Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
« Aujourd'hui naît toujours d'hier » : il n'existe guère de sentence plus post-moderne. Il subsiste pourtant bel et bien un trou noir dans l'histoire de l'architecture récente, celle de la fin du XXe siècle, qui correspond précisément à l'affirmation d'une architecture « post-moderne ». Lui furent longtemps préférées en France d'euphémisantes seconde modernité, modernité douce ou « succession du Mouvement moderne ». D'autres auront audacieusement tenté le « baroque moderne », préférant louvoyer à l'heure où chacun était sommé de s'authentifier. « Haussmannien contemporain » ou « moderne classique » auraient certes pu faire l'affaire. Mais pourquoi lapidairement assimiler ainsi le post-modernisme à la Place du Tertre de l'architecture ?
Jean-Louis Violeau est sociologue et enseigne à l'école d'architecture de Nantes et à l'école urbaine de SciencesPo Paris.
Préface de Kenza Brühl, critique d'architecture.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...