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Un premier roman, maladroit certes, mais qui laisse présager des qualités d'écriture réelles et un auteur en devenir. On sent bien l'approche du photographe qui cherche à montrer le corps, les attitudes, les regards. Mais, dans l'intrigue elle-même, c'est un peu lent, on passe à l'âge adulte avec tout ce que cela génère de doutes, d'interrogations, de certitudes refoulées. Alors oui, on peut s'émouvoir pour cette amitié entre Max et Lou, mais comme eux, on s'ennuie parfois, parce que rien ne bouge, peut-être.
Après ça premier roman de l'auteur Eliot Ruffel paru lors de cette rentrée littéraire 2024.
Une chronique d'adolescence, un récit d'apprentissage, la libération de la parole, un portrait sans filtre.
Un bunker qui est comme leur refuge, une cabane, de l'imagination en inventant les vies probables du frère de max partie du jour au lendemain. Des métaphores sur le passage à l'âge adulte. Les deux adolescents s'exprime parfois par un langage corporel. On évoque aussi la manière que le corps imprime la violence subit. Une lecture touchante. Un livre assez court à découvrir.
Au départ, on s’ennuie autant que les deux jeunes garçons du roman.
Puis, on se laisse emporter par l’histoire de Lou, qui perd pied quand son ami Max meurt et qu'il doit déménager.
Finalement, quand on referme ce roman, on se dit qu’il n’est pas si mal.
Certes, c’est un ouvrage assez court, mais les chapitres sont très denses, sans vraiment de respiration.
C’est un premier roman intéressant.
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