A gagner 6 exemplaires de "Nuit" le dernier roman policier de Bernard Minier (XO éditions)
Nuit de tempête en mer du Nord. Secoué par des vents violents, l'hélicoptère dépose Kirsten Nigaard sur la plate-forme pétrolière. L'inspectrice norvégienne enquête sur le meurtre d'une technicienne de la base off-shore.
Un homme manque à l'appel. En fouillant sa cabine, Kirsten découvre une série de photos. Quelques jours plus tard, elle est dans le bureau de Martin Servaz.
L'absent s'appelle Julian Hirtmann, le tueur retors et insaisissable que le policier poursuit depuis des années. Étrangement, sur plusieurs clichés, Martin Servaz apparaît. Suivi, épié.
Kirsten lui tend alors une autre photo. Celle d'un enfant.
Au dos, juste un prénom :
GUSTAV Pour Kirsten et Martin, c'est le début d'un voyage terrifiant. Avec, au bout de la nuit, le plus redoutable des ennemis.
UN FACE-À-FACE ANGOISSANT Après Glacé, récemment adapté en série pour M6, Le Cercle et N'éteins pas la lumière, Bernard Minier, auteur incontournable du thriller français, signe le grand retour du commandant Servaz. Les livres de Bernard Minier sont traduits dans dix-neuf langues.
A gagner 6 exemplaires de "Nuit" le dernier roman policier de Bernard Minier (XO éditions)
Vous avez adoré "Glacé" et vous attendez impatiemment "Nuit" , Venez rencontrez cet auteur incontournable du roman policier et du thriller français.
Choisissez, lisez et chroniquez !
Une femme retrouvée morte dans une église norvégienne, dans sa poche la photo d’un petit garçon blond, c’est le point de départ de l’enquête de Kirsten, enquêtrice de la police norvégienne au caractère bien trempé. C’est en France, à Toulouse, que son enquête la mène assez rapidement car le suspect de ce crime laisse à Kirsten des indices troublant, menant à Martin Servaz. Qui est ce petit garçon blond, au sourire timide et au physique fragile ? Kirsten et Martin mènent l’enquête en duo avec la nette impression d’être manipulé à distance. Et si Julian Hirtmann, introuvable depuis longtemps, était derrière ce crime norvégien ? Et si c’est lui, quel objectif tordu poursuit-il ?
Comme j’ai eu la mauvaise idée de lire les romans de la série martin Servaz dans le désordre, il me manquait une pièce au puzzle. « Nuit » était cette pièce qui me faisait défaut. Qui est Gustav, ce gamin sorti de nulle part dans la vie de Servaz ? Et qu’est devenu le « Moriarty » de Servaz, le très tordu et psychotique Julian Hirtmann ? Maintenant, j’ai la réponse à ces deux questions. Que vaut « Nuit » en termes de roman noir ? Il a les mêmes qualités et les mêmes défauts que toute la série Martin Servaz. Côté qualités, on peut accorder au roman une réelle facilité de lecture, on enchaine les chapitres sans se laisser déborder. Et pourtant, le roman met en scène pas mal de personnages, en Norvège, en France, en Autriche. On pense que l’intrigue se disperse mais en réalité, tout cela est assez cohérent et si certains apartés peuvent paraître étranges (en Autriche notamment), ils ont leur raison d’être et forment un tout qui se dirige vers un seul but : un final spectaculaire. Il y a aussi un vrai attachement qui s’est crée autour de certains personnages, comme Espérandieu par exemple (il est malheureusement sous-exploité dans ce roman). Martin Servaz, c’est plus nuancé, j’ai déjà eu l’occasion de dire ce que je pensais de son côté « vieux c… passéiste». Et puis il y a un passage que j’aime bien, c’est tout l’épisode du début avec la blessure et l’EMI de Servaz, cette expérience le change en profondeur sans qu’il le comprenne vraiment et ne puisse l’expliquer, c’est assez subtil et bien exprimé par Bernard Minier. Côté défaut, je regrette toujours que le personnage d’Hirtmann soit ce qu’il est, c'est-à-dire le grand méchant suprêmement ignoble et suprêmement intelligent, parant tous les coups fourrés, capables de tous les subterfuges les plus sophistiqués, une sorte de sur-homme au service du Mal, assez peu crédible. Le chef d’orchestre autrichien est lui aussi très antipathique, et il est lui aussi le meilleur des meilleurs, le plus ceci, le plus cela, etc… Bernard Minier n’est pas l’adepte le plus fervent de la nuance, et c’est vraiment dommage. Il a un autre petit défaut, c’est celui de « sur-écrire », par moment on dirait qu’il rallonge volontairement la sauce pour produire le plus grand nombre de pages dont il est capable. Il y a des passages entiers dont on pourrait se passer sans que cela enlève quoi que ce soit à l’intrigue : quand un policier va travailler, a-t-on réellement besoin de savoir quelle ligne de métro il prend, quelles correspondances il fait et à quelle station il descend ? Mais bon, « Nuit » (que j’ai écouté en audio livre et non lu, mais je ne pense pas que cela change quoi que ce soit) n’est pas un mauvais roman noir, il remplit honnêtement son office de page-turner. Et je me suis laissé surprendre par le coup de théâtre final, un rebondissement bien amené, avec malice. Mais je ne suis pas (et je ne crois je serais jamais) une grande fan de Bernard Minier et de Martin Servaz. Quand je compare Servaz avec Sharko (Franck Thilliez) par exemple, en terme de héros récurent et de personnage attachant, il n’y a vraiment pas photo.
Nouvelle enquête du commandant Servaz dans le milieu de cinéma d’horreur. Je me demande quand il sera temps pour lui de raccrocher et pour Bernard Minier de trouver un autre héros. Servaz le solitaire qui tient debout et continue sa chasse aux criminels avec un pouce arraché, des côtes cassées et de multiples coups. Mais quand on commence, on veut connaître la fin (et elle surprend) et je lirai le prochain qui est annoncé dans la dernière phrase.
Je poursuis les aventures de Martin Servaz, et malheureusement ce quatrième roman m'a bien moins emballée que les précédents !
L'intrigue démarrait super bien : une plateforme pétrolière en Norvège et j'aurais aimé que l'histoire se poursuive dans cet univers clos et inquiétant, mais pour faire revenir Martin, il fallait s'en retourner près de Toulouse !
On retrouve donc notre flic préféré mais il est, encore une fois, mal en point ! Il y a un moment où il reprend du poil de la bête ou comment ça se passe ? Parce que ça devient lassant...
Et les problèmes arrivent parce qu'ensuite l'enquête n'a rien d'intéressant, en fait il n'y a même pas trop d'enquête, on comprend pas trop à quoi est payé Servaz dans ce tome-là.
À part à se faire encore une fois embobiner mais c'est trop, on n'y croit plus et Martin passe du flic ultra perspicace et intuitif dans les 3 premiers tomes au dindon de la farce dans celui-là.
Après, ça reste très prenant et je l'ai quand même dévoré mais c'est aussi que j'attendais un rebondissement, un bon gros twist final qui n'est pas venu.
Bref, il m'en reste trois à découvrir, et j'en possède déjà un donc j'espère que les prochains vont remonter dans mon estime !
Une technicienne d'une base offshore basée en Norvège est retrouvée assassinée. L'enquête est confiée à la froide inspectrice Kirsten Nigaard, qui lors de son enquête sur la base découvre toute une série de photos d'un policier français.
Ces photos vont la conduire à la ville rose pour tenter de comprendre pourquoi un policier, en l'occurrence Martin Servaz, est épié aussi assidument. Ils vont donc travailler conjointement pour retrouver le meurtrier, qui pourrait être son ennemi de toujours : Julian Hirtmann, le tueur qui s'est échappé du centre psychiatrique de haute sécurité, que l'on a découvert dans son premier roman "Glacé". Mais cette enquête est tout sauf une enquête de routine au cours de laquelle Servaz aura fort à faire pour maintenir le cap.
Comme j'avais été emballée par la lecture de Glacé, j'avais hâte de lire ce polar et là grosse déception, au bout de quelques pages, j'ai fini par m'ennuyer avec ce commandant de police qui fonce tête baissée dans les pièges tendus pourtant évidents, qui ne réfléchit pas plus que cela, obsédé qu'il est par sa chasse à l'homme. Et s'ajoute à cet ennui va durer jusqu'au bout de ces quelques cinq cents pages, la faiblesse de l'intrigue où l'on pressent ce qui va arriver. La seule chose qui a pu un tant soit peu me faire vibrer est l'ambiance rendu par un environnement plutôt hostile qui sied bien à un polar psychologique comme on aurait aimé que "Nuit" soit.
Pas sûre d'avoir envie d'autres écrits de cet auteur, je vais laisser passer un peu de temps et peut-être y reviendrais-je ?
http://quandsylit.over-blog.com/2021/08/nuit-bernard-minier.html
La poursuite d'un suspect par Servaz est terrible. Je n'en dis pas plus...
Quatrième tome de la saga du Commandant Servaz, cela commence très fort, ou il pourchasse un suspect et il est touché au cœur et va tomber dans un coma un certain temps. Il reviendra différent, comme apparu de l'autre monde.
Il va faire allier avec Kirsten pour essayer d'attraper enfin, Hirtmann, mais ça va être bien sûr plus compliqué que ça ne parait.
Enormément de rebondissements, on a du mal à savoir ce qui est bien et mal, car justement au milieu de l'équation se trouve un enfant qui se prénomme Gustav, qui est son père ? Hirtmann ou Servaz ?
C'est un volet assez addictif, ou l'intrique est rondement menée, ou il est impossible de deviner la fin.
Le rapport entre Servaz et Hirtmann et aussi intéressant, on se demande qui est le bon et le mauvais, la personnalité de ce psychopathe est vraiment particulièrement complexe, je vous rassure ce n’est pas devenu un enfant de chœur, mais on découvre une humanité sous cet esprit torturé.
J'ai adoré ce tome ou nos émotions sont mis à dure épreuve, au début j'ai eu très peur pour le personnage principal, ensuite l'intensité de l'action prends le pas et pour finir l'émotion pour ce petit enfant qui as demandé rien à personne.
A la fin de ce récit, on se sent bouleversée, complétement chamboulée, heureusement je sais qu'il me reste un dernier livre de cette fabuleuse série, après il faudra attendre pour acheter le dernier volet.
J'ai adoré !
On replonge dans la vie de Martin Servaz, et quel plaisir. Je ne vais pas trop en dire sur le roman pour ne pas spoiler car c'est un quatrième tome. Mais lisez cette saga, elle vaut le coup !
J'ai été plongé dans l'histoire, du début à la fin. Monsieur Minier, mène les enquêtes de Martin Servaz finement, et j'ai pas vu les pages défiler !! On retrouve des personnages des autres romans, même de Glacé, le tome 1.
J'attends maintenant avec impatience la sortie en poche de "Soeurs" :)
Quatrième opus mettant en scène le commandant de police Martin Servaz et cinquième ouvrage de Bernard Minier, « NUIT » prolonge les antagonismes établis dans « Glacé » et « Le cercle » entre Martin et Julian Hirtmann, ancien procureur et surtout tueur en série.
Je l’ai lu en deux jours… !
Tout commence en Norvège, lorsqu’une technicienne sur une plateforme pétrolière est assassinée et qu’on retrouve sur elle un document comportant le nom de Kirsten Nigaard, inspectrice qui va enquêter sur ce meurtre. Un homme manque à l’appel sur la plateforme : c’est Julian Hirtmann, et dans sa cabine on retrouve des photos de Martin Servaz dans sa vie quotidienne, et la photo d’un enfant, Gustav.
Kirsten est donc dépêchée à Toulouse pour prendre contact avec Martin et mener l’enquête autour de l’enfant, Gustav, dont il faut découvrir l’identité. Or Hirtmann a disparu depuis plus de 5 ans, avec Marianne.
On découvre tour à tour des complices de Hirtmann et des pères détruits par la mort de leur fille qui s’allient pour mener vengeance. Bernard Minier nous immerge à nouveau dans le mal absolu, mis en scène à sa manière remarquable. On y découvre que la haine peut être « un sentiment très pur »…
Martin est affaibli physiquement dès le début de l’histoire, il a frôlé la mort, alors il se remet en question. On le sent à bout, et sa manière d’agir diffère des autres livres. Il essaie de faire face à cette nouvelle attaque de Hirtmann - furieux de savoir que le Suisse a pu suivre ses faits et gestes, tout en protégeant sa fille Margot. Il ne sait pas non plus comment s’y prendre avec la belle et froide enquêtrice Kirsten sur laquelle tous les hommes se retournent.
On plonge dans la nuit, de la Norvège aux Pyrénées en passant par l’Autriche, les épisodes les plus marquants de cet ouvrage se déroulent en nocturne : « train de nuit », « la nef faiblement éclairée », « l’obscurité était totale », « il faisait nuit noire et la maison était plongée dans l’obscurité », « la nuit autrichienne », « le noir complet », ... A la fois chaviré, de sentiment en sentiment, on suit la progression de Martin et Kirsten vers la vérité, mais quelle vérité ? A quoi doit-il encore s’attendre ? Comment Hirtmann a-t-il choisi de le faire souffrir, cette fois ?
Les descriptions de l’auteur font particulièrement sens dans cette histoire, on suit des ombres, on essaie d’y voir clair, jusqu’à la fin… qui n’en est pas vraiment une… un nouveau roman vient de paraître…
A suivre donc, et très vite !
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