, mais avec une réelle force d’évocation. Comme avec Matador Yankee, on se croit dans un film et on vit les scènes avec intensité. Il ne m’étonnerait pas qu’à un moment de votre lecture, vous ayez froid! Vous avez dit blizzard?
https://urlz.fr/bJEu
C’est grâce à son premier roman "Matador Yankee" que j’ai découvert la plume de Jean-Baptiste Maudet. J’avais beaucoup aimé son écriture. Le plaisir fut encore une fois au rendez-vous avec son deuxième ouvrage "Des humains sur fond blanc".
C’est un véritable roman d’aventure auquel nous convie l’auteur. D’abord le décor blanc de la Sibérie aux confins de la Yacoutie : de la neige, de la neige, encore de la neige et même des mammouths enfouis sous la glace, et aussi de drôles de tigres. Puis les personnages hauts en couleurs, étonnants, attachants : Tatiana, ingénieure moscovite, plutôt rétive, en délicatesse avec sa hiérarchie. Elle doit interrompre ses vacances au bord de la mer noire pour se rendre dans le grand nord. Des rennes y seraient apparemment victimes d’une teneur en césium 137 très supérieure au seuil autorisé. Hannibal, aviateur retraité de l’armée soviétique, foutraque, à moitié sourd et totalement alcoolique choisi pour l’amener sur les lieux à bord de son "Antonov Zondirovanie Atmosfery", aussi vieux et déglingué que lui. Et puis, la jeune Neva de la tribu des Younets, belle sans le savoir, brillante patineuse et voix de diva dans le rôle de l’interprète, puisqu'elle parle aussi le russe.
L'écriture est, encore une fois fort belle, aussi éblouissante que les reflets de la neige. Descriptive, imagée, elle brosse à merveille lieux et personnages. Elle décuple l’intérêt de cette histoire qui outre l’équipée parle de l’existence, une sorte de vagabondage où chacun va se trouver, accepter d’aimer et de s’aimer aussi. C’est dur, c’est tendre, c’est parfois drôle. Et l’on retrouve dans cet ouvrage, comme dans le premier, la patte du géographe, précis dans ses images, clair dans ses détails.
Jean-Baptiste Maudet signe là un deuxième roman très réussi, dépaysant et addictif. Je le verrais bien adapté au cinéma.
https://memo-emoi.fr
Il semblerait que des troupeaux de rennes contaminés par la radioactivité se baladent dans le Grand Nord, au risque de polluer des zones encore vierges de pollution. Alors qu’elle est tranquillement en vacances au bord de la Mer Noire, Tatiana la scientifique est rappelée d’urgence pour aller vérifier ça là-bas, en Sibérie.
Partir de Moscou pour aller sur zone n’est pas chose aisée, surtout à bord d’un antique Antonov et avec pour pilote Hannibal, un retraité de l’armée soviétique plutôt inquiétant question sérieux et sécurité. C’est pourtant ce qu’elle va faire, et arrivés à Nerkhoïansk ils retrouvent Neva, une jeune femme Younet qui parle à la fois le russe et le langage de ce peuple de Yakoutie éleveur de rennes. Une fois sur place, elle sera leur interprète si besoin.
Mais tout ne se passe pas comme prévu et une tempête force l’équipage à se poser en catastrophe au milieu des étendues gelées. Sans secours, point de salut, le froid, la faim, la mort les attendent. Mais les secours ne sont peut-être pas ceux attendus ou espérés, et l’expérience vécue bien loin de celle annoncée. Car après quelques jours, ils sont récupérés par des braconniers étranges et menaçants…
Au milieu de ce désert de glace et de froid, une forme d’amitié et surtout de solidarité va naitre entre ces trois protagonistes si différents et que tout aurait opposé à priori.
Roman réjouissant et dépaysant, des humains sur fond blanc est un véritable régal de lecture. A la fois descriptif et romanesque, voilà un vrai roman où l’aventure est omniprésente, on s’attache à ces personnages si différents, cabossés par la vie, terriblement humains et prêts à tout pour réaliser leurs rêves malgré les embûches et les impondérables.
lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2020/01/12/des-humains-sur-fond-blanc-jean-baptiste-maudet/
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Merci Ghislaine pour cette belle chronique « Des humais sur fond blanc » sera dans ma PAL. Prenez soin de vous . Belles lectures