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La guerre est finie, vive la guerre ! Une nouvelle ère s'ouvre pour le clan Caskey : les années d'acharnement d'Elinor vont enfin porter leurs fruits ; les ennemies d'hier sont sur le point de devenir les amies de demain ; et des changements surgissent d'où personne ne les attendait. Le conflit en Europe a fait affluer du sang neuf jusqu'à Perdido. Désormais les hommes vont et viennent comme des marionnettes sur la propriété des Caskey, sans se douter que, peut-être, leur vie ne tient qu'à un fil.
C'est toujours un plaisir de retrouver la famille Caskey. Des révélations sont faites sur certains personnages (mais on s'y attendait !) et d'autres se révèlent un peu plus et montrent leur vrai visage. On suit comme toujours le quotidien bouleversé par la guerre mais la manière dont le récit est amené n'est jamais trop ennuyant tant on a l'impression de retrouver un cadre connu et "réconfortant"
Comme pour les tomes précédents, la lecture est fluide et le livre se lit vite.
Après la dépression, c'est la Seconde Guerre Mondiale qui touche les États-Unis et “notre” petite ville de Perdido. La famille Caskey devra faire des efforts pour traverser cette guerre. Elle restera une famille mmatriarcale malgré le décès de Mary-Love. D'ailleurs, cette guerre risque même d'être pour eux, plus une opportunité qu'une catastrophe…
Dans ce tome, la famille Caskey, est en pleine mutation. Certains personnages s'affirment et une nouvelle dynamique se met en place, plus d'échanges, plus de dialogues et surtout moins de haine… La famille Caskey vieillit et c'est une toute nouvelle génération qui prend les commandes, surtout des filles !
C'est le tome de l'apaisement, l'ambiance est toujours aussi pesante, le fantastique passe en arrière-plan, au point de me poser la question : Qu'est-il advenu de tous les éléments surnaturels mis en place dans le tome précédent ?
Bref, un tome très différent, mais je me doute bien que le prochain vienne bouleverser la “petite vie tranquille” qui s'est installée dans la ville de Perdido et des alentours !
Comme tous les ans, en ce mois de janvier, a lieu la nuit de la lecture. Le temps fort est ce soir, avec comme thématique : la peur. Si vous êtes à la recherche d’un livre pour occuper cette nuit littéraire, je vous propose le volume 4 de la saga à succès Blackwater (les chroniques des trois premiers sont à retrouver dans les pages de mon blog). Comme toujours pour des romans à suspense, je ne vous livrerai que quelques informations de la situation initiale…
Francès et Miriam ont bien grandi. Alors que la première est maintenant lycéenne, la seconde devrait se rendre à l’université… Pourtant, personne ne sait rien de ses intentions…
On lit toujours avec autant de plaisir les aventures de ceux qui entourent Elinor. Des enfants qu’on a connus auparavant qui deviennent grands, et des personnages clés. Et toujours autant de suspense… Pas de doute, nous ne sommes pas prête de nous arrêter dans la lecture de cette saga !
Encore une magnifique couverture pour ce tome 4 dans les tons de vert couleur de la rivière Perdito.
L'histoire se poursuit et beaucoup de changements vont s'opérer dans ce tome.
Les personnages évoluent et Elinor s'impose dans la direction de la famille, désormais elle prend le pouvoir.
Toujours aussi embarquée dans cette saga un peu étrange je me réjouit d'avoir acquis le restant des tomes afin de continuer mon aventure.
Aussi mystérieuse qu'envoutante je suis toujours aussi conquise, sans rien pouvoir dévoilé au risque de spoiler juste vous inciter si vous ne connaissez pas encore à foncer!
Dépaysement garantie.
Très belle saga, intrigante certes mais le suspense n'y est pas. Les personnages manquent d'épaisseur, et nous restons à distance des évènements; impossible de se fondre dans l'histoire.
Toujours aussi addictif !
J'ai également succombé à la déferlante Blackwater, influencée par tous les posts ultra positifs sur Insta. J'ai adoré cette saga, un vrai coup de cœur, j'ai enchaîné les tomes, tentant parfois de me freiner dans ma lecture mais sans succès. J'ai adoré et pourtant je suis incapable d'expliquer clairement pourquoi... c'est la magie de ce genre de livres. J'ai du mal à me dire qu'il n'y aura pas de suite, je ne suis pas prête à dire au revoir aux Caskey.
Il me faut aussi souligner la beauté des livres, les couvertures sont tout simplement magnifiques.
Une saga dans laquelle on se plonge pour n'en émerger qu'au point final du sixième tome... ou pas.
Voilà le tome 4 en ma possession… Hmmmmm mon précieux !
Frances, la fille cadette d'Elinor et Oscar, est la digne fille de sa mère concernant l'eau. Dès qu'elle s'y trouve elle est comme dans son élément, en totale osmose et comme dans un état second qui lui fait perdre la notion du temps, des distances et des profondeurs sans qu'elle comprenne ce qui lui arrive.
La guerre arrive et la vie s'écoule à Perdido, avec toujours des remous au sein de la famille Caskey, et on continue de se demander qui est Elinor, même si on en a une (très) vague idée.
Il y a toujours la vilaine-méchante-peste et la gentille-adorable-parfaite, comprendre Miriam, alter ego de l'horrible Nelly Oleson, et Frances, genre de bienveillante et innocente Mary Ingalls, personnages de la petite maison dans la prairie (précision pour quiconque serait passé à travers), qui a accompagné mon enfance et même après… oui, parce que ces deux personnages me rappellent étrangement cette série. C'est assez manichéen par moments mais on se laisse embarquer quand-même et c'est là tout le talent de l'auteur. Et c'est toujours aussi prenant. Cette histoire est une locomotive qui vous entraîne éperdument.
Et la fin de ce tome… inattendue et glaçante.
Et bien entendu, j'attends le tome 5 de pied ferme !
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