Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Berenice Abbott en 1925 photographiait ses premiers portraits sur le balcon du studio de Man Ray à Paris. Soixantecinq ans plus tard, en 1990, elle prenait son dernier portrait dans un bateau sur le lac d'Hebron dans le Maine, à quelques centaines de mètres du chalet dans lequel elle a passé ses dernières années.
Abbott réalisait généralement ses portraits parisiens dans son propre studio, d'abord 44, rue du Bac, puis 18, rue Servandoni, mais aussi parfois sur place, au domicile du client, comme son premier portrait de James Joyce. En juin 1926, Jan Sliwinski exposa dans sa galerie des photographies de James Joyce, Jean Cocteau, Sylvia Beach, Marie Laurencin ou André Gide parmi tant d'autres. Les hommes et les femmes photographiés par Berenice Abbott étaient liés - socialement, intellectuellement, artistiquement ou sentimentalement. Elle ne photographiait pas des inconnus, à la différence d'Atget, qu'elle contribua à sortir de l'ombre.
Ce livre, conçu par Hank O'Neal, regroupe plus de cent portraits, dont la plupart sont inédits. Les plaques de verre brutes, telles qu'elles sortaient de sa chambre noire, sont présentées avec le recadrage qu'elle souhaitait. Portraits parisiens est un livre rare au service d'une photographe essentielle dans l'art du portrait, de l'architecture ou de la photographie scientifique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle