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Le destin des Morrison prendra un virage à cent quatre-vingts degrés en ce jour tragique où, à l’âge de sept ans, la narratrice (Kate) a perdu ses deux parents en même temps, dans un accident de voiture. Alors qu’elle les attendait tranquillement à la maison, à mille lieues d’imaginer le drame, en compagnie de toute sa fratrie (Luke : dix-neuf ans, Matt : dix-sept ans et bébé « Bo », la petite Elizabeth, qui n’a que dix-huit mois …)
Leur première et grande crainte : être séparés dans leur famille dispersée et devoir quitter ce foyer rassurant de Crow Lake (dans l’Ontario, au Canada …) Pour Luke, la situation est on ne peut plus claire : il va renoncer à l’École Normale afin de subvenir aux besoins de tous.
À travers ce superbe roman, les souvenirs présents (dix-neuf années se sont écoulées) et anciens (ceux d’après la tragédie) vont permettre aux lecteurs de réaliser à quel point les choix individuels ont impacté cette fratrie ravagée, les transformant en des êtres heureux (ou pas …) et aboutis (ou non …) Une réalité à laquelle chacun d’entre nous a pu avoir à se confronter, à un moment de son existence.
C’est à la mort de ses propres parents que l’écrivaine canadienne Mary Lawson a eu l’idée de concevoir ce (non autobiographique) récit. Si elle a – effectivement – deux frères et une petite soeur, elle précise bien qu’il s’agit là d’une pure fiction … Une intrigue fort joliment rédigée, emplie d’humanité et de questionnement, que j’ai pris énormément de plaisir à lire.
Chez les Cartwrigt, tout part un peu à vau l'eau.
Meg, la seule fille sur huit enfants gérait la maisonnée.
Mais à 21 ans, elle décide de partir en Angleterre pour vivre sa vie.
La mère ne s'occupe que de son dernier nouveau-né et néglige tout le reste.
Le père, banquier se réfugie dan son bureau.
Les enfants restants se débrouillent plus ou moins bien.
Bon, ça se lit bien sûr , mais je pense que c'est le dernier Lawson que je lis.
Comme dans « L'autre côté du pont », j'ai trouvé que tout était assez convenu, trop classique.
Pas d'innovation littéraire.
Juste un roman sympathique comme en en a lu des tas depuis des années.
J’ai lu tous les précédents romans de Mary Lawson et j’en garde un souvenir fort. Sept ans après Un hiver long et rude, je suis heureuse de découvrir Des âmes consolées. Ce roman met en scène trois personnages. Il y a Clara, une fillette de presque huit ans qui guette le retour de sa grande sœur, Rose, une adolescente qui a fugué. Depuis sa fenêtre, Clara a vue sur le salon de sa voisine, Mme Orchard, qu’elle apprécie beaucoup. Celle-ci est partie à l’hôpital pour subir une opération et a chargé la fillette de s’occuper de son chat. Mais depuis quelques jours, un mystérieux jeune homme nommé Liam, s’est installé dans la maison de Madame Orchard. Tour à tour, nous suivons ces trois personnages qui se croisent, dans un petit village fictif canadien. J’ai été très touchée par les différents personnages : Clara, pour sa ténacité, son innocence et sa singularité. Liam, trentenaire divorcé en quête de lui-même et Madame Orchard qui se repasse le film de sa vie sur son lit d’hôpital et qui porte un lourd secret. Quel bonheur de me replonger dans un récit de Mary Lawson. Sa délicate plume nous transporte au Canada. Ce roman est tendre, beau et malgré des événements difficiles, il est empli d’amour.
Une petite ville au nord du Canada.
Deux frères dans une ferme.
L'ainé, Arthur droit, simple, peu doué pour les études, prendra la suite de son père.
Le second, Jake, beau, intelligent, fourbe ira vivre sa vie ailleurs.
Deux périodes : les années 40, les années 60.
Ayant lu récemment une livre de Mary Lawson que j'avais beaucoup aimé, j'ai choisi celui-ci.
Par rapport au précédent, j'ai été déçue.
Non pas que l'histoire soit inintéressante.
Non pas que ce soit mal écrit.
Mais j'ai eu l'impression de lire un livre comme j'en ai lu des tas il y a bien des années.
Un côté vieillot, trop classique, convenu.
Et puis j'ai trouvé ça long, voire interminable.
Entre la dualité des frères, les intrigues amoureuses, les drames de la vie, bien qu'il se passe beaucoup de choses, j'ai eu l'impression qu'il ne se passait pratiquement rien.
Tout cela manque d'originalité.
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