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Nuit sur la neige

Couverture du livre « Nuit sur la neige » de Laurence Cossé aux éditions Gallimard
  • Date de parution :
  • Editeur : Gallimard
  • EAN : 9782072801273
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Septembre 1935. Robin sort de l'adolescence. Il est venu au monde après la mort de son père, comme de nombreux enfants de sa génération, nés pendant la grande guerre.
La vie politique est alors particulièrement violente en France, tant sur le plan intérieur que dans l'ordre international. Mais,... Voir plus

Septembre 1935. Robin sort de l'adolescence. Il est venu au monde après la mort de son père, comme de nombreux enfants de sa génération, nés pendant la grande guerre.
La vie politique est alors particulièrement violente en France, tant sur le plan intérieur que dans l'ordre international. Mais, à dix-huit ans, qui n'accorde pas plus d'importance à ses tourments intimes qu'à l'actualité collective ? En la personne d'un de ses camarades de classe préparatoire, Robin découvre que l'amitié est un des noms de l'amour, autrement dit de l'inquiétude. Conrad est la séduction même et l'énigme incarnée.
Aux vacances de Pâques 1936, alors que la tension politique est à son comble, tous les deux vont skier dans un vieux et pauvre village de Haute Tarentaise du nom de Val d'Isère, dont quelques visionnaires imaginent qu'il pourrait devenir une grande station de ski alpin. Les six jours qu'ils y passent marqueront Robin à vie. Ce serait trop dire qu'il va connaître là une initiation à la féminité et à la mort : l'amour de sa mère et l'absence de son père sont depuis son enfance sa force et sa fragilité. Mais, en ces quelques jours, son existence entière va être illuminée par une jeune fille - et puis tout s'éteindra. Pour lui, la neige aura toujours à voir avec l'effroi, pire, avec la désillusion radicale.

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Avis (9)

  • Lu en une après-midi, je me suis laissée emporter par ce petit roman.
    Le contexte historique est un prétexte pour suivre Robin dans ses premiers pas dans la vie, dans ses questionnements, ses illusions et désillusions.
    Derrière l'histoire d'amitié, de fraternité avec les cousins, de relation...
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    Lu en une après-midi, je me suis laissée emporter par ce petit roman.
    Le contexte historique est un prétexte pour suivre Robin dans ses premiers pas dans la vie, dans ses questionnements, ses illusions et désillusions.
    Derrière l'histoire d'amitié, de fraternité avec les cousins, de relation fusionnelle avec une mère, d'un amour imaginé, il y a une écriture ciselée, intense qui m'a portée.
    J'ai vraiment aimé cette ambiance et cette lecture.

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  • Bon. Encore un roman sans noyau. Et moi, quitte à passer pour quelqu'un de très/trop classique, j'aime bien les romans avec un noyau : un sujet central.
    Parce que le noyau si on le multiplie, ça devient des pépins et c'est plus difficile à appréhender. On a du mal à les cerner. Là on a trois...
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    Bon. Encore un roman sans noyau. Et moi, quitte à passer pour quelqu'un de très/trop classique, j'aime bien les romans avec un noyau : un sujet central.
    Parce que le noyau si on le multiplie, ça devient des pépins et c'est plus difficile à appréhender. On a du mal à les cerner. Là on a trois pépins : l'apprentissage d'un jeune aux côtés d'un ami mystérieux, les débuts du ski et un amour naissant. Et même si l'écriture est agréable et fluide, je me suis éparpillée dans les trois thèmes. Du coup, aucun ne m'a paru véritablement abouti.

    Alors faut-il le lire ? Je n'ai pas été convaincue. Vous pouvez tenter. J'aurais préféré lire 3 romans différents avec chacun des thèmes développé avec plus de détails.

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  • L’entre-deux guerres, l’union des forces de gauche aboutissant au succès du Front Populaire emmené par Léon Blum : pendant cette période cruciale qui va déterminer ce qui suivra, un jeune homme raconte une double histoire d’amitié et d’amour et profite de l’occasion pour nous faire vivre les...
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    L’entre-deux guerres, l’union des forces de gauche aboutissant au succès du Front Populaire emmené par Léon Blum : pendant cette période cruciale qui va déterminer ce qui suivra, un jeune homme raconte une double histoire d’amitié et d’amour et profite de l’occasion pour nous faire vivre les débuts des sports d’hiver en France.

    Dans Nuit sur la neige, Laurence Cossé donne la parole à Robert que tout le monde appelle Robin, jeune homme élève de classe prépa dans une boîte tenue par les Jésuites (BJ) à Verbiest, lieu semble-t-il imaginaire, proche de Paris. Son père a été tué au front pendant la première guerre mondiale et son fils, comme beaucoup d’autres enfants, à l’époque, ne l’a jamais connu.
    Dans sa BJ, le bizutage dure dix jours mais Robin n’en parle pas. Il rentre chez lui chaque fin de semaine, fait du sport. Il se lie avec Conrad Wickaert et constate dans un journal que les lois antijuives sont appliquées en Allemagne : « La persécution des Juifs devenait légale. »
    Les filles l’attirent mais, avec franchise, il reconnaît : « À vrai dire, je ne rêvais pas de sexe, encore moins d’un sexe. Je rêvais d’un visage – d’un regard sur moi, d’un sourire –, en un mot je rêvais d’aimer de passion, comme une midinette. »
    Oncle Pol (35 ans), célibataire, parle de ski de piste car il a investi à Val d’Isère où, en 1935, un premier remonte-pente a été installé. En attendant, c’est à Saint-Moritz, en Suisse, que Conrad invite Robin qui apprend à skier avec Carl qui constate : « Les plus de cinquante ans de sa famille avaient été furieux de voir des pylônes apparaître dans les prés réservés jusque-là à leurs vaches, ils s’inquiétaient de ce que la montagne allait devenir. »
    J’ai été très intéressé par ce roman qui m’a fait vivre les débuts du ski de piste dans ces villages difficiles d’accès où l’on vivait difficilement mais où l’or blanc commençait à attirer les investisseurs. Sur place, on s’organise et le constat est révélateur de ce qu’il va advenir : « L’école de ski tournait bien. On pouvait maintenant compter une dizaine de moniteurs du cru, de jeunes Avalins contents de gagner de l’argent au lieu de travailler avec leur père et leur grand-père à la ferme sans recevoir jamais un sou, selon l’économie autarcique immuable depuis des siècles. »

    J’ai surtout été touché par Robin qui tente de s’intéresser à la vie des gens à la montagne mais tombe surtout amoureux de Clarie ce qui va amener quantité de révélations après un drame, dans les dernières pages du livre. L’amitié, l’amour et les combats menés contre l’ignominie sont au cœur de ce roman bien écrit, bien mené et bien documenté.

    Chronique illustrée à retrouver sur : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/

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  • Ce roman, Nuit sur la neige, débute en septembre 1935. Robin, né après la mort de son père décédé pendant la Grande guerre, a 18 ans et vient d'être admis à Verbiest, boîte jésuite que tous appellent BJ, dans l'une des classes prépas aux écoles d'ingénieurs.
    Bien que vivant dans une période où...
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    Ce roman, Nuit sur la neige, débute en septembre 1935. Robin, né après la mort de son père décédé pendant la Grande guerre, a 18 ans et vient d'être admis à Verbiest, boîte jésuite que tous appellent BJ, dans l'une des classes prépas aux écoles d'ingénieurs.
    Bien que vivant dans une période où la vie politique est particulièrement violente en France, tant sur le plan intérieur que dans l'ordre international, Robin s'y intéressera peu car il va surtout être emporté par ses sentiments, sentiment d'amitié notamment pour un de ses camarades, Conrad, qui restera cependant pour lui une énigme.
    Il va découvrir avec lui la joie du ski de piste, d'abord à Saint-Moritz, en Suisse, puis ils se rendront ensemble dans un vieux village, à Val d'Isère, que certains, comme Pol, l'oncle de Robin, en véritables visionnaires, imaginent déjà comme une grande station de ski alpin.
    Et c'est à Val d'Isère où ils resteront six jours, que Robin va s'éprendre d'une jeune fille et cette rencontre le marquera à vie.
    Ce roman décrit bien les sentiments troubles que peuvent ressentir les jeunes gens. il offre également une très belle restitution de la naissance du ski et de son développement. J'aurais aimé cependant qu'il développe davantage le côté politique de cette période si importante de notre histoire. De même, certains points du livre sont restés pour moi non élucidés.
    Un très beau roman tout de même.

    Chronique illustrée à retrouver sur : https://notre-jardin-des-livres.over-blog.com/

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  • Robin, orphelin d’un père, mort à la guerre alors qu’il n’était pas encore né lui fait dire « Je serai toujours l’ignoré » Jeune, il ne souffre pas de ce manque, car il vit entouré d’une kyrielle de cousins.
    Il intègre une classe prépa à Verbiest, chez les jésuites « les jèzes » où il se lie...
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    Robin, orphelin d’un père, mort à la guerre alors qu’il n’était pas encore né lui fait dire « Je serai toujours l’ignoré » Jeune, il ne souffre pas de ce manque, car il vit entouré d’une kyrielle de cousins.
    Il intègre une classe prépa à Verbiest, chez les jésuites « les jèzes » où il se lie d’amitié avec Conrad, un jeune suisse de parents séparés, on ne disait pas divorcés à l’époque, beaucoup plus dégourdi que lui. Conrad a du charisme, parait sûr de lui, un peu dominateur, mais toujours avec élégance, à l’inverse de Robin, timide et peu sûr de lui.
    Cette amitié, de la part de Robin, tend vers une certaine idolâtrie, jusqu’à guider sa vie. Elle éclaire La pension pas folichonne, la douche hebdomadaire des plus rudimentaires.
    L’Histoire rencontre leur histoire. Le front populaire, la montée du nazisme, Hitler, l’Espagne, les camelots du roi, l’attentat contre Léon Blum… et sert d’arrière-fond à leur amitié tout comme le développement du ski et des stations alpines. Ici Val d’Isère qu’il faut joindre à pied ou à dos de mulets si le temps le permet. Val d’Isère, un village montagnard perdu où pour dépeindre leurs vies, les villageois disaient « Huit mois d’hiver et quatre mois de misère. »
    Robin y connaîtra sa première histoire d’amour, platonique avec Clarie, jeune fille qui parait si bien, si belle, si sensible, si… « Je n’ai jamais rencontré une fille aussi gentille »
    Pourtant les frêles jeunes filles, tout comme la montagne enneigée peuvent être traîtres et cruelles.
    Laurence Cossé restitue l’atmosphère lourde et pesante de cette époque troublée et explosive. L’éveil à l’amour d’un adolescent d’une famille bourgeoise, enfant unique adoré par sa mère peut sembler archaïque aux jeunes d’aujourd’hui, mais il n’y avait pas internet, ni la télévision, ni portable… pour « s’instruire ».
    Nous sommes au XXème siècle, mais les paysans du Val d’Isère se chauffent, non pas au bois car il est interdit de couper les arbres qui retiennent les avalanches et les pierres, mais avec « des galettes de crottes de moutons façonnées une à une et mises à sécher au grenier ». Le chauffage était fourni également par les animaux « Les vaches, l’âne ou le mulet, les chèvres étaient au fond de la salle, au rez-de-chaussée, derrière une cloison à claire-voie. Les moutons avaient une place à part. Les grands lits étaient hauts, on y montait par une marche qui servait aussi de banquette. Les moutons se serraient là tout l’hiver, dans de vastes coffres. Pour les nourrir et les faire boire, il suffisait de soulever le dessus du coffre. Ils chauffaient les lits et la pièce. » J’imagine la tête des vacanciers de la station s’ils devaient faire pareil ! Deux mondes séparés par un océan de modernité et de fric.
    Laurence Cossé renoue avec le roman classique, loin de la fulgurance de la Grande Arche. Plus intime, il est très riche en renseignements historiques. Nuit sur la neige, un roman sur les débuts ; début d’une amitié, début, plutôt prémices d’une nouvelle guerre, l’amour, la naissance d’une station, les débuts du ski de descente… Je retrouve son ironie douce, sa plume classique, sans fioriture inadéquate, précise, douce, pour une mise en images de tous ces commencements.
    Je prends toujours un très grand plaisir à lire Laurence Cossé qui, pour moi, est une grande auteure, à l’égal de Modiano.

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  • La guerre ne fait pas seulement des veuves, elle fait aussi des orphelins. Né après ma mort de son père en 1918, Robin se construit sans figure paternelle mais avec une mère aimante. En 1935, les prémisses de ce qui deviendra la grande guerre avec la montée du nazisme en Allemagne perturbent...
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    La guerre ne fait pas seulement des veuves, elle fait aussi des orphelins. Né après ma mort de son père en 1918, Robin se construit sans figure paternelle mais avec une mère aimante. En 1935, les prémisses de ce qui deviendra la grande guerre avec la montée du nazisme en Allemagne perturbent l’horizon de l’Europe.
    Robin, alors étudiant en classe préparatoire découvre l’amitié auprès de Conrad. C’est une amitié qui tient du coup de foudre pour le jeune Robin, chez Conrad tout lui plait, sa liberté, sa beauté, sa famille. Les deux jeunes hommes partent en vacances dans un village pittoresque et perdu des Alpes qui a tout pour devenir la station de ski des années à venir, Val d’Isère.
    Là, en même temps que se déploie son amitié et sa découverte d’un sport naissant qui sera largement impulsé par les congés payés, Robin découvre ses premiers émois d’adolescent au contact de la jolie et timide Clarie…
    J’ai aimé la façon dont l’auteur nous parle de l’adolescence, de ses émois, de l’amitié mais aussi l’éveil à l’amour, de la vie en somme. Avec beaucoup de justesse, tant dans le bonheur que dans la douleur, c’est à la fois étonnant et cruel, réaliste et sensible.
    Mais aussi son étude d’un sport sur lequel je ne me suis jamais posé beaucoup de questions, la naissance des stations de ski, des sports d’hiver, est donc très intéressante.
    Chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2018/08/28/nuit-sur-la-neige-laurence-cosse/

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  • Laurence Cossé m’avait surpris avec son précédent ouvrage. En effet, elle avait réussi le tour de force de me passionner pour une histoire pourtant banale, celle de l’Arche de la Défense. J’avais dévoré cette épopée qui s’était révélée être d’un grand romanesque.

    Pour ce nouveau livre, elle...
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    Laurence Cossé m’avait surpris avec son précédent ouvrage. En effet, elle avait réussi le tour de force de me passionner pour une histoire pourtant banale, celle de l’Arche de la Défense. J’avais dévoré cette épopée qui s’était révélée être d’un grand romanesque.

    Pour ce nouveau livre, elle change complètement de registre pour revenir à un roman classique. Robin, son narrateur, se remémore des épisodes de sa jeunesse qui ont eu lieu dans la période d’entre-deux-guerres. L’action se joue pendant des évènements politiques importants qui vont marquer l’Histoire de France. Cette toile de fonds imprègne le roman mais les préoccupations des adolescents sont ailleurs. Dans ce retour en arrière, on découvre l’ambiance particulière des classes préparatoires. On entre dans le quotidien des étudiants de l’époque. Robin partage alors ses inquiétudes et ses tourments liés à la jeunesse de cette partie du siècle. En suivant le parcours de ses protagonistes, l’autrice en profite pour parsemer des informations intéressantes sur l’invention des stations de ski et sur la naissance du tourisme hivernal.

    Cette histoire est aussi une celle d’une amitié. Robin entretient une relation particulière avec Conrad, un élève fascinant, centre de toutes les attentions. Cette amitié un peu torturée est tellement intense qu’elle tend presque vers l’idolâtrie. Constamment soucieux de lui plaire, il va tout mettre en œuvre pour exister à ses yeux. Le pouvoir de séduction de Conrad va guider certains de ses actes. Mais le drame n’est jamais loin…

    Même si plusieurs thèmes importants sont abordés dans cette histoire, même si le récit est plaisant et parfois intrigant, je n’ai pas vraiment compris où l’autrice voulait nous emmener. Durant ce très court roman, j’ai simplement tourné les pages, sans répit, avec l’envie de connaître la suite. L’écriture académique de Laurence Cossé est exigeante mais très fluide et je me suis pris au jeu jusqu’à la fin… malheureusement un peu anodine. Cette lecture a donc été agréable pour moi, mais elle me laisse un petit goût d’inachevé. Dès lors, j’ai peur que le souvenir de ce livre s’efface rapidement de ma mémoire.

    http://leslivresdek79.com/2018/08/28/403-laurence-cosse-nuit-sur-la-neige/

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  • Entre les deux guerres, quelles étranges relations Robin va t'il nouer avec son camarade de classe, le très énigmatique Conrad ?

    Né juste après la mort de son père durant la guerre de 14, Robin porte le poids de celui qui a été conçu sans même que le père ne le sache et se retrouve être cet...
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    Entre les deux guerres, quelles étranges relations Robin va t'il nouer avec son camarade de classe, le très énigmatique Conrad ?

    Né juste après la mort de son père durant la guerre de 14, Robin porte le poids de celui qui a été conçu sans même que le père ne le sache et se retrouve être cet orphelin que sa mère, veuve de guerre , approche avec inquiétude.

    Mais robin va devoir grandir, et passer à l'âge adulte. Tout le pousse en avant, ses études, les père jésuites, l'avancée de l'histoire, le front populaire, la montée du fascisme, sa famille et Conrad.

    Conrad cet être trouble, fascinant et agaçant. Conrad le camarade de classe et son air détaché, sa désinvolture et son arrogance. Conrad qui devine tout, perçoit tout et peut être manipule les autres.

    Ce court roman est un réussite. 140 pages et pourtant rien ne manque, rien n'est laissé de coté et tout est disséqué avec une précision parfaite. Dans un style épuré mais juste, Laurence Cossé dépeint aussi bien les personnages, que les situations, et jusqu'au détail de l'Histoire, celle de cette entre deux guerres. Il y a une exigence dans cette lecture et c'est bien là tout l'art de l'écrivain.

    Petit conseil : évitez de lire trop en détail la 4eme de couverture qui dévoile au final 85% de l'intrigue .. ce qui est un peu honteux pour ce type de roman. Un raté de l'éditeur sur point

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