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Quatorze ans de mariage, quatorze ans de mauvais traitements : toute la vie de Rosie. Un enfer ! Doublé d'une obsession : fuir son tortionnaire de mari, flic jaloux, bourreau sadique, prêt à la massacrer à la première occasion.
900 kilomètres suffiront-ils à la préserver de Norman ? Qui donc pourrait lui venir en aide ? Personne en ce monde. Mais il existe un autre monde. Celui de Rose Madder. Cette femme n'est peut-être qu'un personnage de tableau, une hallucination. Elle possède pourtant un pouvoir étrange. Un pouvoir dont Rosie pourrait profiter. A moins qu'en traversant la toile, elle ne déchaîne l'apocalypse...
Après Jessie et Christine, le plus génial explorateur des zones obscures de notre inconscient se glisse une fois encore dans la peau d'une femme à l'âme fêlée, habitée par la peur. Cette peur qui conduit aux actes les plus fous, aux passions les plus noires.
Rose Madder, on me l'avait quelque peu vendu comme l'un des tous meilleurs de Stephen King. Il est peu de dire, qu'au final, je sors de cette lecture déçue.
Rose est une femme blessée, physiquement, moralement et humainement. Cela fait 14 ans qu'elle subit les violences de son flic de mari. Sans broncher, sans se plaindre, sans se confier à qui que ce soit (qui la prendrait au sérieux d'abord ?)
La scène qui inaugure le roman a d'ailleurs été très difficile à lire pour moi, j'avais mal dans mon corps comme Rose devait avoir mal dans le sien.
Puis un matin, sur un coup de tête (sans mauvais jeu de mots) , Rose décide de partir. Sans rien ou presque, partir car sa vie en dépend, fuir maintenant car plus tard elle n'aura plus ce courage et elle le sait. Mais son mari la laissera-t-il à sa nouvelle vie aussi facilement ?
J'ai beaucoup aimé la première partie du roman, j'ai aimé suivre Rose dans sa nouvelle vie, à la reconquête d'elle-même. J'ai aimé cette force en elle qui lui a permis de quitter son tortionnaire pour ne plus se retourner. Puis, pile au milieu du bouquin, on est chez Stephen King quand même, ça vire vers du fantastique. Je n'ai rien contre le fantastique, mais là, pour moi, ça ne l'a pas fait. J'ai trouvé ça ennuyeux et lourd, j'ai même lu en diagonale certains passages. Il y a encore eu des choses qui m'ont intéressée après dans le roman mais je n'ai pas aimé ce virage vers le fantastique qui a davantage plombé ma lecture qu'autre chose. Dommage...
Stephen King ne sait pas faire court (ses nouvelles ont généralement la taille de romans), et pour ma part, justement, j'aime qu'il prenne son temps, j'aime ses longueurs. Sauf ici, c'est là aussi que cela pêche selon moi.
Bon Stephen, sans rancune, j'en ai encore pas mal à lire de toi. Après cette petite conversation entre quat'zyeux, je suis sûre que le prochain me plaira davantage.
Encore un très beau portrait de femme. Que ce soit dans la trilogie féminine ou travers des personnages féminins plus ou moins secondaires, plus ou moins principaux, dans d'autres œuvres, King a le don pour croquer des femmes ambivalentes, fortes et fragiles à la fois, dans lesquelles on se reconnaît. Rosie n'échappe pas à la règle, et son portrait de femme battue est d'ailleurs réalisé avec beaucoup de justesse que celui de son mari tortionnaire (dans la 2e partie du roman).
8e Livre de @stephenking #rosemadder qui as été éditer en 1998 que je viens de finir Rosie McClendon Daniels lit le voyage de Misery et son Mari Norman Daniels n’aime pas qu’elle lise ce genre de livre, donc il l’as frappe mais Rosie est enceinte de 4 mois, elle prie intérieurement pour pas qu’elle perde le bb, Norman lui dit « tu auras un autre bb que tu garderas celui la il iras très bien » Donc Rosie allait à l’hôpital et évidement elle devait rien dire, ou sinon il l’as tuerait. Cet homme ça fait 14 ans qu’il l’as frappe, sans jamais aucune fois elle ai envie de partir elle faisait subir et puis un jour une goutte de sang apparut sur les draps, et la elle décida de prendre la carte bleue et de partir et d’avoir une nouvelle vie, elle partit juste avec son sac à mains, et elle prit un bus et elle iras à 900 km de son mari, et un homme lui conseilla, une maison où on recueille les femmes victime de coup « filles et sœurs » dans cet Institution elle se reconstruit elle travaille elle participe à des groupes de paroles pour parler de son expérience, et un jour elle décide de rentrer chez un prêteur sur gage pour vendre sa bague de fiançailles, elle lui dit que maintenant elle lui serviras plus à rien, l’homme lui en proposa 50 dollars elle refusa et elle s’apprêta à ressortir de la boutique quand elle découvrait un tableau peinte à l’huile et il s’appelait Rose Madder, elle voulait ce tableau, pour son future appartement, sans penser que ce tableau allait changer sa vie...
Je dirais pas que ce Livre est un coup de ❤️il as juste pris tout mon ❤️tout entier, ce livre est juste ÉPOUSTOUFLANT, ce livre aurait pu comme beaucoup de livres traitant sur la violence conjugale tout simplement mais le génie de Stephen King est qui l’as mis dans cette histoire de violence conjugale un brin de fantastique, c’est une histoire tellement touchante, on es a fond avec Rosie, on as peur pour elle, les 150 dernières pages sont palpitantes, comme sait très bien l’auteur ménager le suspens et le faire durer - Livre exceptionnel qu’on en sort pas idem -
Un petit détail peut tout changer...
3eme volet de la trilogie"féminine" de Stephen King (avec Jessie et Dolorès Claiborne). Cette fois-ci, S.K. nous emmene dans la vie d'une femme battue, qui vit dans la peur de son flic de mari. Evidemment, ce ne serait pas vraiment Stephen king, si il n'y avait pas un peu de "magie" dedans
je le lis pour la troisième fois ....
sujet accrocheur pour la feministe que je suis, mais je n" ai pas vraiment aimé le personnage
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