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Les vacances d'un serial killer

Couverture du livre « Les vacances d'un serial killer » de Nadine Monfils aux éditions Pocket
  • Date de parution :
  • Editeur : Pocket
  • EAN : 9782266222303
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Fait 100 bornes que sa femme, mégère aux fausses allures de starlette, et ses gosses, deux ados décérébrés, lui tapent sur le pompon. Et que dire de sa belle-mère et de sa roulotte pourrie qui casse l'esthétique de la bagnole ? Avec soixante ans de retard, Mamie a décidé de jouer les Bonnie and... Voir plus

Fait 100 bornes que sa femme, mégère aux fausses allures de starlette, et ses gosses, deux ados décérébrés, lui tapent sur le pompon. Et que dire de sa belle-mère et de sa roulotte pourrie qui casse l'esthétique de la bagnole ? Avec soixante ans de retard, Mamie a décidé de jouer les Bonnie and Clyde avec le premier julot venu.
Elles vont être belles les cartes postales !

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Articles (1)

  • Solstice estival de la littérature : nos conseils
    Solstice estival de la littérature : nos conseils

    Tandis que la belle saison étire son temps avec langueur, l'été inspire aux auteurs des histoires, riches de rencontres et d'inattendu. Un peu comme si les rayons du soleil et ce supplément de liberté élargissaient le champ des possibles et des promesses. Des auteurs classiques aux auteurs contemporains, l'été inspire de magnifiques pages à lire ou relire… Tour d'horizon de ces romans auxquels l'astre solaire donne une lumière particulière.

Avis (15)

  • ce livre fait partie de la série "mémé cornemuse". Il raconte l'histoire des vacances de mémé et de sa famille. C'est très drôle même si c'est bourré de meurtre
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    ce livre fait partie de la série "mémé cornemuse". Il raconte l'histoire des vacances de mémé et de sa famille. C'est très drôle même si c'est bourré de meurtre

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  • Premiere fois que je lisais cette auteure, ou alors je suis tombée sur le plus moche des bouquins de sa plume, mais franchement la poilade et la rigolade j'attends encore.
    plus que bof

    Premiere fois que je lisais cette auteure, ou alors je suis tombée sur le plus moche des bouquins de sa plume, mais franchement la poilade et la rigolade j'attends encore.
    plus que bof

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  • À ajouter dans la longue liste des polars amusants, " Polevoordesque " dans l'esprit. Tout ici fleure bon la déprime du plat pays grisonnant....tout sauf une mémé totalement déjantée qui décide qu'après tout l'épicurisme n'étant pas réservé aux moins de 65 ans, il serait bon qu'elle en...
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    À ajouter dans la longue liste des polars amusants, " Polevoordesque " dans l'esprit. Tout ici fleure bon la déprime du plat pays grisonnant....tout sauf une mémé totalement déjantée qui décide qu'après tout l'épicurisme n'étant pas réservé aux moins de 65 ans, il serait bon qu'elle en abuse.
    Quelques bons moments.

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  • Après ma brève rencontre avec Nadine Monfils sur Bloddy Fleury, il fallait bien que je tombasse dans ses pattes de cette blonde trop souriante pour être honnête. J’avais du retard à combler. Comment expliquer que j’étais passé à côté de Mémé ? Aucune justification possible ! Bref, erreur...
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    Après ma brève rencontre avec Nadine Monfils sur Bloddy Fleury, il fallait bien que je tombasse dans ses pattes de cette blonde trop souriante pour être honnête. J’avais du retard à combler. Comment expliquer que j’étais passé à côté de Mémé ? Aucune justification possible ! Bref, erreur corrigée, avec Les vacances d’un serial killer, je fais enfin connaissance avec Mémé Cornemuse (because son faible pour les écossais, car ils ne portent pas de slip sous leurs kilts).

    On parle rapidement du contenu : La famille Destrooper part en villégiature sur les bords de la mer du Nord. Josette, la fille de mémé, son mari Alfonse ainsi que leurs deux ados barrés et faignants, Steven et Lourdes et bien entendu mémé dont les hormones sont plus proches de la bouilloire que de la platitude du pays. Ce petit monde tracte sa caravane. Mais le voyage tourne mal. Vol de sac à main, cadavre de motard, pension se révélant être un bouge crado. Bref le farniente promis dans la station balnéaire tourne au vinaigre, la gaufre vire à l’aigre. Et nous voilà parti pour une comédie décapante. Un hymne parodique sans pareil à la Belgique, aux bons mots et à la verve soutenue.

    1er d’une série, Mémé Cornemuse est réservée à un public large pour peu qu’il soit transi d’affection pour San-A et Requiem.

    Je me suis mis le cerveau sur off. Ça c’est facile. Je suis un garçon. Et j’ai commencé à me poiler en entamant cet ouvrage truculent. Mémé, c’est une ode à la belgitude absurde et à l’anti-conformiste. Exit le politiquement correct ! Me voilà parti pour une virée désopilante et haute en couleurs avec une collection de personnages tous plus perchés les uns que les autres. La famille Destrooper est à elle seule une des plus belles galeries de portraits déjantés. Ça te fait reluire les zygomatiques ne sont plus en berne. L’humour est décapant. Les situations aussi improbables que surréalistes qui s’enchainent à vitesse grand V. Tu mets ta vraisemblance au cachot, tu la ressortiras plus tard. Profite du moment, lecteur abasourdi, et tu te laisses choper par les roubignoles. Nadine Monfils a le don de la parodie vaudevillesque dans un style littéraire qui fleure bon la gaudriole parfumée au spéculos. Nul doute qu’elle va te les chatouiller et faire surgir sur ton visage un large sourire béat.

    Les dialogues glissent vers la franche rigolade. A ce niveau c’est du grand art. Un looping fleuri. La poésie de la galipette, un éboulis joyeux où les cadavres s’empilent avec joie. Mémé Cornemuse, c’est une ascension sur un mont de fantaisie, avec flingues et culottes en porte-étendard. Le rythme est rapide et soutenu. On ne s’ennuie jamais. Les jeux de mots jonglent de part et d’autre. On ne peut s’empêcher de se souvenir d’Audiard mais surtout de Dard. Car Mémé Cornemuse est barrée. Elle n’a peur de rien. Ses semblables et contemporains sont au mieux un terrain de jeu, au pire, des outils pour arriver à ses fins. Elle est dotée d’une très légère empathie et d’un besoin de culbute sans limite. Ses frasques nous charment. Franchement, Mémé m’a emballé. Faut juste pas la croiser. Enfin, si, mais alors juste dans le tome 2, La petite fêlée aux allumettes.

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  • un roman qui m'a laissé indifférente, il n'est pas mauvais mais il ne m'a pas plu pour autant, il ma juste fait passé le temps, il ne m'a pas fait rire et je ne me suis pas attaché aux personnages, cependant même si il ne m'a pas plus, je ne le déteste pas, un roman qui me laisse perplexe en...
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    un roman qui m'a laissé indifférente, il n'est pas mauvais mais il ne m'a pas plu pour autant, il ma juste fait passé le temps, il ne m'a pas fait rire et je ne me suis pas attaché aux personnages, cependant même si il ne m'a pas plus, je ne le déteste pas, un roman qui me laisse perplexe en sommes.
    J'espère qu'il plaira a ce qui le liront ^^

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  • Et encore un roman que je conseille dans les Piles à Lire anti-déprime! Dans un cocktail détonnant l'auteure arrive à nous conquérir, et nous allons de surprise en surprise en suivant les vacances et les cavalcades, et les fuites, de mémé et sa famille - et les hommes.

    Loufoque, barjot, le...
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    Et encore un roman que je conseille dans les Piles à Lire anti-déprime! Dans un cocktail détonnant l'auteure arrive à nous conquérir, et nous allons de surprise en surprise en suivant les vacances et les cavalcades, et les fuites, de mémé et sa famille - et les hommes.

    Loufoque, barjot, le roman nous emmène dans des territoires de la littérature qui me sont inconnus. Je ne sais pas si j'ai vraiment ri, pas un rire franc en tout cas, mais un étonnement de rebondissements en rebondissements qui m'a ravie.

    Dépeignant des "beaufs" comme il en existe peu, la mémé en faisant bien partie, avec sa caravane et sa boule de cristal, l'auteure démembre à peu près tous ceux qu'elle croise, car pour l'auteure personne n'est tout noir, personne n'est tout blanc. L'humain aurait dont véritablement un penchant diabolique ?

    Les déboires quotidiens de la vieille dame deviennent intéressants dès lors qu'ils sont "too much", le roman touche à l'absurde, mais les dialogues sont bien dignes d'un excellent Audiard.

    Si on ne s'identifiera pas forcément à un des personnages, ça n'est pas grave, c'est le côté bestial en chacun de nous qui ressort. Oui dans ce roman, tout est permis, même déterrer un mort sans être très choqué, même couper un bras à quelqu'un, voler, tuer, ... L'auteur défie les lois des romanciers pour créer une atmosphère complètement inédite.

    Une lecture très, très divertissante! J'ai hâte d'en lire d'autres comme cela.

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  • C'était le premier roman de Nadine Monfils que je lis, et bien je ne suis pas déçue.

    J’ai embarqué comme jamais.

    "Vacances d'un serial Killer" est un roman drôle, une bonne dose d'humour noir.

    Les dialogues sont à se taper le cul pas terre (si on peut y aller dans l'irrévérence le livre...
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    C'était le premier roman de Nadine Monfils que je lis, et bien je ne suis pas déçue.

    J’ai embarqué comme jamais.

    "Vacances d'un serial Killer" est un roman drôle, une bonne dose d'humour noir.

    Les dialogues sont à se taper le cul pas terre (si on peut y aller dans l'irrévérence le livre le permet).

    Les personnages sont bien campés dans leur belgitude.

    En plus si on est pas fortiche avec les expressions belges, c'est le moment de s'y mettre.

    Ils ont vraiment l'air paumé perdus dans une comédie complètement barrée et loufoque.

    Le couple Alphonse et Josette vraiment gratiné,

    je ne mangerai plus de boulettes de viandes sans penser à lui.

    Mon préféré est Mémé Cornemuse, une mémé comme on en voit peu,

    couguar, libérée et frappadingue à souhait.

    On se croirait dans la famille "Groseille" en beaucoup plus déjanté ici ça décape.

    On retrouve " les Tuches" ou encore "Dikkenek" Ah ces belges ils sont forts quand même.

    Chaque chapitre nous emporte, il y a des coups de théâtre, des rebondissements,

    des scènes complètement improbables et désopilantes. Pas de lenteur ou de répétition.

    Ça bouge constamment on est dans le mouvement avec des situations

    dont on ne peut anticiper le dénouement. A lire dard dard et si comme moi vous êtes perdue dans la jungle des titres un petit récapitulatif des bouquins dans l'ordre trouvé chez ramettes.



    "Vacances d'un serial Killer"



    "La petite fêlée aux allumettes"



    "La vieille qui voulait tuer le bon dieu"



    "Mémé goes to Hollywood"



    "Kitchen Maboul"

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  • C'est pendant une cure en rhumatologie que mon chemin a croisé celui de ce roman; que je vous explique: pendant une heure et demie - deux heures, chaque jour, je me retrouvais en peignoir, sans mes affaires, et donc de ce fait sans livre ou liseuse. Seulement il y avait des périodes d'attente,...
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    C'est pendant une cure en rhumatologie que mon chemin a croisé celui de ce roman; que je vous explique: pendant une heure et demie - deux heures, chaque jour, je me retrouvais en peignoir, sans mes affaires, et donc de ce fait sans livre ou liseuse. Seulement il y avait des périodes d'attente, pendant lesquelles je m'ennuyais quelque peu. De même, pendant les séances de cataplasmes, je pouvais laisser les mains dehors. J'ai donc décidé d'occuper ces moments à mon passe-temps favori... la lecture. Pendant la première semaine, j'avais trompé l'attente entre les soins en lisant "Apprivoiser son ado" de Pascale Poux, et j'avais prévu de poursuivre avec un autre livre de poche sur les adolescents. Malheureusement, ce dernier étant trop épais, il ne rentrait pas. C'est donc avec une mission particulière que je me suis dirigée vers la petite librairie du coin: trouver une bouquin qui rentre dans la poche du dit peignoir, et comme souvent sur les groupes ce roman était cité, je me suis lancée.



    Résumé
    Comme chaque été, Alfonse Destrooper part en villégiature à la mer du Nord. Josette, sa femme, est bien décidée à se la couler douce, entre farniente à la plage et shopping dans la station balnéaire. Les enfants, Steven et Lourdes, emportent leur caméra pour immortaliser ces vacances tant attendues. Quant à la mémé, véritable Calamity Jane, elle les accompagne dans sa vieille caravane.
    Mais le voyage commence mal! Un motard pique le sac de Josette à un carrefour et s'enfuit. Furieux, Alfonse s'arrête dans un snack pour s'enfiler une bière pendant que les deux ados, avec leur manie de tout filmer, s'amusent à planquer leur caméra dans les toilettes, histoire de recueillir quelques images truculentes. La famille Destrooper reprend finalement la route. À l'arrière de la voiture, les ados visionnent tranquillement leur vidéo. Quand, soudain, ils découvrent à l'écran le cadavre du motard gisant sur le sol des toilettes du restoroute! Et, pour couronner le tout, la magnifique pension dans laquelle les Destrooper ont prévu de séjourner est un rade pourri. Les vacances en enfer ne font que commencer... Une comédie décapante, teintée d'humour noir et d'un zeste de poésie, un hymne à la Belgique.

    Mon avis
    C'est un un style très particulier, rocambolesque au possible, qui je pense pourrait être rangé dans l'humour noir.

    Tout au long du roman, les scènes se succèdent, toutes plus ahurissantes les unes que les autres: entre meurtres à la pelle (sans jeu de mot ;) ) et sexe inopportun, le moins que l'on puisse dire, c'est que ce roman n'est pas traditionnel.

    Une ribambelle de personnages, globalement plutôt antipathiques, qui gravitent autour du personnage central du père. Une femme superficielle, une belle-mère qui vit dans sa caravane et s'adonne à la voyance, des enfants vraiment spéciaux. Bref, une troupe de gens complètement barrés qui vivent un périple à l'occasion des vacances.

    Et le moins que je puisse dire, c'est que je n'ai pas accroché. Du tout. Un humour auquel je ne trouve rien de drôle, des situations qui ne sont pas réalistes (c'est un euphémisme) et qui je suppose ne sont pas censés l'être...

    Je n'ai pris aucun plaisir à cette lecture, sûrement n'ai-je pas tout compris, ou pas le bon esprit, et je ne m'aventurerai pas à lire d'autres romans de l'auteure. Attention, je ne dis pas que c'est nul, ou que ça n'a pas d'intérêt. Ce n'est juste vraiment pas ma tasse de thé. J'ai pourtant une partie de ma famille qui est belge, avec qui je ris beaucoup. Ce n'est donc probablement pas une question de nationalité...


    Si vous aimez cette auteure, peut-être pourriez-vous m'éclairer?

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