Episode 2 : Des conseils de lecture en tout genre, pour un maximum de plaisir !
« Comment avoir l'audace de prétendre être en vie si l'on vit sans oser ? ».
Tout commence par quelques mots griffonnés au dos d'une carte postale : « Je pense à vous, je vous aime ». Ils sont signés de Charles, le père d'Antoine, parti vingt ans plus tôt sans laisser d'adresse. Avec son meilleur ami, Laurent, apprenti journaliste, et Anna, sa jeune soeur complètement déjantée, Antoine part sur les traces de ce père fantôme. C'est l'affaire d'une semaine, pense-t-il... De l'ex-Allemagne de l'Est à la Turquie d'Atatürk, de la Géorgie de Staline à l'Autriche nazie, de rebondissements en coups de théâtre, les voici partis pour un road movie généalogique et chaotique à la recherche de leurs origines insoupçonnées.Alexis Michalik a décidément le goût de l'aventure : après le succès phénoménal d'Edmond, le comédien, metteur en scène et dramaturge couronné par cinq Molières, nous embarque à bord d'un premier roman virevoltant, drôle et exaltant.
Episode 2 : Des conseils de lecture en tout genre, pour un maximum de plaisir !
C'est l'heure des bilans ! Voici les 10 romans qui ont marqué vos lectures cette année...
Tout commence par quelques mots au dos d’une carte postale : « Je pense à vous, je vous aime. » Ils sont signés de Charles, le père d’Antoine, disparu dix-sept années plus tôt sans laisser d’adresse.
Avec son meilleur ami, Laurent, et sa jeune sœur, Anna, aussi instable qu’irrésistible, Antoine par donc, à vingt-six ans, sur les traces de ce père fantôme. L’affaire d’une semaine, pense-t-il... De l’ex-Allemagne de l’Est à la Turquie d’Atatürk, de la Géorgie de Staline à l’Autriche nazie, de rebondissements en coups de théâtre, les voici lancés dans un road movie généalogique
Ce livre était dans ma PAL depuis fort longtemps, offert par une amie qui m'est très chère. En visionnant l'émission Un dimanche à la campagne, j'ai découvert Alexis et sa façon de parler m'a beaucoup plu.
Ce qui m'a poussé à lire son premier roman et je suis super contente d'avoir franchi le pas, car cette épopée est juste romanesque à souhait, captivante et éblouissante.
On va de tribulations en tribulations dans les nombreux pays où se déroule l'action entourant cette quête d'identité d'Antoine et d'Anna.
Alexis nous décrit avec précision et sans longueur l'histoire géopolitique de chaque pays afin de nous plonger dans l'ambiance particulière de chacun d'eux.
Cette histoire nous emmène de voyage en voyage, toujours plus loin dans la recherche de ce père disparu.
De plus, le trio de personnages est super attachant, le caractère d'Anna est bien trempé et va bousculer un peu la routine des 2 hommes.
Le style de l'auteur est entraînant, et en nous interpellant, il nous intègre encore davantage à l'aventure. C'est fluide, rapide et le réalisme est fort présent.
Diverses émotions jalonnent ce roman : affection, amitié, joie, tristesse, peur....
De plus, il combat toutes les idées racistes en démontrant la multitude des racines humaines qui peuvent être éloignées de ce que l'on pense.
L'arbre généalogique à la fin du livre est fort utile car avec les changements de noms de certains personnages, cela aurait plus compliqué.
Ce livre a une profondeur insoupçonnée, nous rappelant la réalité de notre monde pouvant être magnifique mais aussi cruelle, inégale et illégale.
Un livre coup de poing et coup de cœur, à découvrir absolument.
Roman facile à lire. Avec un fil conducteur à suivre au fil des pages. On s'attache facilement aux personnages qui passent de générations en générations
Et bien mes amis, quelle histoire !
A partir d'une carte postale reçue des années trop tard, Antoine, sa sœur Anna et son ami Laurent sont embarqués dans une époustouflante aventure.
C'est le père qui a envoyé cette carte, un père disparu du jour au lendemain, 17 ans plus tôt..
Ils partent à sa recherche en Autriche, pensant résoudre l'affaire en huit jours.
Mais plus d'un mois après, de découverte en découverte, ils auront dû se rendre en Allemagne, en Turquie, en Géorgie, en Arménie, en Inde, en Nouvelle-Calédonie..... sur la piste de ce père mystérieux et insaisissable.
Tout leur arbre généalogique est transformé, chamboulé.
Eux-mêmes se transforment au fil des rebondissements.
Alors on ne s'ennuie pas une seconde.
C'est un véritable roman.
Des intrigues, des personnages variés, de l'aventure.......
Bien qu'il fasse 178 pages, il se lit vite tellement on est embarqué dans cette folle équipée.
On a tellement hâte de connaître le dénouement.
C'est très bien écrit.
Aucune lassitude.
Outre l'histoire personnelle des personnages, en apprend sur l'Histoire des pays traversés.
Je trouve juste que ça se termine un peu abruptement.
J'aurai aimé assister aux …......, je ne dis pas aux quoi, ça dévoilerait un peu l'histoire.
Mais bon, tant pis, à moi d'imaginer.
En tout cas, c'est du grand art romanesque.
Quel livre !!!
Un régal ! Une écriture juste qui m'a fait voyager, ressentir les odeurs et les saisons des pays traversés.
Merci
J'ai adoré ce presque "tour du monde en 80 jours".
Antoine, sa soeur Anna et son meilleur ami Laurent partent dans une folle épopée pour retrouver le père des deux premiers disparu il y a 20 ans ; serait-il vivant ?
Cette recherche est le prétexte à un voyage rocambolesque à travers une dizaine de pays.
C'est érudit parfois, dépaysant toujours, drôle souvent avec des personnages haut en couleurs et attachants.
Le style vivant est basé sur de nombreux dialogues et des aller/retour présent/passé.
C'est trépidant, cela se lit d'une traite et ces 650 pages sont un vent de liberté.
Un voyage complètement fou en quête de ses racines
Antoine, jeune homme bien sous tout rapport, se lance dans un incroyable road-trip pour retrouver son père.
Je finis à l'instant ce petit pavé de 760 pages et je suis contente de l'avoir terminé. J'ai fini par me lasser des multiples rebondissements de cette histoire... J'étais bien emballée la première moitié du livre et puis après un sentiment de trop : trop de personnages, trop de lieux visités et décrits, trop d'aventures rocambolesques, trop de retours dans le passé !
Il m'a semblé que même les personnages ne savaient plus ce qu'ils cherchaient, je ne retrouvais plus le style narratif du début où on avait des retours à la 1ère personne qui fonctionnaient bien.
L'auteur Alexis Michalik m'avait conquise avec sa pièce de théâtre Intra muros mais là il m'a perdue...
À découvrir si vous aimez les gros pavés et les histoires familiales compliquées !
Pas mal du tout découvrir l auteur et le livre
Sélection Prix des lecteurs 2021
Avec Loin, Alexis Michalik souhaite emporter le lecteur dans un road trip ambitieux par la route, dans une vieille Lada notamment, par les airs et même la mer. S’y ajoute une traversée de la seconde moitié du XXème siècle.
De l’amour, de l’amitié, du suspens et de l’aventure en perspective… oui mais voilà après un long prologue très enthousiasmant, en ce qui me concerne, le soufflet est retombé !
Après une première moitié du livre longue et redondante, si j’ai apprécié l’histoire de l’arrière-grand-mère qui apporte enfin les révélations sur le passé familial, je n’ai pas été convaincue par la fin (qui n’en finit pas) du livre! Le meilleur ami qui décide d’entreprendre à son tour la quête de ses origines pour y finalement renoncer m’a apparu comme un méandre superflu.
Globalement, ce récit pour le moins romanesque mais trop souvent rocambolesque m’a laissée sur le bord de la route : le héros apprend le turc en une semaine, se sort d’une mauvaise passe parce que le père du mafieux local connaît la grand-mère, le copain se souvient qu’il a appris le russe à l’école…
Les informations sorties d’un guide de voyage et les lieux communs comme un magnifique coucher de soleil sur le Bosphore n’ont pas réussi à m’embarquer dans ce road-trip boulimique.
J’ai surtout eu l’impression de lire un scénario de téléfilm en deux parties (120 mn n’y suffiraient pas pour une adaptation ciné), en même temps les personnages n’arrêtent pas de le répéter : « on se croirait dans un film » !
Si dans le voyage le chemin parcouru est plus important que la destination, je n’ai apprécié ni l’un ni l’autre dans Loin… et je m’en excuserai presque tellement j’ai aimé Edmond !
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