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Michael Mcdowell

Michael Mcdowell
Au-delà de la douleur et du chagrin, de la culpabilité et de la folie, Michael McDowell (1950-1999), créateur des mythiques Beetlejuice et Blackwater, nous offre avecLune froide sur Babylon un roman gothique et bestial, une danse macabre à mi-chemin entre le true crime et le cinéma d'horre... Voir plus
Au-delà de la douleur et du chagrin, de la culpabilité et de la folie, Michael McDowell (1950-1999), créateur des mythiques Beetlejuice et Blackwater, nous offre avecLune froide sur Babylon un roman gothique et bestial, une danse macabre à mi-chemin entre le true crime et le cinéma d'horreur où le mal que se font les vivants n'est rien à côté de celui que peuvent vous infliger les morts.

Avis sur cet auteur (104)

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    Couverture du livre « Blackwater : l'épique saga de la famille Caskey Tome 1 : La crue » de Michael Mcdowell aux éditions Monsieur Toussaint Louverture

    Christelle Point sur Blackwater : l'épique saga de la famille Caskey Tome 1 : La crue de Michael Mcdowell

    1919, alors que la petite ville de Perdido en Alabama est recouverte par la crue conjointe des rivières Perdido et Blackwater, deux hommes en barques repèrent une âme qui vive dans une chambre d’hôtel sinistrée. Ils secourent ainsi la jeune et belle Elinor, qui dit être restée seule et cloîtrée...
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    1919, alors que la petite ville de Perdido en Alabama est recouverte par la crue conjointe des rivières Perdido et Blackwater, deux hommes en barques repèrent une âme qui vive dans une chambre d’hôtel sinistrée. Ils secourent ainsi la jeune et belle Elinor, qui dit être restée seule et cloîtrée dans cette petite pièce cernée par les eaux sans manger ni boire depuis plusieurs jours. Venue chercher un travail d’institutrice elle a (opportunément) égaré papiers et diplômes dans les eaux de la crue. Hébergée par la famille Caskey, Elinor ne tarde pas à se faire une place dans la famille, au grand damne de la possessive matriarche Marie-Love. Elinor conquiers les cœurs, mais autour d’elle se multiplient également les évènements étranges, voire surnaturels. Elinor, femme sans passé, a-t-elle des pouvoirs de sorcières ?

    La saga « Blackwater » connaît un vrai succès populaire depuis peu et ce premier tome confirme ce que j’imaginais. Nous voilà en présence d’un roman court, écrit d’une plume efficace et facile à lire, et qui est réellement pensé pour plaire au plus grand nombre, dans le bon sens du terme. Roman historique mais surtout récit fantastique, « Blackwater – La Crue » nous emmène au début du siècle dans le Sud Profond des Etats-Unis, au sein d’une famille aisée d’industriels du bois qui, au début du roman, est sinistrée par une crue gigantesque qui a tout saccagé. C’est à l’occasion de cette inondation que la belle et (très) mystérieuse Elinor est découverte seule dans une chambre d’hôtel. D’emblée, tout fleure bon le surnaturel puisqu’elle est restée des jours sans rien manger ni boire dans une chambre submergée. Sans passé, dotée d’une chevelure flamboyante et d’un caractère bien trempé (sic), elle va vite s’installer chez les Caskey puis séduire le jeune Oscar. Elle fait la conquête de tout le monde sauf de sa belle-mère Marie-Love. L’affrontement à fleuret moucheté entre les deux femmes fait en grande partie le sel du récit. Le surnaturel abonde autour d’elle, les arbres poussent plus vite que la normale, les gens qu’elles n’aiment pas meurent opportunément (la mort abominable d’un personnage certes peu sympathique pourrait heurter les âmes sensibles), des objets qu’on croyait perdus réapparaissent subitement. Elle semble avoir gain de cause d’une façon ou d’une autre dans tout ce qu’elle entreprend. Elle a également un rapport étroit avec l’eau à tel point qu’on hésite entre la « sorcière » et la « sirène » pour la qualifier. Dans « Blackwater », les femmes sont fortes, elles prennent les décisions, elles manipulent, décident, influencent. Quant aux hommes, ils sont faibles, manipulables, indécis, influençables. Je schématise un peu mais quand même, c’est l’ambiance générale du récit. « Blackwater » est un récit tenté de fantastique comme pourrait l’être un roman de Stephen King par exemple, le surnaturel est insufflé dans le récit par petites touches, plus sous-entendu que clairement exposé, tout du moins jusqu’ici. Ce premier tome bénéficie en plus, et c’est agréable, d’une magnifique édition de poche. « La Crue » donne bien envie de continuer la saga car l’action s’arrête brutalement, sur une note un peu étrange et qui ne manquera pas de donner du grain à moudre pour la suite.

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    Couverture du livre « Katie » de Michael Mcdowell et Pedro Oyarbide aux éditions Monsieur Toussaint Louverture

    Franck FINET sur Katie de Michael Mcdowell - Pedro Oyarbide

    Curieux du succès de la saga Blackwater, j'ai souhaité tenter l'aventure en lisant "Katie" .
    L'Amérique de la fin du XIX ième siècle (1871) entre New Egypt (New-Jersey) , New-York, Boston et Philadelphie.
    Nous suivons 2 familles ; les DRAX avec la jeune Philomena et sa mère Mary, très pauvres...
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    Curieux du succès de la saga Blackwater, j'ai souhaité tenter l'aventure en lisant "Katie" .
    L'Amérique de la fin du XIX ième siècle (1871) entre New Egypt (New-Jersey) , New-York, Boston et Philadelphie.
    Nous suivons 2 familles ; les DRAX avec la jeune Philomena et sa mère Mary, très pauvres mais appréciés par la communauté.
    Les SLAPE avec la jeune Katie, son père John et sa belle-mère Anna. L'incarnation de la cruauté, des violences les plus terribles. Katie a des pouvoirs de divination qu'elle exploite à des fins criminelles et bassement financières.
    Après que son grand-père, sa mère, son amie furent violemment trucidés par les SLAPE, Philomena fait preuve d'un immense courage pour continuer à vivre et prendre sa revanche.

    Un roman social, terriblement violent mais au scénario convenu et prévisible.
    Une lecture agréable mais qui ne restera pas inoubliable.

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    Couverture du livre « Lune froide sur Babylon » de Michael Mcdowell et Pedro Oyarbide aux éditions Monsieur Toussaint Louverture

    Pascale Pay sur Lune froide sur Babylon de Michael Mcdowell - Pedro Oyarbide

    Une fois de plus, cet auteur m'a embarquée dans son univers pourtant si loin de mes lectures habituelles. Hipnotique ce nouveau roman publié de Mc Dowell!

    En plus d'une collection de livres qui confine au bijou!

    Une fois de plus, cet auteur m'a embarquée dans son univers pourtant si loin de mes lectures habituelles. Hipnotique ce nouveau roman publié de Mc Dowell!

    En plus d'une collection de livres qui confine au bijou!

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    Couverture du livre « Blackwater : l'épique saga de la famille Caskey Tome 1 : La crue » de Michael Mcdowell aux éditions Monsieur Toussaint Louverture

    Vanessa Rioli sur Blackwater : l'épique saga de la famille Caskey Tome 1 : La crue de Michael Mcdowell

    Se lit presque d'une traite et nous laisse en haleine...

    Se lit presque d'une traite et nous laisse en haleine...