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En 1981, dans un dernier entretien, Georges Perec définissait le scénario cinématographique comme un mode spécifique du travail d'écriture. Deux ans auparavant, son entretien avec Raffaella di Ambra se terminait ainsi : « Quant au cinéma, j'ai des projets, mais ce n'est pas mon univers ». Au-delà du paradoxe, la considération de ces brefs propos a le mérite de poser comme immédiatement problématique l'hypothèse d'une pertinence propre- ment poétique du cinéma quant à la pratique d'écriture de Perec.
On se propose donc d'éprouver la consistance, s'agissant de cette oeuvre, de la notion d'écriture-cinéma - revendi- quée à propos de La Vie mode d'emploi par l'auteur lui-même : « J'aime beaucoup les hyperréalistes et mon livre a un côté hyperréaliste. Mais je me crois surtout influencé par le cinéma et sa technique ». Dans les traces, indé- niables, de la présence du cinéma dans les textes, qui reconduit à la cinéphilie passionnée qui caractérisa un temps la vie de l'auteur. Et dans l'inaboutissement tendanciel des projets cinématographiques régulièrement conçus, en dépit de la co-réalisation, avec Bernard Queysanne, d'Un homme qui dort (1974, prix Jean-Vigo) et de l'écriture du scénario et des dialogues de Série noire (1979) d'Alain Corneau.
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