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Un bel hommage d'Antonin Artaud a un peintre qu'il admirait. Artaud démontre que c'est la folie du monde qui a tué Vincent Van Gogh. Un petit livre qu'il faut lire tranquillement pour bien comprendre le cheminement de l'auteur.
ça commence par une correspondance avec Jacques Rivière, qui était à l'origine pour publier des poèmes chez Gallimard. J'ai surtout remarqué qu'Antonin Artaud ne parlait que de lui, donc le titre est vraiment très bien choisit. Ensuite, on a le droit à différents textes de sa période surréaliste et après son éviction. Malgré la grande qualité d'écriture, je vois peu d’intérêt à ce livre bien que certains morceaux de bravoure surnagent dans cet océan de noirceur et de douleur.
Ce texte était à l'origine une émission radiophonique qui provoqua un petit scandale en son temps. Il y a chez Artaud à la fois du génie et de la folie, la preuve en est ce livre qui peut dérouter aux premiers abords.
pour les amateurs du genre à ne pas rater
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