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C'est le 24 janvier 1936 aux Collections « Héroes » dirigées par les poètes et éditeurs Manuel Altolaguirre et Concha Méndez que Miguel Hernández remit le manuscrit de son recueil de poèmes El rayo que no cesa auquel il rajouta à la hâte une « Élégie » à son ami Ramón Sijé, décédé brutalement, un mois plus tôt, « comme frappé par la foudre ». Il venait également de renouer avec sa fiancée Josefina Manresa avec qui il avait rompu pendant son séjour à Madrid. Néanmoins, ce livre, composé à Madrid durant l'année 1935, est celui d'une rupture, d'une crise correspondant à l'acquisition d'une maturité du poète levantin tant d'un point de vue amoureux (il a rompu avec sa fiancée Josefina Manresa et a découvert l'amour physique dans les bras de la peintre madrilène Maruja Mallo) qu'ontologique (dû à sa rupture définitive avec la religion). Ainsi, la voix qui scande le projet poétique de l'auteur de L'éclair n'a de cesse est celle du déchirement.
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