Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Ce texte est écrit sous forme d’une lettre adressée à monsieur Alzheryan.
Or ce monsieur est mort depuis bien des années. Elle n’est donc qu’un prétexte à raconter l’enfance et l’adolescence du narrateur.
Membre d’une famille juive, sa mère est décédée et son père est un avocat influent.
En cette période d’entre deux guerres, il est spectateur de l’opulence des amis et clients de son père. Il se souvient dans le détail de leur apparence, de leurs habitudes, des ses impressions de jeunesse.
Mais le vent tourne, les lois raciales font leur apparition, et les relations se transforment.
Le style est un peu désuet, l’écriture est belle, l’atmosphère de l’époque est très réaliste.
Le livre est court, cent vingt-deux pages Il résonne comme un témoignage d’une déchéance sociale imprévisible et inéluctable.
Mais j’ai ressenti une petite pointe d’ennui à la lecture.
Une écriture poétique qui nous transporte dans un autre temps. Retour aux premiers émois, questionnement sur sa place, désir de grandir mais envie de rester petit : l'adolescence quoi !
Le temps d'un été et pour nous d'un peu plus de 150 pages pour retrouver ses émotions. Le texte est court mais intense et reste universel.
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle